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Les algériens demandeurs d’asile politique font l’actualité en Suisse
Selon des rapports de presse parus récemment en Suisse, l’Algérie a refusé l’accueil de dizaines de ses ressortissants dont les demandes d’asile politique ont été rejetées par les autorités helvétiques, en se demandant sur quelles bases cette décision a été prise par l’Algérie, sachant que les deux pays ont conclu une convention bilatérale portant sur la coopération dans ce domaine.
Ce qui suscite l’inquiétude pour les autorités algériennes dans cette affaire, est le fait que l’Espagne qui assure la présidence périodique de l’Union Européenne, insiste énormément sur les conventions relatives à l’implantation des immigrés clandestins dont les demandes d’asile politique sont rejetées dans leurs pays d’origine et ce, à travers l’adoption d’une politique européenne commune. Ce qui complique la situation des algériens établis illégalement en Suisse. Ainsi, ce pays attend toujours le feu vert des autorités algériennes afin de les extrader. Mais cela ne semble pas évident, bien au contraire, à chaque fois que les autorités suisses entreprennent des procédures visant l’extradition des immigrants installés illégalement, des évènements éclatent, à l’instar de ceux enregistrés dernièrement à Genève.
Ce dossier a fait l’objet d’un débat au sein du parlement suisse, dont quelques députés ont posé des questions au gouvernement, à l’exemple du député Jean-Pierre Grand, qui a exigé des mesures sévères dans ce sens. « Certains pays ont ratifié des conventions, mais ils n’ont pas respecté leurs engagements », a-t-il commenté.
De son côté, le directeur du Centre de recherches sur le monde arabe et les pays méditerranéens, sis à Genève, M. Hasni Abidi, a déclaré à El Khabar que les deux pays sont liés par une convention conclue lors d’une visite de travail du ministre de la Justice suisse en Algérie, ajoutant que les deux pays doivent prendre en considération le fléau de l’immigration clandestine, car ce phénomène a porté atteinte à l’image de l’Algérie à l’étranger.
El Khabar
Selon des rapports de presse parus récemment en Suisse, l’Algérie a refusé l’accueil de dizaines de ses ressortissants dont les demandes d’asile politique ont été rejetées par les autorités helvétiques, en se demandant sur quelles bases cette décision a été prise par l’Algérie, sachant que les deux pays ont conclu une convention bilatérale portant sur la coopération dans ce domaine.
Ce qui suscite l’inquiétude pour les autorités algériennes dans cette affaire, est le fait que l’Espagne qui assure la présidence périodique de l’Union Européenne, insiste énormément sur les conventions relatives à l’implantation des immigrés clandestins dont les demandes d’asile politique sont rejetées dans leurs pays d’origine et ce, à travers l’adoption d’une politique européenne commune. Ce qui complique la situation des algériens établis illégalement en Suisse. Ainsi, ce pays attend toujours le feu vert des autorités algériennes afin de les extrader. Mais cela ne semble pas évident, bien au contraire, à chaque fois que les autorités suisses entreprennent des procédures visant l’extradition des immigrants installés illégalement, des évènements éclatent, à l’instar de ceux enregistrés dernièrement à Genève.
Ce dossier a fait l’objet d’un débat au sein du parlement suisse, dont quelques députés ont posé des questions au gouvernement, à l’exemple du député Jean-Pierre Grand, qui a exigé des mesures sévères dans ce sens. « Certains pays ont ratifié des conventions, mais ils n’ont pas respecté leurs engagements », a-t-il commenté.
De son côté, le directeur du Centre de recherches sur le monde arabe et les pays méditerranéens, sis à Genève, M. Hasni Abidi, a déclaré à El Khabar que les deux pays sont liés par une convention conclue lors d’une visite de travail du ministre de la Justice suisse en Algérie, ajoutant que les deux pays doivent prendre en considération le fléau de l’immigration clandestine, car ce phénomène a porté atteinte à l’image de l’Algérie à l’étranger.
El Khabar
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