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Le FFS se vend au Maroc. Ses dirigeants s’attaquent à l’Algérie à partir de Rabat.

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  • #16
    "Le Maroc n'a jamais soutenu l'appartheid, il a aidé l'ANC plus d'une fois, et Chirac avait fait des révélations en ce sens.
    D'ailleur le derniers des souci et de l'Afrique du Sud blanche et des marocains c'était de coopérer. Rien à voir HS."

    Dès que la vérité est prônée, on l'accuse de HS. Or, ma contribution est parfaitement bien étayée dès lors qu'elle accuse la narration du journaliste alléguant que Jeune Afrique est pro-marocain, alors que cet hebdo avait part que le Maroc avait acheté, en 1975, des armes à l'Afrique du Sud en temps d'apartheid ce qi pesèra lour puisque Mandela-qui n'a pas la mémoire courte-(dixit) en 1994, à peine parvenu à la présidence sud-africaine reconnaîtra la RASD.

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    • #17
      tu le fais exprès ou quoi, l'afs n'a reconnu la rasd que en 2004 sous mbeki....

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      • #18
        J’ai vu le reportage de Karim Tabbou à la 2M. Il s’est prêté aux questions vicieuses du commentateur marocain sur le régime algérien, DRS etc… Fehat Mehenni lui est une vraie girouette aux mains du makhzen.

        Je n’ai jamais vu sur la télé algérienne une émission invitant un responsable politique sahraoui qui dénigre le régime marocain de la sorte.
        "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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        • #19
          Je n’ai jamais vu sur la télé algérienne une émission invitant un responsable politique sahraoui qui dénigre le régime marocain de la sorte.

          le sahraouis dont tu parles devrait plutot dénigrer le polisario et ce qu'il fait....

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          • #20
            Je parle d'un responsable politique du polisario
            "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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            • #21
              @overclocker,

              Je réitère que l'AFS avait reconnu la RASD en 1994, ainsi une ambassade sahraouie ne s'ététait ouvert qu'en 2004. Donc nuance.

              Du reste, la lutte finale des deux pays pour l'obtention de la coupe du monde de foot de 2010 est là pour confirmer la date de 1994, puisque le Maroc avait voulu venger l'affront de la reconnaissance de la RASD et fut l'unique nation à maintenir sa candidaure jusqu'à la dernière, alors que le royaume n'avait aucune chance. On était en 2003!

              Toutefois, libre à toi d'éluder la réalité et soutenant la date de 2004.
              ________________________

              En 2003, la compétition pour la désignation du pays hôte de la Coupe du monde de football en 2010 met aux prises... l'Afrique du Sud et le Maroc

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              • #22

                L’Afrique du Sud reconnaît la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et provoque l’indignation du royaume du Maroc qui rappelle immédiatement son ambassadeur en Afrique du Sud.



                Nkosazana Dlamini-Zuma, la ministre sud-africaine des Affaires étrangères a elle-même fait l’annonce de la reconnaissance par son pays de la RASD, en invoquant les principes de l’Union africaine et de l’ONU. Elle a aussi précisé que les intentions de son gouvernement avaient été clairement «expliquées» et «argumentées» auprès des dirigeants marocains, en espérant que cela n’entraîne aucune «discorde» entre le Maroc et son pays. Mais la réponse des autorités marocaines a été prompte et ferme jugeant la décision sud africaine «inopportune de reconnaître la prétendue République arabe sahraouie démocratique, autoproclamée». Il a immédiatement rappelé son ambassadeur «pour consultation». Il exprime sa déception face à la nouvelle politique extérieure du gouvernement sud-africain.

                Depuis le retrait de l’Espagne en 1975 de ce territoire quasi désertique entre le Maroc, la Mauritanie et l’Algérie, le Maroc avait exprimé son droit à la souveraineté sur l’ancienne colonie espagnole, mais s’est heurté à la rébellion du Front polisario qui a proclamé la RASD, comme pays indépendant en 1976. L’OUA (l’Organisation de l’unité africaine) devenue Union africaine (UA) a reconnu l’existence de cet Etat en 1984 ce qui avait conduit le Maroc à se retirer de l’organisation panafricaine le 12 novembre 1984, en signe de protestation. Le Maroc a fait de l’intégration du Sahara occidental au territoire du royaume «une cause sacrée». Il se félicite du «fort courant de dénonciation de reconnaissance de la pseudo-RASD, rétablissant ainsi la légalité internationale et s’inscrivant dans les efforts des Nations unies», précise un communiqué du ministère des Affaires étrangères du Maroc.

                La RASD siège au Parlement panafricain

                Mais les dispositions de l’ONU ne sont pas aussi favorables à l’intégration de la RASD au royaume que le souhaiteraient les autorités marocaines. En effet, Alvaro de Soto l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU au Sahara occidental emboîte les pas de son prédécesseur, l’ancien secrétaire d’Etat américain, James Baker qui suggère un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui. Alvaro de Soto après une brève tournée dans les différentes capitales de la région annonce à Alger qu’il est «mandaté pour trouver une solution fondée sur le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui ». Or le Maroc rejette le plan Baker qu’il juge « obsolète et inapplicable». En revanche, Miguel Angel Moratinos, le ministre espagnol des Affaires étrangères estime que le plan Baker n’est qu’une «référence» et non un plan «sacro-saint».

                Cette déclaration apporte quelques notes de satisfaction à la diplomatie marocaine qui a essuyé en quelques jours de nombreux revers. La diplomatie sud africaine se défend d’avoir pris les autorités marocaines de court. «Ils (les Marocains) étaient au courant de notre intention», précise-t-on au ministère sud-africain des Affaires étrangères. Les autorités sud-africaines ont profité de l’ouverture de la session du Parlement panafricain (PAP) à Midrand, non loin de Johannesburg, pour annoncer la reconnaissance de cet Etat invité à la cérémonie d’ouverture. «C’est un motif de grande honte et de regret pour nous tous que la question de l’autodétermination pour le peuple du Sahara occidental reste non résolue», a déclaré le président Thabo Mbeki lors de son discours inaugural du parlement panafricain le 16 septembre à Midrand. Il faut rappeler que l’ONU dont les principes de défense des droits fondamentaux des peuples à disposer d’eux-mêmes sont cités par les uns et les autres, n’a pas reconnu la République arabe sahraouie démocratique.


                Article publié le 16/09/2004 Dernière mise à jour le 16/09/2004 à 16:40 TU

                http://www.rfi.fr/actufr/articles/057/article_30524.asp



                yallah à toi, prouve nous que c'est en 1994...preuve neutre pas de blog

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                • #23
                  alors que le royaume n'avait aucune chance

                  14 voix pour l'afs et 10 voix pour le maroc et tu parles de aucune chance...

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                  • #24
                    "yallah à toi, prouve nous que c'est en 1994...preuve neutre pas de blog"

                    J'ai poster à plusieurs reprises l'article de l'Hebdo Jeune Afrique démontrant que c'est Mandela qui avait reconnu la RASD en 1994, mais que des pressions n'avaient pas permis l'ouverture d'un bureau sahraoui à Prétoria.

                    De même que j'avais poster un article du journal français L'Express qui faisait part de l'expulsion par Bouteflika du représentant sud-africain lors de l'apartheid et dont les alliés de Washington (donc Maroc entres).

                    Or, j'ai pu constater que nos amis marocains n'ont pas la même interprétation de la langue de Molière que nous et preuve en effet le temps que l'on perd à propos des résolutions onusiennes à propos du conflit sahraoui. Il s'avère que celui-ci, le conflit, s'enlise dans le stautu quo contrairement aux soi-disant vctoires marocaines.
                    ____________________________

                    Les raisons de ce qui n'a que l'apparence d'un coup de tonnerre dans un ciel serein sont à rechercher ailleurs, et sans doute loin en arrière. Les germes de l'aigreur sont semés dès 1962, lors de la tournée de Nelson Mandela au Maghreb. Celui qui est alors le leader de l'ANC clandestin dans son propre pays rencontre Bourguiba et Ben Bella, mais n'est reçu au Maroc par aucun officiel - ni, a fortiori, par le roi Hassan II. Plus tard, au début des années 1980, lorsque le même Mandela croupit à Robben Island, l'armée marocaine, en pleine guerre contre le Polisario soutenu par l'Algérie, se fournit secrètement en blindés légers Panhard fabriqués sous licence en Afrique du Sud. Il n'en faut pas plus pour que l'ANC y voit une collusion entre le royaume et le régime de l'apartheid, et assimile le combat des indépendantistes sahraouis au sien - la commune idéologie « progressiste » des deux mouvements faisant le reste. En 1994, à peine arrivé au pouvoir, Nelson Mandela, qui n'a pas la mémoire courte, s'engage par écrit auprès du président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, à reconnaître sans délai l'entité sahraouie. Le Polisario ouvre aussitôt un bureau à Pretoria. Mais les pressions américaines, françaises, saoudiennes, puis celles de James Baker - le représentant spécial de Kofi Annan au Sahara - incitent l'Afrique du Sud à reporter sa décision. En 2000, la ministre Dlamini Zuma informe officiellement le Maroc que son pays, sans rien renoncer de ses convictions, est prêt à jouer les médiateurs entre les deux parties. Rabat fait la sourde oreille.

                    http://www.jeuneafrique.com/article....94lesdeerutpu0
                    _________________________

                    Sens de la tactique

                    S'il garde une aura, il la doit à ses coups d'éclat diplomatiques. En 1974, alors président de l'Assemblée générale des Nations unies, il accueille Yasser Arafat, dirigeant de l'OLP, avec les honneurs dus à un chef d'Etat. Mieux: il expulse les représentants de l'Afrique du Sud alors sous le régime de l'apartheid. Washington et ses alliés enragent.

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                    • #25
                      Premisse:

                      Je n’ai jamais vu sur la télé algérienne une émission invitant un responsable politique sahraoui qui dénigre le régime marocain de la sorte.
                      vérité:

                      Je n’ai jamais vu sur la télé algérienne une émission invitant un responsable politique.
                      Parfois less is more...

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                      • #26
                        En 1994, à peine arrivé au pouvoir, Nelson Mandela, qui n'a pas la mémoire courte, s'engage par écrit auprès du président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, à reconnaître sans délai l'entité sahraouie. Le Polisario ouvre aussitôt un bureau à Pretoria. Mais les pressions américaines, françaises, saoudiennes, puis celles de James Baker - le représentant spécial de Kofi Annan au Sahara - incitent l'Afrique du Sud à reporter sa décision. En 2000, la ministre Dlamini Zuma informe officiellement le Maroc que son pays, sans rien renoncer de ses convictions, est prêt à jouer les médiateurs entre les deux parties. Rabat fait la sourde oreille.

                        oui oui et elle est ou le reconnaissance de mandela, mais tu sais lire tes textes ou pas.... c'est en 2004 comme je t'ai dit sous mbeki...

                        20/09/2004 à 00h:00 Par François Soudan (Avec Élise Colette)

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                        • #27
                          Attaques en bonne et due forme
                          M . Tabbou ne gagnera rien aux yeux de l Algérie profonde ..

                          il enfonce le parti « FFS » dans la M*/

                          Il faut être vraiment à court d'idées et d'arguments pour utiliser la question de l'ouverture des frontières algéro-marocaines comme prétexte pour tirer de nouveau sur le pouvoir et tenter par-là même de séduire par un discours populiste dépassé. Malheureusement, Karim Tabbou, puisque c'est de lui qu'il s'agit, n'a ni réussi à séduire ni à convaincre.

                          Le numéro deux du FFS a donc prêché dans le vide. Pourtant, Tabbou qui s'est taillé une réputation d'un homme franc qui n'a pas froid aux yeux, aurait bien fait d'aborder la question sahraouie et les humiliations que subissent les militants et les militantes du Front Polisario, chaque jour que Dieu fait, d'autant que le sujet est toujours d'actualité.

                          Il a préféré tirer de nouveau sur l'Algérie en l'accusant d'être responsable de cette fermeture des frontières. Difficile d'être d'accord avec lui comme il est difficile d'accepter les faux arguments qu'il présente.

                          L'affaire des frontières, puisque aux yeux de Tabbou, c'est bel et bien une affaire, n'est que la partie apparente de l'iceberg. Il existe trop de divergences aujourd'hui entre l'Algérie et le Maroc, la plus connue, la plus banale et la plus importante reste évidemment la question du Sahara occidental et le principe d'autodétermination du peuple sahraoui que le Maroc refuse catégoriquement. S'il existe bien un pays qui empêche la construction du Maghreb, il est évident que c'est le Maroc. Il faut être vraiment de mauvaise foi pour le nier. Et bien c'est ce qu’arrive à faire, avec une grande prouesse, Karim Tabbou, lui qui, visiblement, préfère sortir carrément du lot avec sa vision et sa vérité toute personnelle.

                          Le Carrefour D'algérie
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                          • #28
                            "oui oui et elle est ou le reconnaissance de mandela, mais tu sais lire tes textes ou pas.... c'est en 2004 comme je t'ai dit sous mbeki..." (oveclocker)

                            Je sais que pour le brave peuple marocain ce fut une épreuve terrible que d'apprendre que Mandela avait reconnu la RASD. Mais si les marocains avaient su que leur gouvernement (enfin disons H2) s'était rangé du côté de l'apartheid, sans doute que la surprise fut moins grande.

                            Cela étant, tu es libre d'éluder l'histoire et je persiste à te confirmer que l'Afrique du Sud avait reconnu la RASD en 1994. Pour preuve, en 2003 lorsque le pays de Mandela avait offert ses bons offices dans le conflit sahraoui, Rabat avait fait la sourde oreille. Pourquoi le royaume avait décliné l'arbitrage de l'Afrique du Sud? Qu'on s'imagine que le Nigéria serait proposé à la même diplomatie que l'Arique du Sud, le Maroc l'aurait également refusé.

                            D'où, selon les analystes, la position précaire du Maroc car il a contre lui les 3 poids lourds africains.

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                            • #29
                              Beidawi: Il vous arrive des fois de parler du Maroc dans les mêmes termes que les grandes puissances!!

                              Le Maroc n'a jamais soutenu l'appartheid, il a aidé l'ANC plus d'une fois, et Chirac avait fait des révélations en ce sens.
                              D'ailleur le derniers des souci et de l'Afrique du Sud blanche et des marocains c'était de coopérer. Rien à voir HS.
                              si c'est un HS pourquoi t'as répondu à omar spécialiste des HS

                              le sujet c'est tabbou qui ne peut s'exprimer sur à la télé algérienne (liberté d'expression oblige) trouve une tribune pour simplement exprimer l'opinion du plus vieux en algérie

                              et comme il s'exprime à partir du Maroc, souffre douleur d'el mouradia et des généraux, c'est un prétexte pour que les torchons algériens s'en mettent plein le papier alors que les problèmes en Algérie ne manque pas

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                              • #30
                                omar: D'où, selon les analystes, la position précaire du Maroc car il a contre lui les 3 poids lourds africains.
                                tu pollue le topic par tes HS le sujet c'est :
                                tabbou qui n' a pas le droit de s'exprimer sur les chaines algériennes, s'exprime sur 2M

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