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La leçon citoyenne des Iflissen

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  • #16
    ,
    D'ailleurs je me demande si l'on ne devrait pas se servir du terrorisme pour se débarasser des trouducs qu'on a au pouvoir.
    Non, si c'est pour avoir un pouvoir encore plus totalitaire et plus moyen ageux non merci!mais ce qui est sur c'est que les barbus font peur a l'état et aux generaux


    alors soit les kabyles doivent prendre leur autonomie

    soit ils s'allient avec les algériens des autres régions et renversent le pouvoir assassin et toute sa hierarchie , c'est comme ca que je vois moi .
    mais l'autonomie est plus réaliste, jamais les algériens voudront s'allier aux kabyles encore moins pour renverser le pouvoir,

    Faut formater l'Algérie, comme un disque dur avec un virus parceque la , on fait qu'essayer de demarrer en mode sans echec, mais ca marche pas

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    • #17
      non on à pas la remercier tu dois bien te sentir peut être protégé par elle toi dans ta ville ou ta tour d'ivoire ... mais ici ni elle a dissuader les terro ni elle ne les a éradiquer la population est livrée à elle même
      -bien sûr que tu ne vas pas la remercier, car c'est la garante de l'unité nationale.
      -ce n'est pas la population qui est livrée à elle même, mais nos soldats qui meurent facilement dans cette région.
      -on met beaucoup de choses sur le terrorisme, mais la certitude que cette région est bien gangrenée par le grand banditisme.
      Mr NOUBAT

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      • #18
        jamais les algériens voudront s'allier aux kabyles
        encore un plomb qui a disjoncté!!!!!!!!!!!!!
        Mr NOUBAT

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        • #19
          Issenadjène ou Igoujdal, quinze ans plus tard Par : Mustapha Hammouche

          Quelque quinze ans plus tard, et quelques kilomètres plus loin, Issenadjène réinvente Igoujdal. Ce village qui, le premier, surprit un groupe terroriste du GIA, en l’accueillant avec des armes. Pour la première fois depuis l’Indépendance, le pays eut besoin de la mobilisation populaire pour défendre la perspective d’un État national. La réaction des villageois d’Igoujdal fit tache d’huile et, partout à travers le territoire national, des groupes de Patriotes se formèrent, peut-être pour repartir au front de la défense de la République, mais en tout cas sûrement pour la défense de leur dignité d’hommes.
          La complaisance du pouvoir a permis une minutieuse préparation des islamistes pour une guerre terroriste d’envergure. Avant comme après le déclenchement de l’entreprise de terreur des islamistes, les gouvernants préféraient s’empresser autour de leurs dirigeants plutôt que de les affronter. Ce n’est qu’acculé pratiquement à l’autodéfense que le pouvoir se résigna à les combattre. Pendant que des dirigeants regardaient tranquillement la République tourner à l’émirat, d’autres convenaient avec l’ambassadeur d’Iran, dans l’enceinte de l’Assemblée nationale, du bien-fondé des visées de l’Ayatollah, sponsor de l’intégrisme national.
          Des trahisons de cette sorte ont encouragé l’insurrection terroriste. Et la coupable neutralité a été d’une plus grande efficacité en ce qu’elle rendait concevable l’équidistance entre le tueur et sa victime, entre le mal et le bien. Le “qui-tue-qui”, question que le pouvoir a lui-même rendu légitime dans sa démarche de “réconciliation nationale”, facilitait les renoncements.
          L’élan de dignité et de patriotisme, né à l’épreuve locale du terrorisme, aura vite été contrarié par la culture manipulatrice du pouvoir. Il n’est pas dans le tempérament d’un sérail, élevé dans les traditions du putsch et du complot, de se laisser contester l’exclusivité de la violence légitime, d’une part, et de ne pas exploiter politiquement l’aubaine de la résistance.
          On fit des Patriotes des chefs de guerre et de chefs de guerre des députés et des maires, des notables politico-militaires ! Ainsi disqualifiait-on la résistance de son essence populaire. Et de son essence anti-islamiste, progressiste. Quand il a fallu, dix ans après le FIS, renégocier avec les islamistes, la résistance physique ne représentait plus une résistance politique. On vit des Patriotes faire campagne pour l’impunité des terroristes, faisant semblant de croire à la pertinence sécuritaire de la “réconciliation nationale”.
          La lutte armée a réduit les forces de l’islamisme. Grâce à ces sacrifices, la “renonciation nationale” peut, aujourd’hui, s’approprier verbalement les fruits d’une longue lutte contre le terrorisme en Algérie.
          Qu’importe que le terrorisme soit plus mafieux que politique. Mais il est là, nocif. Et le village d’Isenadjène a dû prendre les armes pour imposer la libération d’un de ses membres kidnappé. À l’épreuve, on voit que, comme par le passé, il n’y a toujours pas de mystère : le terrorisme, on l’affronte ou on le fuit.
          En parasitant la lutte antiterroriste, la “réconciliation nationale” nous a condamnés à revivre l’histoire dont nos dirigeants n’ont pas voulu tirer les leçons.

          M. H.
          musthammouche@yahoo.fr
          "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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          • #20
            encore un plomb qui a disjoncté!!!!!!!!!!!!!
            Déjà que certains prennent le simple fait de parler une langue différente de la darija ou l'arabe littéral comme un affront à la nation algérienne o_O

            Les autres algériens ont une lecture profondemment régionaliste des manifestations en kabylie. C'est à mon avis ce qui explique le je m'enfoutisme qui a suivit les divers soulèvements.

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            • #21
              encore un plomb qui a disjoncté!!!!!!!!!!!!!
              Pourquoi,? j'ai tord ..? combien de fois les algériens ont eu l'occasion de s'allier aux kabyles et qu'ils ne l'ont pas fait?

              Les kabyles et les autres algériens ne se battront pas ensemble car ils veulent pas la même chose, les algériens opposants sont (pour la majorité) islamistes, et les kabyles opposants sont (pour la majorité) démocrates,

              y'a aussi nos frères mozabites qui sont pour la démocratie , et quelques communes dispersées a travers le pays mais qui ne font pas l'unanimité malheuresement

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              • #22
                combien de fois les algériens ont eu l'occasion de s'allier aux kabyles
                Algériens: l'Oranais, le Constantinois, le Chaoui, le kabyle...................
                Mr NOUBAT

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