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Le rapport de Human Rights Watch sur L'algerie

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  • #16
    Va consulter les nouvelles critiques de HRW au Maroc

    Youb préfère les disettes de la MAP ?
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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    • #17
      Va consulter les nouvelles critiques de HRW au Maroc
      j'ai pas besoin d' "aller" les consulter, ces critiques se font par le HRW au Maroc sur invitation du Maroc... Un autre signe d'ouverture par rapport a d'autres pays..

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      • #18
        Un autre signe d'ouverture par rapport a d'autres pays..
        ha ha ha merci pour la blague m3a sbah

        C'est la même ouverture comme celle offerte pour Aljazeera du Maghrbe á Rabat et qui a étée ordonné juste une année aprés pour quitter le pays sans aucune explication de la part des clounes du minsitéres de l'information !!!! Donc tenez bon et ne dites plus :" on ca fait trop mal ...on savait pas que c'est sérieux"!
        Dernière modification par TAGHITI, 28 janvier 2010, 10h01.

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        • #19
          Droits de l’homme en Algérie : la situation est très grave, selon Human Rights Watch

          L’ONG Human Rights Watch (HRW) a sévèrement critiqué, mercredi 27 janvier, la situation des droits de l’Homme en Algérie. Dans son rapport présenté à Rabat, HRW a qualifié de « très grave" la situation » des droits humains en Algérie. L’ONG critique notamment les restrictions imposées aux médias indépendants et la société civile ainsi que l’impunité qui a résulté de l’application de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale.
          « Sous l'état d'urgence qui s'est poursuivi pour la 18ème année consécutive, l'Algérie continue de subir des restrictions des libertés civiles. Les autorités ont interdit des rassemblements publics, par exemple des manifestations de rue et même des séminaires organisés par des organisations de défense des droits humains. Les familles des milliers d'Algériens victimes de « disparition » aux mains des agents de l'Etat durant le conflit politique des années 90 ont reçu peu ou pas d'informations sur le sort de leurs proches. », souligne le rapport de HRW.
          L’ONG critique la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, en vigueur depuis 2006. Selon HRW cette charte « a fourni un cadre juridique pour l'impunité dont bénéficient de facto les auteurs de « disparitions » et autres atrocités commises dans les années 90, et pour la pénalisation des critiques de l'État pour la façon dont il a géré les violences politiques durant cette période ».
          « En Algérie, les violences politiques ont diminué en comparaison à 1999, quand le Président Bouteflika a pris le pouvoir », note toutefois Sarah Leah Whitson directrice de la division MENA (Moyen-Orient/Afrique du Nord) à Human Rights Watch, cité dans le rapport. « Mais si les Algériens bénéficient aujourd'hui d'une sécurité physique accrue, ils restent moins libres de critiquer et de contester les politiques gouvernementales. », a-t-elle ajouté.
          Tout comme au Maroc et en Tunisie, les journalistes algériens « ont risqué des peines de prison à cause de lois qui entravent la liberté d'expression en prévoyant des sanctions pénales pour diffamation », précise le rapport. Dans ce contexte, « Human Rights Watch a exhorté l'Algérie à lever les restrictions qui musèlent les médias indépendants et la société civile, et qui criminalisent toute critique concernant la façon dont l'Etat a géré les violences politiques durant les années 90. », précise le rapport. Le gouvernement algérien n’a pas commenté le rapport.
          source:TSA

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          • #20
            certains au lieu d'analyser le rapport et condamner comme ils l'ont fait avec le "rapport sur le maroc" essayent de résumé la situation en complot Americo -MAPien

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            • #21
              le complexe !!!!!!!!

              est ce que nous avons besoin de ces organisations étrangères pour savoir ce qui se passe dans nos pays respectifs ???pourquoi donne-t-on toute cette importance à leurs rapports?????

              ces organisations sont manipulées par des puissances qui veulent faire pression sur nous pour suivre leur consignes.

              aucun pays ne respecte les droits de ses citoyens, qu'il soit developpé ou moins developpé. au nom de la securité et de la lutte contre le terrorisme, la porte est grande ouverte à tous les dépassements.

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              • #22
                Dites moi, TSA, c'est la MAP aussi?

                Droits de l’homme en Algérie : la situation est très grave, selon Human Rights Watch

                Sonia Lyes
                TSA

                L’ONG Human Rights Watch (HRW) a sévèrement critiqué, mercredi 27 janvier, la situation des droits de l’Homme en Algérie. Dans son rapport présenté à Rabat, HRW a qualifié de « très grave" la situation » des droits humains en Algérie. L’ONG critique notamment les restrictions imposées aux médias indépendants et la société civile ainsi que l’impunité qui a résulté de l’application de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale.

                « Sous l'état d'urgence qui s'est poursuivi pour la 18ème année consécutive, l'Algérie continue de subir des restrictions des libertés civiles. Les autorités ont interdit des rassemblements publics, par exemple des manifestations de rue et même des séminaires organisés par des organisations de défense des droits humains. Les familles des milliers d'Algériens victimes de « disparition » aux mains des agents de l'Etat durant le conflit politique des années 90 ont reçu peu ou pas d'informations sur le sort de leurs proches. », souligne le rapport de HRW.

                L’ONG critique la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, en vigueur depuis 2006. Selon HRW cette charte « a fourni un cadre juridique pour l'impunité dont bénéficient de facto les auteurs de « disparitions » et autres atrocités commises dans les années 90, et pour la pénalisation des critiques de l'État pour la façon dont il a géré les violences politiques durant cette période ».

                « En Algérie, les violences politiques ont diminué en comparaison à 1999, quand le Président Bouteflika a pris le pouvoir », note toutefois Sarah Leah Whitson directrice de la division MENA (Moyen-Orient/Afrique du Nord) à Human Rights Watch, cité dans le rapport. « Mais si les Algériens bénéficient aujourd'hui d'une sécurité physique accrue, ils restent moins libres de critiquer et de contester les politiques gouvernementales. », a-t-elle ajouté.

                Tout comme au Maroc et en Tunisie, les journalistes algériens « ont risqué des peines de prison à cause de lois qui entravent la liberté d'expression en prévoyant des sanctions pénales pour diffamation », précise le rapport. Dans ce contexte, « Human Rights Watch a exhorté l'Algérie à lever les restrictions qui musèlent les médias indépendants et la société civile, et qui criminalisent toute critique concernant la façon dont l'Etat a géré les violences politiques durant les années 90. », précise le rapport. Le gouvernement algérien n’a pas commenté le rapport.


                27/01/2010 |

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