Plus de 210 essais nucléaires ont été effectués au sud de l’Algérie
La loi portant indemnisation des victimes comporte des conditions rédhibitoires
La polémique relative à l’un des crimes nucléaires français les plus « abjectes » au sud de l’Algérie n’a jamais dépassé le niveau des médias et les parlements des deux pays. Cette vérité est confirmée par l’austérité des textes contenus dans la loi portant indemnisation des victimes, finalisée le 5 janvier dernier. Une loi qui profite beaucoup plus pour les français victimes des essais nucléaires dans le Sahara algérien. En effet, les autorités françaises chargées du dossier comptent procéder à la mise en œuvre de cette loi durant l’année courant, 2010. Elle est destinée essentiellement pour les anciens militaires, victimes des essais nucléaires effectués par l’armée française lors de l’époque coloniale. Ainsi les dossiers des victimes seront étudiés cas par cas, afin de faire barrage devant ceux qui prétendent être victimes des 210 essais nucléaires, dont les plus importants sont ceux de Reggane et de Ain Iker.
Il y a lieu de relever que ce loi portant indemnisation des victimes des essais nucléaires a été élaborée après 50 de méconnaissance de la part du ministère de la défense français, qui avait toujours considéré que ce crime est contre X. Face à cette situation, les français victimes des essais nucléaires ont crée une association afin de pouvoir valoir leurs droits. Contrairement aux victimes français, les algériens considèrent que les conditions exigées par ladite loi sont, le moins qu’on puisse dire, rédhibitoires, entre autres, on cite la délimitation géographique des zones dans lesquelles les essais ont été effectués, et le retard dans son élaboration, sachant que la majorité des victimes sont décédées, suite aux maladies cancéreuses qu’ils ont attrapées, qui s’élèvent à 18 genres. Pis encore, l’étude du dossier à fournir pour les victimes prend 4 mois et deux mois pour procéder à l’indemnisation.
Cette période pourrait s’étendre à quelques années, en cas de l’existence d’un litige entre le demandeur et l’autorité chargée de l’indemnisation. Le dossier de la victime, dans ce cas, sera transmis à la cour administrative de Paris, comme stipule l’article 11 du décret émit le 21 janvier 2010.
Selon les observateurs du dossier des essais nucléaires, le maintien des essais jusqu’à 1967, soit 5 années après l’indépendance, dénote de l’intention des autorités françaises de responsabiliser les autorités algériennes.
el-khabar
La loi portant indemnisation des victimes comporte des conditions rédhibitoires
La polémique relative à l’un des crimes nucléaires français les plus « abjectes » au sud de l’Algérie n’a jamais dépassé le niveau des médias et les parlements des deux pays. Cette vérité est confirmée par l’austérité des textes contenus dans la loi portant indemnisation des victimes, finalisée le 5 janvier dernier. Une loi qui profite beaucoup plus pour les français victimes des essais nucléaires dans le Sahara algérien. En effet, les autorités françaises chargées du dossier comptent procéder à la mise en œuvre de cette loi durant l’année courant, 2010. Elle est destinée essentiellement pour les anciens militaires, victimes des essais nucléaires effectués par l’armée française lors de l’époque coloniale. Ainsi les dossiers des victimes seront étudiés cas par cas, afin de faire barrage devant ceux qui prétendent être victimes des 210 essais nucléaires, dont les plus importants sont ceux de Reggane et de Ain Iker.
Il y a lieu de relever que ce loi portant indemnisation des victimes des essais nucléaires a été élaborée après 50 de méconnaissance de la part du ministère de la défense français, qui avait toujours considéré que ce crime est contre X. Face à cette situation, les français victimes des essais nucléaires ont crée une association afin de pouvoir valoir leurs droits. Contrairement aux victimes français, les algériens considèrent que les conditions exigées par ladite loi sont, le moins qu’on puisse dire, rédhibitoires, entre autres, on cite la délimitation géographique des zones dans lesquelles les essais ont été effectués, et le retard dans son élaboration, sachant que la majorité des victimes sont décédées, suite aux maladies cancéreuses qu’ils ont attrapées, qui s’élèvent à 18 genres. Pis encore, l’étude du dossier à fournir pour les victimes prend 4 mois et deux mois pour procéder à l’indemnisation.
Cette période pourrait s’étendre à quelques années, en cas de l’existence d’un litige entre le demandeur et l’autorité chargée de l’indemnisation. Le dossier de la victime, dans ce cas, sera transmis à la cour administrative de Paris, comme stipule l’article 11 du décret émit le 21 janvier 2010.
Selon les observateurs du dossier des essais nucléaires, le maintien des essais jusqu’à 1967, soit 5 années après l’indépendance, dénote de l’intention des autorités françaises de responsabiliser les autorités algériennes.
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