Nous avons le droit à tout puisque nous avons payé le prix. Personne ne peut nous écarter. On ne peut pas laisser cette Algérie entre d’autres mains que celles de la génération du Premier Novembre», a-t-il lancé aux présents. Tayeb Houari accuse certains médias de déformer ses propos et de s’attaquer à lui, à son organisation et à la famille révolutionnaire sans aucune raison apparente. Mais il évite de citer ces journaux, se contentant de dire : «Nous ne sommes pas étonnés de voir toutes ces critiques injustifiées à notre égard. Il ne faut pas s’en étonner et sachez que cela ne nous fait absolument pas peur.» Le secrétaire général de wilaya de l’ONM d’Alger, M. Zergaoui Mustapha, dira, pour sa part, que «l’Etat ne s’est jamais intéressé à régler nos problèmes, et ce, depuis fort longtemps ». Après une réunion de deux heures où les uns et les autres ont dénoncé la marginalisation dont ils sont victimes et le «mépris de certains fonctionnaires des administrations publiques», les membres des deux organisations ont fini par adopter une seule et même déclaration. Outre les revendications liées à des considérations matérielles et aux privilèges qui leur sont accordés, les membres de l’ONM d’Alger ont tenu à ne soutenir aucun candidat aux prochaines élections.
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La marche des fils de chouhada entre Tizi Ouzou et Alger empêchée par les forces de s
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Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent
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On a tendance de beaucoup pérorer sur les privilèges soi-disant consentis aux enfants de chouhadas. Si l'on est pas une descendance directe d'un martyr "mythe", aucun statut particulier n'est conféré à la frange des "orphelins" de la révolution. Tout au plus, cette frange peut obtenir une carte de chouhadas qui devrait lui accorder des priorités (notamment d'emploi à l'Etat, libération de l'obligation d'effectuer son service militaire), mais il ne s'agit pas d'un droit implicite.
Aussi, il y a lieu de faire nuance et pas délirer comme le fait le responsable de la fraterie des chouhadas qui, par ses élucubrations, ne fait qu'attiser des jalousies.
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la jalousie de quoi
la jalousie d'etre traitre a soit meme ont prenant le titre a la place du vrai orphelin a soixante ou soixante disant
la jalousie d'etre fils d'un faut moudjahid qui a trahit la nation c'est ça la jalousieDernière modification par le sage, 04 juillet 2010, 19h26.
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aucun algeriens ne peut accepter des comportements de crapules,mais de là a insulter ou mettre tout le monde dans le meme sacs il faut evaluer les distances...et puis il y a ceux qui viennent par habitude vider leurs venin ,et un fils de traitre restera toujours un traitre chassé le naturel et il revient au galop ...pour ceux qui arrete pas de remettre sur le tapis leur sympathie pour les terroristes et les harkis ...ps je ne suis pas fils de chahidmon papa a 80 ans et il est bien la ok
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fils de traitre restera toujours un traitre chassé le naturel et il revient au galop
pour ceux qui arrete pas de remettre sur le tapis leur sympathie pour les terroristes et les harkis
Je dis simplement qu'on ne peut être jugé pour ce qu'a fait un proche. Si on applique ce principe, non seulement on se débarrassera des parasites qui se permettent tout au nom de ce que leurs parents auraient fait, mais aussi on libérera ceux qui portent la croix de leurs parents, frères,.... Enfin, si tu veux porter sur ton dos le casier judiciaire de toutes les personnes que tu connais, c'est ton problème.
PS: je ne suis pas proche de terro non plus.Dernière modification par Blofeld, 04 juillet 2010, 20h53.
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