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Relation algéro-tunisienne.

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  • #31
    --------------------------------------------------------------------------------

    guaponen

    est a ton avis qui gouverne l'algérie aujourd'hui c'est islamiste ?

    en disant que la religions est un culte privé c'est vraiment une image occidental ....

    excuse moi je veux pas être desagreable , mais pour crée un systéme politque de chaque pays ont doit d'abords prendre en conciderations les specificité de ce pays si tu fait du copiage comme c'est le cas aujourd'hui dans tous les pays arabes et musulmans ont ne fait que tourné en rond , ce n'est pas avec une vision occidental que nous allons réglé les problèmes de nos pays qui ne sont pas occidental et qui ne sont pas habité par des occidentaux !!!

    d'après la constitution l'algérie est laîc !!


    Faux!
    En Algérie,l'Islam une religion d'Etat(relis la constitution).
    La religion a été instrumentalisée aussi bien par le pouvoir que par les Islamistes
    fanatiques.

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    • #32
      En Algérie,l'Islam une religion d'Etat(relis la constitution).
      idem en allemagne, au danemark, en israel...

      on oublie bien volontiers cela, ca derange

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      • #33
        Envoyé par tamerlan Voir le message
        non pas a ce point ...mais ça viendra ...mais les cadres sont mieux rémunéres..et elle de bonnes ressources humaines merveuilleusement adaptées aux besoisnet aux realités economiques du pays

        chez nosu on forme des biologistes des sociolgue des psycologue ..pourquoi faire?? ..VA SAVOIR
        Pour être allée plusieurs fois en Tunisie, je peux dire sans hésitation que la qualité de vie est meilleure en Tunisie qu'en Algérie: une grosse classe moyenne, de l'eau courante(froide ET chaude lol!) partout, les produits alimentaires plus accessibles etc....

        .......et plus de tolérance aussi.

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        • #34
          cest disneyland...

          hammamet ce nest pas toute la tunisie...

          Un bastion ouvrier dans le bassin de Gafsa
          Révolte du « peuple des mines » en Tunisie

          En arrêtant fin juin plusieurs dirigeants du mouvement de protestation qui touche la ville de Redeyef, en les inculpant de délits graves (constitution de bandes en vue de commettre des agressions contre les personnes et les biens, déstabilisation de l’ordre républicain, violences sur des représentants de l’ordre, etc.), en conduisant des interrogatoires musclés, le pouvoir tunisien tente de mettre fin à une mobilisation qui a regroupé depuis le mois de janvier toute la population du bassin minier de Gafsa.

          Par Karine Gantin et Omeyya Seddik


          « Puisqu’ils veulent tant cette ville, on la leur laisse ! »En colère, les femmes de Redeyef, dans le bassin minier de Gafsa, décrètent l’évacuation générale, le mercredi 7 mai 2008. De nombreux habitants « démissionnaires » prennent la route avec un bagage improvisé pour protester contre l’invasion de leur ville par la police. Celle-ci les met en garde : s’ils gagnent ainsi la montagne, en direction de l’Algérie, ils seront accusés de trahison, à l’instar des habitants du village voisin qui avaient demandé l’asile politique à ce pays, quelques semaines plus tôt. Ils font donc demi-tour, convaincus par les membres du comité de négociation saisi par un pouvoir local désorienté. L’argument avancé les convainc : il faut rester... pour continuer la lutte.
          Depuis le début de cette année, à quatre cents kilomètres au sud-ouest de Tunis, la population de ce bastion ouvrier, souvent rebelle par le passé (1), se construit ainsi sa propre histoire dans une révolte soudée, rageuse et fière. Elle affronte sans faillir une stratégie gouvernementale faite d’encerclement et de harcèlement policiers d’un côté, de contrôle des médias de l’autre./1Tout commence le 5 janvier 2008, jour où sont publiés les résultats, jugés frauduleux, du concours d’embauche de la Compagnie des phosphates de Gafsa (CPG), l’unique moteur économique de la région. De jeunes chômeurs occupent alors le siège régional de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), à Redeyef. Ils sont rejoints par les veuves des mineurs et leurs familles, qui installent leurs tentes devant le bâtiment. Le mouvement s’étend rapidement. Ouvriers, chômeurs, lycéens et habitants multiplient les grèves, les actions et les rassemblements. Sur fond de grande pauvreté et de flambée des prix, tous protestent contre la corruption d’un système local népotique et contre une politique de l’emploi injuste.
          Redeyef est proche de la frontière algérienne. Comme les autres villes du bassin minier de Gafsa (Oum Larayes, Metlaoui, El Mdhilla...), elle vit sous l’empire de la CPG depuis la création de cette dernière en 1897, autour des gisements découverts par le Français Philippe Thomas (vétérinaire militaire, directeur de pénitencier agricole indigène, géologue amateur).
          L’extraction des richesses du sous-sol s’y est faite, dès les origines, selon les méthodes typiques du modèle colonial (2) : accaparement des terres par l’expropriation brutale des populations indigènes ; exploitation intensive des ressources naturelles ; extraction à forte consommation de vies humaines et à forte production de déchets polluants ; rapports de travail et de pouvoir appuyés sur les allégeances clientélistes, claniques et familiales (3).
          Phosphate, clientélisme
          et corruption

          L a plupart de ces traits ont survécu à la décolonisation, sous des formes renouvelées. La CPG, qui a fusionné en 1996 avec le Groupement chimique tunisien (GCT), reste le principal pourvoyeur d’emplois de la région. Au cours des vingt-cinq dernières années, la modernisation de la production, la fermeture progressive des mines de fond au profit de celles à ciel ouvert ont diminué la pénibilité du travail et le taux de mortalité parmi les ouvriers. Mais cette modernisation, articulée à l’application du plan d’ajustement structurel, a réduit d’environ 75 % les effectifs de la compagnie.
          Aujourd’hui, seules cinq mille personnes y sont directement employées. Elles bénéficient d’un statut et de conditions de travail enviés dans une région où le chômage frappe 30 % de la population active (le double du taux national), selon des chiffres officiels discutés. Autour de la compagnie gravitent de nombreuses entreprises de sous-traitance, avec leurs emplois précaires et sous-payés. Le petit commerce, notamment avec l’Algérie voisine, complète le tableau de l’emploi. Pour trouver du travail, certains risquent leur vie en traversant la Méditerranée. D’autres s’installent dans les banlieues pauvres des villes de la Tunisie « utile », celle du littoral.
          Les cinq mille postes de la compagnie ainsi que les fonds destinés à la reconversion sont gérés en collaboration étroite avec l’UGTT. Jusqu’à ces dernières années, la stabilité de la région était obtenue avec une modeste redistribution des bénéfices énormes que génère l’industrie phosphatière, selon de subtils équilibres claniques et familiaux garantis par les dirigeants régionaux de la centrale syndicale et du parti au pouvoir, le Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD). Ces dirigeants étaient en même temps les représentants ou les interlocuteurs des principales tribus de la région, les Ouled Abid et les Ouled Bouyahia. La diminution progressive des ressources à distribuer et la généralisation de la corruption, alors même que le cours international du phosphate flambe, ont rompu ces équilibres. La direction régionale de l’UGTT est devenue le centre d’une oligarchie qui ne fait plus bénéficier que ses amis et parents directs des miettes de la rente phosphatière. Elle est le représentant local le plus puissant de ce que les habitants ne voient plus que comme un pouvoir « étranger » injuste.
          « Nous, le peuple des mines, nous ne sommes jamais injustes, mais si on est injuste envers nous, alors... »La phrase se conclut sur un juron explicite. La banderole est déployée à l’une des entrées de Redeyef, un quartier pauvre et marginalisé, théâtre d’affrontements récents avec la police. Au fil des mois, depuis janvier, la mobilisation n’a pas faibli. Au contraire, les actions des chômeurs, des diplômés sans emploi de l’université sont renforcées par des occupations et des manifestations, dans lesquelles se retrouve toute la population. Les sit-in des familles des invalides de la compagnie et des morts à la mine se conjuguent aux actions des ouvriers licenciés. Les protestations des mères dont les fils ou les maris sont emprisonnés à la suite des premières manifestations ont débouché sur une grève générale qui touche jusqu’aux petits commerçants.
          La nuit, des jeunes patrouillent dans Redeyef par petits groupes pour la protéger, après avoir sonné le rassemblement à l’aide de pierres cognées contre les structures métalliques d’un pont. Ils appellent ça les « tambours de la guerre » et usent d’un vocabulaire qui convoque les traditions des tribus guerrières, prêts qu’ils sont à affronter les policiers... ou à leur voler leurs sandwichs pour les redistribuer. Le ton général reflète une impressionnante cohésion populaire que les forces de l’ordre ne parviennent pas à rompre. En dépit du contrôle étatique des médias, le soulèvement de cette région enclavée représente le mouvement social le plus long, le plus puissant et le plus mûr qu’ait connu l’histoire récente de la Tunisie.
          Le pouvoir y a répondu par une répression de plus en plus brutale qui a fait au moins deux morts, des dizaines de blessés et de détenus. Des familles ont été brutalisées, des biens privés saccagés. Le déploiement d’unités blindées de l’armée a renforcé le siège du bassin minier durant le mois de juin. L’escalade de la violence d’Etat se manifeste par l’utilisation de balles réelles, par la multiplication des enlèvements de jeunes pour interrogatoire et emprisonnement, et par des ratissages militaires dans les montagnes environnantes, en vue de retrouver ceux qui tentent d’échapper à la torture.
          Plusieurs groupes de jeunes ont déjà été traduits devant les tribunaux d’où la population a été écartée par les forces de l’ordre. La lourdeur des peines diffère du tout au tout, d’un procès à un autre, signe que le pouvoir hésite sur la stratégie à tenir.

          Karine Gantin et Omeyya Seddik
          http://www.monde-diplomatique.fr/2008/07/GANTIN/16061

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          • #35
            Envoyé par tamerlan Voir le message

            chez nosu on forme des biologistes des sociolgue des psycologue ..pourquoi faire?? ..VA SAVOIR
            Pour alimenter les laboratoires de recherche du monde.

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            • #36
              il y a des chercheurs en algerie....et avec des budgets plus que consequents

              mais pour le comprendre il semble quil faille etre en post-doctorat, la capacité danalyse semble faire defaut sinon...

              Programme 2010-2014: 250 milliards de DA pour la recherche scientifique et les nouvelles technologies de la communication




              ALGER – Une enveloppe de 250 milliards de DA a été allouée par l’Etat dans le cadre du programme public de développement économique et social 2010-2014, adopté le 24 mai en Conseil des ministres, pour le développement de la Recherche scientifique et les nouvelles technologies de la communication et le parachèvement des acquis des précédents plans. A ce titre, 100 milliards de DA ont été destinés au développement de la Recherche scientifique, 50 milliards de DA aux équipements destinés à la généralisation de l’enseignement de l’informatique dans tout le système national d’éducation, d’enseignement et de formation et 100 milliards de DA pour la mise en place de la gouvernance électronique « e-gouvernance ».
              APS
              a rabat....combien de depense en R et D...

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              • #37
                Envoyé par hugochavez59 Voir le message
                cest disneyland...

                hammamet ce nest pas toute la tunisie...



                http://www.monde-diplomatique.fr/2008/07/GANTIN/16061
                Bravo chafez,tu nous etonnes ,tu faits toujours de ton mieux pour chercher un article , n importe lequel pour soutenir tes hypothese.Ici on parle des relation algero-tunisiennes qui'ils faut renforcer ,et toi tu nous expliques que les tunisiens ne vivent pas mieux que les Algeriens avec des argument fallacieux comme d'hab...allah i3fou 3alik,tu regardes juste ton bout de nez parce que tu es le meilleurs.
                Coucher du soleil à Agadir

                Commentaire


                • #38
                  Envoyé par keazy Voir le message
                  Bravo chafez,tu nous etonnes ,tu faits toujours de ton mieux pour chercher un article , n importe lequel pour soutenir tes hypothese.Ici on parle des relation algero-tunisiennes qui'ils faut renforcer ,et toi tu nous expliques que les tunisiens ne vivent pas mieux que les Algeriens avec des argument fallacieux comme d'hab...allah i3fou 3alik,tu regardes juste ton bout de nez parce que tu es le meilleurs.
                  Effectivement!

                  C'est bien de soutenir son pays, mais c'est sur, il ne faut pas se voiler la face. Quiconque est allé à Tunis a pu voir la différence avec Alger: plus de propreté, de civisme, moins de monde entassé....

                  J'espère que l'Algérie prendra exemple sur la Tunisie de ce point de vue là...

                  Commentaire


                  • #39
                    Effectivement!

                    ". Quiconque est allé à Tunis a pu voir la différence avec Alger: plus de propreté, de civisme, moins de monde entassé...."

                    et quiconque est allé a Alger a pu voir la différence avec TUNIS : plus de liberté ; plus d'infrastructure , et surtout plus de fierté chez la population.

                    J'espère que l'Algérie prendra exemple sur la Tunisie de ce point de vue là...
                    t
                    out a fait et vice versa .

                    une alliance des opérateurs économique est la première étape pour réaliser l'union maghrébine.
                    "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

                    Commentaire


                    • #40
                      Je ne suis pas superstitieux mais je commence à croire aux malédictions...

                      Chaque fois qu'on essaye de discourir objectivement, quelqu'un nous heurte en écharpe...L'affaire ici n'est pas quel pays a le plus de mérites mais comment rapprocher ces deux Etats...Un plan, je demande un plan, advices, you know, that's all...
                      Dernière modification par rossinhol, 08 juin 2010, 22h10.

                      Commentaire


                      • #41
                        Chaque fois qu'on essaye de discourir objectivement, quelqu'un nous heurte en écharpe...L'affaire ici n'est pas quel pays a le plus de mérites mais comment rapprocher étroitement ces deux Etats...Un plan, je demande un plan, advices, you know, that's all...
                        discours objectif = tunisie est 1 milliards de fois mieux que lalgerie...

                        ce nest ni connaitre la tunisie, ni connaitre lalgerie...ce ne vraiment connaitre pas grand choise aux realites de ces deux pays

                        (belgique, france pour une comparaison raisonnable,
                        ou autriche, allemagne : mais certainement pas linverse !!! )

                        Commentaire


                        • #42
                          Envoyé par zemfir Voir le message
                          Effectivement!

                          ". Quiconque est allé à Tunis a pu voir la différence avec Alger: plus de propreté, de civisme, moins de monde entassé...."

                          et quiconque est allé a Alger a pu voir la différence avec TUNIS : plus de liberté ; plus d'infrastructure , et surtout plus de fierté chez la population.

                          J'espère que l'Algérie prendra exemple sur la Tunisie de ce point de vue là...
                          tout a fait et vice versa .

                          une alliance des opérateurs économique est la première étape pour réaliser l'union maghrébine.
                          A quoi ça sert la liberté quand il n'ya aucun résultat derrière?

                          Plus d'infrastructure?(!) T'es déja allé à Tunis? Pcq là je ne comprends simplement pas...

                          Plus de fierté? Ca dépend en quoi..

                          Mais bon, on est dans le politiquement correct ici, alors continuons de dire que vivre en Algérie c'est formidable.

                          Ps: je connais très bien la Tunisie car j'ai de la famille là bas.

                          Mais bon je m'égare, restons en au sujet en effet.

                          Un plan? des partenariats et encore des partenariats.....

                          Commentaire


                          • #43
                            tunis : infrastructures....un tram !

                            politiquement correct : en tunisie y a interet !!! sinon prison direct !!


                            le modele tunisien...tres surestimé....avec une presse muselée qui chante des mensonges a la gloire de ben a vie

                            + le clan des trablelsi....uniques au maghreb...


                            pour la cooperation je prefere mille fois lespagne...nettement moins grotesque comme modele

                            Commentaire


                            • #44
                              A quoi ça sert la liberté quand il n'ya aucun résultat derrière?
                              la liberté c'est la vie et ça sert a différencier les prisonnier des hommes libres entre autres.
                              Plus d'infrastructure?(!) T'es déja allé à Tunis? Pcq là je ne comprends simplement pas...
                              oui je connais Tunis comme je connais Alger ! et Alger est cinq fois plus grande que TUNIS.
                              Pour les infrastructures mis a part les hôtels pour les touristes ya pas a comparer .

                              Plus de fierté? Ca dépend en quoi..
                              en tous .

                              Mais bon, on est dans le politiquement correct ici, alors continuons de dire que vivre en Algérie c'est formidable.
                              c'est loin d'être formidable mais aussi de loin mieux que la plupart des pays arabes y compris le clubmed-pays qu'es la TUNISIE.

                              Ps: je connais très bien la Tunisie car j'ai de la famille là bas.
                              Moi aussi et surtout tout les millions d'algériens qui y vont passer leurs vacances chaque année.

                              Mais bon je m'égare, restons en au sujet en effet.
                              ne t'en fait pas je suis la pour te montrer le chemin et c'est gratis par contre en Tunisie pour avoir un renseignement il faut montrer la couleur des euros cela aussi fait partie des differances.

                              Un plan? des partenariats et encore des partenariats...
                              organiser les jeux olympiques ferra un beau projet pour souder les deux pays vers un projet grandiose.
                              Dernière modification par zemfir, 08 juin 2010, 19h44.
                              "sauvons la liberté , la liberté sauve le reste"

                              Commentaire


                              • #45
                                il y a un serieux complexe chez certains

                                meme une ville assi insipide et banale comme tunis les fait rever...incroyable !!!

                                Commentaire

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