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Ali Tounsi assassiné par l’un de ses plus proches collaborateurs.

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  • Ali Tounsi assassiné par l’un de ses plus proches collaborateurs.

    Il s’agit du chef de l’unité aérienne de la DGSN.


    Le directeur général de la sûreté nationale, Ali Tounsi, a été assassiné par balles, hier matin, au siège de la DGSN, par un de ses collaborateurs lors d'une réunion des directeurs centraux de la sûreté nationale à Alger. Au moins, 13 responsables sécuritaires ont été blessés, notamment, le chef de sureté d’Alger, le chef de cabinet de la DGSN.
    Le décès de M. Ali Tounsi (76ans) est survenu à 10H45, lors d’une séance de travail au cours de laquelle un cadre de la police, apparemment pris d’une crise de démence, a utilisé son arme et blessé mortellement le colonel Ali Tounsi. Il a, ensuite, retourné son arme contre lui, se blessant gravement, avant d’être transféré en urgence vers l’hôpital militaire d’Ain Naâdja. Selon des sources fiables au sein de la DGSN, Ali Tounsi, qui a servi 16 ans en qualité de Directeur Général de cette institution, a été assassiné par un de ses collaborateurs, ayant de grade de Colonel, chargé de le chef de la division héliportée de la DGSN, sise, à Dar El Baida à Alger.
    Ali Tounsi est mort sur place, dans la salle de réunions. Selon nos sources, l’auteur de ce crime, Oueltache Chaib, est un « ami très proche » de Tounsi.
    La victime présidait une réunion de directeurs centraux de la sûreté nationale, dans une grande salle, avant que des altercations verbales ne se déclenchent entre la victime et l’assaillant, ont ajouté les mêmes sources qui ont précisé que le colonel Ali Tounsi aurait décidé de licencier Oueltache de son poste pour l’avoir soupçonné d’être impliqué dans des affaires de corruption. Ce qui a poussé ce dernier à dégainer son arme et tirer sur le premier responsable de la Sûreté Nationale, avant qu’il ne tente de se suicider devant les directeurs centraux.
    Par ailleurs, le ministre de l’Intérieur, M. Noureddine Yazid Zerhouni a confirmé la nouvelle de l’assassinat d’Ali Tounsi, dans un communiqué rendu public, le même jour, dans lequel il a rappelé les qualités du défunt et son rôle dans la lutte antiterroriste, durant 16ans de responsabilité, pendant lesquels il a fourni des efforts énormes pour le développement du corps de la police. Il a, notamment, annoncé l’ouverture d’une enquête judiciaire pour déterminer les circonstances de ce crime.
    Des sources responsables ont exclu le fait que l’assassinat d’Ali Tounsi soit prémédité. Elles ont, toutefois, précisé qu’Oueltache Chaib a exprimé son opposition à certaines décisions prises récemment par Ali Tounsi, avant que le conflit entre les deux personnes ne dégénère.
    Les mêmes sources ont révélé que le responsable de cet assassinat s’est interrogé auprès du colonel Ali Tounsi sur la véracité de certaines informations publiées par la presse, faisant état du gèle de certaines de ses prérogatives, dans le cadre d’enquêtes qui ont été conduites par le défunt sur des marchés conclus par l’Unité aérienne.
    Les enquêteurs ont entendu les témoignages des directeurs centraux présents à cette réunion, dans le cadre de l’enquête qui a été ouverte à cet effet.

    26-02-2010
    Par A.K/ synthèse de S.A/A.A (El Khabar).
    Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

  • #2
    Décès de Mr TOUNSI

    Je ne veux pas alimenter la polémique autour des circonstances de la mort de Ali TOUNSI.
    Au nom de quelle démocratie,de quelle déonthologie,on se permet d'étaler des informations sans fondement à l'endroit d'une personne décédée quelles qu'en seraient les circonstances???Pourquoi diaboliser un haut responsable de l'Etat???Faites-vous la même chose pour les responsables d'autres pays???
    Eh!bien NON!Alors UN PEU DE DIGNITÉ.

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    • #3
      Ce qu'il y'a de certain , c'est que ce Colonel Choaib a d'une maniere
      involontaire reussi a denoué une situation extremement domageable
      pour la police et le pays , a savoir le bras de fer entre un subalterne et son superieur hierarchique , c'est a dire le ministre de l'interieur .
      Ne le dites surtout a personne ! En Algerie , on refait les meme infrastructures de base ( routes , trottoirs , egouts , abris-bus etc ) a longueur d'année .

      Commentaire


      • #4
        Assassinat du chef de la police : l'enquête avance

        Par RFI

        On en sait un peu plus sur le mobile et les circonstances de l’assassinat jeudi 25 février 2010, dans son bureau, du patron de la police nationale algérienne, Ali Tounsi. Il aurait été atteint de plusieurs balles tirées par un de ses collaborateurs sur lequel pesaient des présomptions de corruption.
        Un communiqué du ministère de l'Intérieur indiquait que Ali Tounsi a été tué par un cadre de la police «apparemment victime d'une crise de démence». Après avoir tiré sur Ali Tounsi, ce dernier aurait retourné l'arme contre lui, se blessant gravement.

        On sait que l’assassin du patron de la police nationale, Ali Tounsi, est un de ses collaborateurs. Le jour même du drame, et sans que l’on y prête attention, le quotidien arabophone An Nahar annonçait qu’un cadre de cette institution était suspendu de ses fonctions de responsable de l’unité héliportée de la police, parce qu’il y avait une enquête sur des marchés présumés douteux dans lesquels il serait impliqué.

        C’est un autre quotidien arabophone, Echorouk, qui précise ce vendredi 26 février 2010 au matin que cet homme était venu demander en marge d’une réunion, une entrevue au colonel Ali Tounsi. Selon Echorouk, c’est là que tout a dégénéré : il y a eu de vifs échanges verbaux entre eux avant que le responsable de l’unité héliportée ne tire plusieurs balles sur son patron qu’il atteint mortellement.

        L’assassin a tenté, ensuite, de se donner la mort en se tirant une balle dans la poitrine, précise ce journal. Il est actuellement hospitalisé et serait dans un état comateux. Le patron de la police nationale, le colonel Ali Tounsi, auquel la télévision et la radio nationales ont rendu hommage sera inhumé après la prière du vendredi.

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        • #5
          Assassinat de Tounsi : Les faits selon Radio Kalima

          Contrairement à la version du ministère de l’intérieure qui parle d’acte de démence, nos informations indiquent clairement qu’il s’agit d’un acte réfléchi et froidement exécuté. Selon nos informations recueillies à Alger, le directeur général de la sureté nationale, M Ali Tounsi, a été assassiné dans son bureau jeudi 25 février à 10h du matin. Ce jour là, il a rendez vous avec M. Oultache Chouaib, directeur de l’unité aérienne de la sureté nationale, (la flotte d’hélicoptères de la police) basée à Dar El Beida. Depuis quelques temps, les relations entre les deux hommes se sont détériorées. A la suite d’un différent entre les deux hommes, M. Ali Tounsi, patron de la police depuis près de quinze ans, a fait comprendre à M. Oultache Chouaib qu’il ne comptait plus sur son travail et qu’il envisageait de le mettre à la retraite, tout comme d’autres cadres de la DGSN. Cette décision n’était visiblement pas du gout de l’ancien militaire. Ce colonel à la retraire, âgé de 64 ans, pilote d’aviation, est parfaitement sain d’esprit et il n’est pas du genre à se laisser faire. Lors de ce rendez vous, il entendait bien le faire comprendre à son patron. M. Oultache arrive à 10h précise et les deux hommes s’enferment dans le bureau de Tounsi. Les deux hommes s’enferment dans l’immense bureau du patron de la police. Une fois à l’intérieur, le colonel sort son arme et tire froidement cinq balles sur Ali Tounsi qui décède dans son bureau. Son premier forfait accompli, l’homme sort. Il demande à la secrétaire de Tounsi, qui n’a rien vu ou entendu ( Le bureau du DGSN est insonorisé) d’appeler d’autres responsables de la DGSN. Le chef de la sécurité d’Alger arrive parmi les premiers sur les lieux. Il voit l’assassin avec une arme à la main. Eclate alors une fusillade qui fait plusieurs blessés dont M. Oultache. L’assasssin, touché, est évacué vers Ain Naadja avec les treize autres personnes blessées dans la fusillade dont le directeur de cabinet de Ali Tounsi et le chef de la sureté d’Alger.
          Pourquoi le ministère de l’intérieure veut il faire croire à un acte de démence, alors que les conflits entre des cadres de la DGSN et le ministère de l’intérieure sont un secret de polichinelle. A plusieurs reprises, en 2008 et en 2009, des décisions de Ali Tounsi, de nominations de hauts cadres dans l’institution qu’il dirige, n’ont pas été validé par son ministre de tutelle, Yazid Zerhouni. Les désaccords entre les deux hommes sur les nominations des cadres à des postes sensibles sont sorties du cercle restreint et se sont retrouvées dans la presse.
          Quel mobile a t-il donc poussé un homme de 64 ans, expérimenté, à commettre l’irréparable? Il faudra trouver autre chose que la version de la démence pour expliquer un geste pareil dans un contexte politique perturbé. Il faudra probablement attendre l’enquête pour comprendre les véritables motifs d’un tel acte, à condition, bien sur, qu’on ne cherche pas à se cacher derrière la folie pour éviter de chercher dans la raison.

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          • #6
            Il faudra probablement attendre l’enquête pour comprendre les véritables motifs d’un tel acte
            Il faudra certainement attendre l'enquête pour ne plus rien comprendre aux motifs d'un tel acte.

            _
            "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

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            • #7
              Assassinat de Ali Tounsi : Le mobile du crime lié à des affaires de corruption

              En dépit de la version du ministère de l'intérieure qui semble vouloir orienter l'enquête sur l'assassinat de Ali Tounsi vers un acte de démence, les informations indiquent au contraire que le mobile trouve son origine dans les affaires de corruption.

              Le matin même du meurtre, un quotidien arabophone proche des services de sécurité, "Ennahar" a publié une information selon laquelle M. Oultache avait été relevé de ses fonctions en raison de soupçons sur des marchés effectués par sa direction avec des entreprises étrangères. Le quotidien a même été plus loin en insinuant l'hypothèse de l'implication du fils de M. Chouaib Oultache comme intermédiaire entre son père et les entreprises bénéficiaires des marchés. De toute évidence, M. Oulbache n'entendait pas laisser salir sa réputation et celle de sa famille sans réagir.
              M. Oultache a t il pris sa décision en soupçonnant, Ali Tounsi d'être derrière les insinuations d'Ennahar qui l'impliqueraient lui et son fils dans de graves affaires de corruption?
              Volonté de laver son honneur, règlement de comptes, vengeance, toujours est-il que les révélations faites la matinée même du drame, par ce seul quotidien, ne sont pas étrangères à cet assassinat. Une chose est également certaine : la mort de Ali Tounsi aura définitivement un lien avec les affaires de corruption qui éclabousse le pays depuis l'arrivée au pouvoir de Abdelaziz Bouteflika.

              Affaires de corruption

              Depuis quelques mois, les désaccords entre Ali Tounsi et le ministre de l'Intérieur, Yazid Zerhouni, tous deux issus de la sécurité militaire, ancêtre du DRS, s'étalaient dans la presse. Les deux hommes étaient, selon plusieurs sources, à couteaux tirés pour le contrôle réel de la police. En quelques années, Ali Tounsi a fait passer les effectifs de 120 000 éléments en 2005 à 200 000 en 2009 et ouvert le corps à une féminisation importante en dépit des pesanteurs d'une société conservatrice.

              Depuis que le Département du renseignement et de la sécurité (DRS, services spéciaux) s'est attaqué aux «clan présidentiel» impliqués dans des affaires de corruption, les rumeurs sur la fracture, transformée en guéguerre au sommet de l'État, alimentent les conversations et les analyses. Pour de nombreux observateurs, Yazid Zerhouni joue pour le camp du président Bouteflika, alors qu'Ali Tounsi est resté fidèle au général Tewfik Médiène, patron du DRS.

              Dans ce cas, l'assassinat du DGSN, pourrait annoncer de graves remous au sommet de l'état.

              Y. El Mizrani

              La verité est ailleure

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              • #8
                la version de H. Haroone sur aljazeera.
                كبير له، أصيب بنوبة جنون حسب وكالة الأنباء الجزائرية، وتضاربت الأنباء حول مصيره، في ضربة طالت أحد أركان أجهزة الأمن الجزائرية، وجاءت وسط تحقيقات واسعة في قضايا فساد بمليارات الدولارات حظيت بتغطية إعلامية محلية واسعة.

                وتقول أغلب الروايات إن تونسي (76 عاما) قتل خلال لقاء عاصف بعقيد يشغل منصب قائد وحدة المروحيات في الشرطة كان غاضبا على قرار إقالته، على خلفية تحقيق في قضية فساد في قطاعه.

                وأطلق الضابط النار على تونسي، ووقع بعدها تبادل لإطلاق النار جرح فيه شخصان بينهما محافظ شرطة العاصمة الجزائرية، حسب بعض الروايات.

                تونسي كان ضابط استخبارات ثم أدار جهاز الشرطة بعد تقاعده من الجيش (رويترز-أرشيف)
                مصير القاتل

                ولم يتأكد مصير القاتل، فقد قالت وكالة الأنباء الجزائرية إنه أطلق النار على نفسه وأصيب بجروح خطيرة نقل بعدها إلى مستشفى عسكري، لكن أسوشيتد برس نقلت عن مصدر أمني لم تسمه قوله إنه قتل.

                وقال حسين هارون -الضابط السابق في الاستخبارات الجزائرية اللاجئ في لندن، في اتصال مع الجزيرة نت- إن القاتل خاطب تونسي قبل قتله بهذه الكلمات "أنا لا أقبل أن يحكمني ’حَرْكِي‘. رايح نْسَّلَكْ الشعب منك"، (سأريح الشعب منك).

                وحَرْكِي لفظ جزائري يطلق على من قاتل مع الجيش الفرنسي ضد الثورة الجزائرية، في إشارة إلى خدمة تونسي في هذا الجيش قبل التحاقه بجيش التحرير الوطني.

                تحقيقات في الفساد
                وحسب حسين هارون، فقد دخل القاتل مكتب تونسي دون موعد مسبق (في العاشرة وخمس وأربعين دقيقة بتوقيت الجزائر) وكان غاضبا لما آل إليه تحقيق في قضايا فساد في الشرطة ألقي بالمسؤولية فيها عليه فقط، وكان يحتج بالتالي على تحويله كبش فداء.

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                • #9
                  que Dieu Ait A Son Ame. C'etait Un Grant Homme.


                  Commentaire


                  • #10
                    Tounsi était déjà dans la ligne de mire d’un certain nombre de personnes au pouvoir… ce qui est encore plus bizarre, c’est qu’il le savait très bien.
                    Maintenant, faut savoir est ce vraiment un acte isolé, ou est-ce bien un reglement de compte?.
                    un proverbe africain disait : “lorsque deux grands éléphants se battent, c’est l’herbe qui souffre !
                    عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون

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                    • #11
                      Allane a ecrit ceci dans un sujet qui é été fermé (tjr en réaction a la mort de Ali Tounsi):
                      Pas moi. J'ai pleuré amérement la mort de ce grand homme! moudjahid de la premiére heure, honnête officier de l'ANP et modernisateur des forces de police. Allah yerahmou et lui accorde Sa Miséricorde.

                      Il faut vérifier ses infos avant de nous débiter cela, le gars été plutot un moudjahid de la dernière minute si c'est pas du temps additionnel.

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                      • #12
                        Au nom de quelle démocratie,de quelle déonthologie,on se permet d'étaler des informations sans fondement à l'endroit d'une personne décédée quelles qu'en seraient les circonstances???

                        Je pense que l’article d’El Khabar est lié à la réaction officielle et quand il n’y a pas d’information crédible, c’est la porte grande ouverte à la rumeur.
                        Pourquoi diaboliser un haut responsable de l'Etat???

                        Perso, je ne vois pas, où est-ce qu’il a été diabolisé dans cet article.
                        Faites-vous la même chose pour les responsables d'autres pays???
                        Eh!bien NON!

                        Ben bravo, tu nous poses une question, mais tu réponds à notre place, c’est la loi du chef :
                        Article 1. Le chef a toujours raison.
                        Article 2. Si le chef a tort, se référer à l’article 1.
                        Alors UN PEU DE DIGNITÉ.

                        :22:
                        Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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                        • #13
                          sinon je vois que le mot "gendre" a disparu des articles.


                          tbahdila kebira déja que les généraux sont discrédités voila maintenant les colonels qui nous montrent ce qu'ils valent. il faut descendre encore dans l'échelle et nommer de jeunes lieutenants aux commandes du pays. Mais ça c'est la faute au général médiène qui place toutes ces personnes aux postes clé, ils devraient tous partir en retraite et lui avec.



                          black-knight07
                          Depuis que le Département du renseignement et de la sécurité (DRS, services spéciaux) s'est attaqué aux «clan présidentiel»
                          il n y a pas de clan présidentiel car bouteflika est la marionnette du clan kabyle qui est seul maitre de l'Algérie.





                          apparemment pris d’une crise de démence!!!
                          apparemment? apparemment!

                          zerhouni a l'air de dire : pas de panique les gars continuez à voler tranquillement c'est un fou c'est la démence, nous on s'occupe de calmer l'affaire ne vous inquiétez pas.

                          alors un mot pieux de ma part : Au suivant(s)

                          Commentaire


                          • #14
                            Interrogatif!

                            Boudiaf a été assassiné par un officier du DRS. Politiques et justice conclurent à un "acte isolé".

                            Ali Tounsi assassiné par un autre officier, colonel de son Etat. Conclusion hâtive de Zerhouni (c'est comme s'il y était):"acte de démence".

                            Doit-on comprendre que l'acte de l'assassin de Ali Tounsi est un "acte isolé"?

                            Par extension, ceux qui collent au pouvoir (Boutef, Toufik, Zerhouni, etc.) doivent-ils être victimes "d'actes isolés" pour quitter ce même pouvoir?

                            Sans faire preuve de "complotite", je ne puis m'empêcher de m'interroger sur la coïncidence d'un tel acte avec les remous politiques des affaires de corruption qui, elles, sont symptomatiques d'une véritable lutte de pouvoir.

                            Une autre interrogation: une police qui ne peut protéger son chef dans son propre bureau peut-elle prétendre protéger le peuple du fléau terroriste islamiste?
                            "Je naîtrai libre et je choisirai pour mon nom des lettres d’azur..." M.D.

                            Commentaire


                            • #15
                              Une autre interrogation: une police qui ne peut protéger son chef dans son propre bureau peut-elle prétendre protéger le peuple du fléau terroriste islamiste?
                              Personne ne se doutait, que son propre ami et en même temps son proche collaborateur, qui gérait l'unité héliportée puisse en arriver à ce drame.

                              Bonne nuit à tous et à toutes.
                              Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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