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Comme on est en "démocratie", donnons la parole à la minorité 
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Avec toutes les crises et échecs qui secouent le pays, El "Moudjahid", fidèle au serment des benis oui, ne change pas d'un iota sa ligne éditoriale. On se demande vriament avec quoi vit ce journal et avec quelles ressources. Personne ne l'achète sauf la occasionnellement Air Algérie, lorsqu'elle veut punir des passagers indésirables en 1 er classe.
Les perspectives pour le quinquennat qui s’ouvre consistent à tirer le pays vers plus d’ambition.
Pour y aboutir, le gouvernement a commencé à hiérarchiser ses priorités, renforcé l’autorité de l’Etat, réformé et favorisé la décentralisation et la concertation à tous les niveaux.
L’objectif est de poursuivre les réformes et que celles-ci se passent dans la sérénité en n’occultant pas les urgences sociales.
Les prévisions pour l’horizon 2014 vont à la structuration de l’Etat de droit qui est en soi une finalité car elle viendra consolider le précieux acquis engagé par le peuple algérien en matière de libertés publiques, dans le domaine de la démocratie, de la culture de la tolérance, de l’acceptation de l’autre.
Le peuple algérien a beaucoup payé pour que les valeurs essentielles qui font sa personnalité, qui fixent dans la mémoire collective ses référents culturels et éducationnels, jouissent de la reconnaissance.
C’est un combat qui aura constitué une tranche importante de la vie du pays. Les autorités politiques ont toujours accompagné ce combat pour la dignité. Durant cette décennie, des mesures exceptionnelles sont venues encadrer les évolutions sociales mettant en avant la promotion du citoyen et lui accordant la place la plus large possible dans les choix politiques et sociaux. Toujours entérinés à la suite de consultations électorales où le peuple s’est déterminé en toute conscience et en toute liberté.
Le pouvoir a joué en toutes circonstances la transparence, faisant du dialogue et de la concertation des cartes maîtresses dans le difficile jeu politique et social. L’ouverture qui est le résultat de cet effort et qui demeure une réalité de tous les jours a facilité l’assainissement des relations pouvoirs publics-communauté citoyenne dans tous ses segments : Société civile, société politique, monde économique et social, culturel. Dans cette phase, l’Algérie rappelle le Chef de l’Etat, a besoin de toutes les compétences qu’elle recèle, de tous les dévouements et de toutes les énergies laborieuses dont elle est capable. Réaliser le rassemblement de ces ressources, mettre en place les conditions d’expression de toutes leurs potentialités, ce sont-là, dans l’esprit du Premier magistrat du pays, les exigences cardinales de la politique nationale. La réponse aux nouveaux défis qui se posent au pays exige, on le sait, une vigilance accrue qui, seule, nous épargnera toutes formes de dérives et encore plus de tragédies. Elever le niveau de rigueur dans la gestion, développer l’initiative et la vision prospective sont les conditions pour les progrès attendus.
La réforme des structures et missions de l’Etat a été conduite et fait même l’objet d’une accélération pour que soient accompagnés les résultats de la politique de transformation engagée par le gouvernement, en veillant à leur consolidation.
Dans la stratégie appliquée sur le terrain, les responsables politiques ne veulent rien laisser au hasard. L’Algérie est engagée dans une bataille pour le développement qui intègre de façon prioritaire la promotion sociale. La haute priorité est donnée à l’amélioration des conditions de vie des citoyens.
Tout ce qui gravite autour de cet aspect fait et fera à l’avenir l’objet de programmes d’investissements importants. La tradition de solidarité nationale n’est pas perdue de vue puisqu’elle est une des composantes de la politique nationale. Elle accorde aux catégories vulnérables toute l’attention qui leur est due, en bannissant l’exclusion et en privilégiant l’intégration par la scolarisation, l’emploi, des conditions sociales et de vie décentes.
TAHAR Mohamed Al Anouar
El Moudjahid
.Avec toutes les crises et échecs qui secouent le pays, El "Moudjahid", fidèle au serment des benis oui, ne change pas d'un iota sa ligne éditoriale. On se demande vriament avec quoi vit ce journal et avec quelles ressources. Personne ne l'achète sauf la occasionnellement Air Algérie, lorsqu'elle veut punir des passagers indésirables en 1 er classe.
Les perspectives pour le quinquennat qui s’ouvre consistent à tirer le pays vers plus d’ambition.
Pour y aboutir, le gouvernement a commencé à hiérarchiser ses priorités, renforcé l’autorité de l’Etat, réformé et favorisé la décentralisation et la concertation à tous les niveaux.
L’objectif est de poursuivre les réformes et que celles-ci se passent dans la sérénité en n’occultant pas les urgences sociales.
Les prévisions pour l’horizon 2014 vont à la structuration de l’Etat de droit qui est en soi une finalité car elle viendra consolider le précieux acquis engagé par le peuple algérien en matière de libertés publiques, dans le domaine de la démocratie, de la culture de la tolérance, de l’acceptation de l’autre.
Le peuple algérien a beaucoup payé pour que les valeurs essentielles qui font sa personnalité, qui fixent dans la mémoire collective ses référents culturels et éducationnels, jouissent de la reconnaissance.
C’est un combat qui aura constitué une tranche importante de la vie du pays. Les autorités politiques ont toujours accompagné ce combat pour la dignité. Durant cette décennie, des mesures exceptionnelles sont venues encadrer les évolutions sociales mettant en avant la promotion du citoyen et lui accordant la place la plus large possible dans les choix politiques et sociaux. Toujours entérinés à la suite de consultations électorales où le peuple s’est déterminé en toute conscience et en toute liberté.
Le pouvoir a joué en toutes circonstances la transparence, faisant du dialogue et de la concertation des cartes maîtresses dans le difficile jeu politique et social. L’ouverture qui est le résultat de cet effort et qui demeure une réalité de tous les jours a facilité l’assainissement des relations pouvoirs publics-communauté citoyenne dans tous ses segments : Société civile, société politique, monde économique et social, culturel. Dans cette phase, l’Algérie rappelle le Chef de l’Etat, a besoin de toutes les compétences qu’elle recèle, de tous les dévouements et de toutes les énergies laborieuses dont elle est capable. Réaliser le rassemblement de ces ressources, mettre en place les conditions d’expression de toutes leurs potentialités, ce sont-là, dans l’esprit du Premier magistrat du pays, les exigences cardinales de la politique nationale. La réponse aux nouveaux défis qui se posent au pays exige, on le sait, une vigilance accrue qui, seule, nous épargnera toutes formes de dérives et encore plus de tragédies. Elever le niveau de rigueur dans la gestion, développer l’initiative et la vision prospective sont les conditions pour les progrès attendus.
La réforme des structures et missions de l’Etat a été conduite et fait même l’objet d’une accélération pour que soient accompagnés les résultats de la politique de transformation engagée par le gouvernement, en veillant à leur consolidation.
Dans la stratégie appliquée sur le terrain, les responsables politiques ne veulent rien laisser au hasard. L’Algérie est engagée dans une bataille pour le développement qui intègre de façon prioritaire la promotion sociale. La haute priorité est donnée à l’amélioration des conditions de vie des citoyens.
Tout ce qui gravite autour de cet aspect fait et fera à l’avenir l’objet de programmes d’investissements importants. La tradition de solidarité nationale n’est pas perdue de vue puisqu’elle est une des composantes de la politique nationale. Elle accorde aux catégories vulnérables toute l’attention qui leur est due, en bannissant l’exclusion et en privilégiant l’intégration par la scolarisation, l’emploi, des conditions sociales et de vie décentes.
TAHAR Mohamed Al Anouar
El Moudjahid
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