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Assassinats pendant la décennie noire : Bouteflika installe une Commission d’enquête,

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  • #31
    Citation:
    @Gandhi.
    Notre pays n'a jamais fonctionné selon des mécanismes politiques claires parce qu'on a pas à proprement parlé un système politique, ou selon des lois constitutionnelles ou la logique juridique. Il a toujours fonctionné sur des rumeurs et les humeurs de la DRS, de l'armée et du président.

    On a rien institué, l'état algérien est une coquille vide sans véritables bases. Tout est conçu par eux et pour eux. S'il y a conflit au sommet c'est les algériens qui en payent le prix. Les têtes finissent toujours par des compromis et par le choix de bouc émissaire.

    Ainsi va l'Algérie


    Bien vue Gandhi !


    Cette histoire me rappel celle de la guerre froide entre Russes et Américains où il était, éventuellement, question de guerre atomique…Les populations et les peuples qui avaient le plus horriblement peur des conséquences de cette confrontation terrible, étaient ceux des plus pauvres et misérable de la terre (l’ensemble des pays Africains et d’autres peuples semblables)…Ils avaient, tout simplement, une peur bleue de périr et d’être priver de leur pauvreté et misère…Alors que les nantis en rigoler à gorges d’éployées !!!
    "C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attend jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

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    • #32
      pour illustrer vos propos( La Fontaine)

      La Mort et le Bûcheron
      Un pauvre Bûcheron, tout couvert de ramée,
      Sous le faix du fagot aussi bien que des ans
      Gémissant et courbé, marchait à pas pesants,
      Et tâchait de gagner sa chaumine enfumée.
      Enfin, n'en pouvant plus d'effort et de douleur,
      Il met bas son fagot, il songe à son malheur,
      Quel plaisir a-t-il eu depuis qu'il est au monde ?
      En est-il un plus pauvre en la machine ronde ?
      Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
      Sa femme, ses enfants, les soldats, les impôts,
      Le créancier et la corvée
      Lui font d'un malheureux la peinture achevée.
      Il appelle la Mort. Elle vient sans tarder,
      Lui demande ce qu'il faut faire.
      « C'est, dit-il, afin de m'aider
      À recharger ce bois ; tu ne tarderas guère. »
      Le trépas vient tout guérir ;
      Mais ne bougeons d'où nous sommes :
      Plutôt souffrir que mourir,
      C'est la devise des hommes.

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      • #33
        Boutef ne pourra rien devant Toufik, si il continue à faire son petit malin, il va bientôt dégager, là on pourra fêter une autre victoire de l'Algérie, mais biensur l'armée restera ce qu'elle était, et toufik annoncerait la couleur au prochain.

        Maintenant si par miracle, c'est le Toufik qui tombe, l'Algérie entrera dans une dictature où Boutef aura vraiment les pleins pouvoirs, et le prochain à ce poste sera son frère.

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        • #34
          j espere que le ménage sera fait à fond
          ce ménage aurait eu du crédit s'il avait eu lieu auparavant et sous aucune pression. l'issue de cette escarmouche arrangera les 2 parties puisque chacune va lacher du lest de son coté. d'alleurs pourquoi la "source" a parlé seulement des assassinats politiques de Boudiaf et de Saïdi qui sont connus deja de n'importe quel gamin de 16 ans, et passé sous silence les vraies affaires dont la vérité ébranlera les citoyens de ce pays dépouillé, meurtri, violé depuis assz longtemps.
          .
          .
          .
          .

          Commentaire


          • #35
            futur proche

            bonjour, en galerie , c'est un problèmes , il ne faut pas parler de sauver l'Algérie , mais il faut penser a se sauver de l'Algérie
            peux import au canada ; usa france et pourquoi pas afrique de sud l'essentiel se sauver d'ici au plus vite possible .
            Ah ya din kessam

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            • #36
              Chila
              qu'ils s'entre tuent celui qui tombera (Boutef ou DRS) ça sera déjà ça de gagner pour l'AlgérIE
              ERROR MONSIEUR
              si la DRS tombe c'est le chaos total
              car le bouhef a tout liquidé !
              c'est son départ que gagneras le pays .
              IL en sera soulagé d"in imposteur et voleur redoutable .
              LA preuve quand chadli a démonter la SM , tout le monde a vu les conséquence jusqu' à ce jour !
              allah yarham kasdi merbah .
              PS/
              celui qui NE TOMBERAS PAS
              sera celui qui détient la mallette de ce grand commis de l'armée ASSSASSINE juste pour la récupérer .
              Dernière modification par Bouziane elkal3i, 10 février 2010, 10h57.

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              • #37
                bien dit

                Nos gouvernants on fait de nous à la longue un peuple "raadi" et peureux et ils ont, bien, reussi...


                Un peuple qui a la moindre occasion nous sort son fameux"djeich cha3b m3ak ya boutef,ya saadane ...." n'attendez de lui rien de bon helas!

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                • #38
                  amis

                  écoutez les amis , vous faites un énorme retard , je vous invite a accélérer vos démarches d'immigration au canada allez les algerien
                  Ah ya din kessam

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                  • #39
                    Faut pas confondre institution et personnes.

                    Le DRS et la présidence de la république sont des institutions, et cela m'étonne que l'une d'elle tombe au profit de l'autre cela n'a pas de sens.

                    Que des membres du DRS tombent ou un président déchu sont des choses qui ont déjà eu lieu, l'impact était quasi nul sur les institutions et sera probablement nul.
                    En revanche la corruption menace tout le monde institutions, le peuple, les personnes etc au même titre que le terrorisme voire plus.

                    S'agissant des assassinats et de la corruption, il s'agit avant tout d'un dysfonctionnement des institutions dû avant tout à la volonté de quelques personnes qui ne souhaitent pas le bon fonctionnement ou qui trouvent leur compte dans une situation pareille. Mais la mémoire d'une institution est bien plus costaud que la mémoire d'un ou d'un groupe d'hommes.

                    De part sa mission, le DRS est chargé la sécurité strategique du pays, dans un autre volet Bouteflika est chargé de défendre les intérêts supérieurs du pays.

                    Chaque personne travaillant pour l'une ou l'autre de ces institutions devra en principe rendre compte de son travail au regard de la mission qui lui a été confiée. Dans les bonnes pratiques, les hommes qui ont failli à leur missions respectives doivent dégager qu'ils appartiennent à l'une ou l'autre.

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                    • #40
                      Faut pas confondre institution et personnes.

                      Le DRS et la présidence de la république sont des institutions, et cela m'étonne que l'une d'elle tombe au profit de l'autre cela n'a pas de sens.

                      Que des membres du DRS tombent ou un président déchu sont des choses qui ont déjà eu lieu, l'impact était quasi nul sur les institutions et sera probablement nul.
                      En revanche la corruption menace tout le monde institutions, le peuple, les personnes etc au même titre que le terrorisme voire plus.

                      S'agissant des assassinats et de la corruption, il s'agit avant tout d'un dysfonctionnement des institutions dû avant tout à la volonté de quelques personnes qui ne souhaitent pas le bon fonctionnement ou qui trouvent leur compte dans une situation pareille. Mais la mémoire d'une institution est bien plus costaud que la mémoire d'un ou d'un groupe d'hommes.

                      De part sa mission, le DRS est chargé la sécurité strategique du pays, dans un autre volet Bouteflika est chargé de défendre les intérêts supérieurs du pays.

                      Chaque personne travaillant pour l'une ou l'autre de ces institutions devra en principe rendre compte de son travail au regard de la mission qui lui a été confiée. Dans les bonnes pratiques, les hommes qui ont failli à leur missions respectives doivent dégager qu'ils appartiennent à l'une ou l'autre.
                      raisonnement d'un bon citoyen dans un bon pays ou les institutions sont séparées !
                      par malheur ! ce n'est pas le cas en Algérie .
                      ou tout est mêlé SUIVANT LES HUMEURS DES INTOUCHABLES .

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                      • #41
                        voila mon avis pour ne pas parler trop d'immigration

                        Quand on apprend que c’est le Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS), qui, se substituant à la justice, intervient pour enquêter sur des scandales financiers impliquant de hauts fonctionnaires et par ricochet, de manière directe ou indirecte, des ministres, cela laisse penser qu’il s’agit vraisemblablement d’une manœuvre politique mettant en prise deux camps au sein d’un pouvoir en désaccord. Les observateurs parlent d’un affrontement entre, d’une part le gouvernement actuel, représenté par le président Bouteflika et ses lieutenants, et d’autre part une partie de l’armée et son bras actif le DRS.
                        Bouteflika ne représente-t-il plus alors l’homme du consensus, dès lors que toute cette opération sous-tend une campagne de déstabilisation visant à l’affaiblir en s’attaquant à ses plus proches ministres ?
                        On est tenté de répondre par l’affirmative, eu égard aux multiples indices qui ressortent de la crise actuelle en Algérie traduisant un malaise dont, en vérité, les prémices remontent bien au début du troisième mandat de Bouteflika.
                        En effet, depuis un moment, le courant paraît-il ne passe plus entre le président et le patron du DRS, « Toufik », alias Mohamed Mediène. Ce dernier, excédé par le comportement de Bouteflika, aurait décidé de mettre le holà à un président fin tacticien qui chercherait à neutraliser l’armée par le truchement de diverses actions et décisions politiques.
                        Ainsi par exemple, la « volonté » de Bouteflika de renforcer et de contrôler le corps de la police nationale est perçue comme une tentative de contrecarrer l’armée, particulièrement Toufik, en créant un contre poids à celle-ci.
                        Par ailleurs, la présence de plus en plus visible du frère du président Saïd Bouteflika dans l’aréopage de la présidence (qui se fait discret ces derniers temps) et ses velléités politiques « dynastiques », participent également à détériorer la relation entre le locataire d’El Mouradia et le patron du DRS.
                        Enfin, signe apparent du coup froid entre les deux hommes, Bouteflika a séché le 5 juillet son rendez-vous annuel au ministère de l’intérieur où il tient d’habitude son traditionnel discours de fête nationale.
                        Avertissement ou rupture ?
                        Le 13 décembre, la presse nationale faisait échos de l’enquête du DRS sur les attributions des marchés de l’autoroute est-ouest, un projet qui relève de la responsabilité du ministre des transports, Amar Ghoul, placé par Bouteflika. Cette affaire devait annoncer une série de révélations sur d’autres scandales financiers. Le 13 janvier, le DRS déclenche en effet une opération « mains propres » contre de hauts cadres de la Sonatrach, première entreprise nationale, dirigée par le ministre de l’énergie et des mines, Chakib Khelil, lui aussi installé à ce poste clé par le président. Et ce n’est pas fini. Selon certaines sources, la prochaine cible des limiers du DRS serait, l’autre pilier du gouvernement, le ministre des affaires étrangères, Mourad Medelci.
                        Par ailleurs, les choses se gâtent sérieusement pour le gouvernement sur le plan social avec la multiplication des grèves et la grogne populaire qui enfle. L’importance mobilisation des algériens autour des l’EN de football témoigne de la capacité des « services » à mobiliser les foules, une démonstration de force que Bouteflika a bien comprise.
                        Toute cette agitation au sommet de l’Etat étalée sur la place publique – fait exceptionnel venant d’un pouvoir d’habitude si discret-, montre bien qu’il s’agit d’une mise en garde énergétique en direction d’un président quelque peu « capricieux », et que l’armée, particulièrement Toufik, qui au départ a été favorable au troisième mandat de Bouteflika, n’exclut pas la possibilité de s’en séparer si besoin.
                        Qui sera le prochain président ?
                        Si l’armée et le DRS devaient in fine passer à l’acte et se séparer de Boutelika, qui sera alors son successeur ?
                        Certainement un homme de « consensus », capable de mettre tout le monde d’accord, aussi bien dans le milieu politique que dans celui des affaires. L’actuel premier ministre, Ahmed Ouyahia serait la personne sur laquelle miseraient l’armée pour s’acquitter de cette « mission ». Il est bien vu par les décideurs, connait parfaitement les rouages du pouvoir en Algérie et sa présence dans le gouvernement a été quasi « imposée » à Bouteflika. Il a remplacé Belkhadem pour appliquer un programme de « ré-algérinisation » de l’économie algérienne.
                        Le nom de Abdelkader Bensalah, le président du Conseil de la Nation, circule aussi comme étant un candidat potentiel. De même que, mais sans trop de conviction, les noms des deux anciens premiers ministres, Mouloud Hamrouche et Sid Ahmed Ghozali.
                        Ah ya din kessam

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                        • #42
                          Citation:
                          @andromed.
                          pour illustrer vos propos( La Fontaine)


                          Yatek saaha andromed !
                          "C’est la rivière qui apporte dans son cours l’espoir aux chercheurs d’or…Elle n’attend jamais de ces derniers qu’ils en remettent dans le sien" (r.b)

                          Commentaire


                          • #43
                            voila mon avis pour ne pas parler trop d'immigration
                            ceci n'est pas ton avis !
                            c'est un commentaire de "algerie focus "

                            Commentaire


                            • #44
                              ceci n'est pas ton avis !
                              c'est un commentaire de "Algérie focus "

                              le probleme est pas si c'est mon avis ou bien d'une autre personne mon chere ami nous somme là pour échanger les idée .
                              Ah ya din kessam

                              Commentaire


                              • #45
                                le probleme est pas si c'est mon avis ou bien d'une autre personne mon chere ami nous somme là pour échanger les idée .
                                les tiennes bien sur !
                                cher monsieur !
                                j'aimerais bien les connaitre .
                                POUR MA PART !
                                je dis que le temps des compromissions finis toujours pas rattraper ses auteurs !
                                car il y a eu un deal contre nature avec bouhef et toufik contre l'algerie et les patriotes !
                                donc après plus 10 ans les choses se sont aggravées lourdement .
                                ET EN PLUS
                                ON NE CACHE PAS LE SOLEIL AVEC UN TAMIS
                                Dernière modification par Bouziane elkal3i, 10 février 2010, 11h56.

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