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Semaine culturelle de la ville d'Ispahan (Iran) en Algérie

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  • Semaine culturelle de la ville d'Ispahan (Iran) en Algérie

    une belle occasion de découvrir la culture perse.....plurimillenaire....

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    Du 18 au 25 juillet : Semaine culturelle de la ville d'Ispahan (Iran) en Algérie

    L'Algérie abrite du 18 au 25 juillet la semaine culturelle de la ville iranienne d'Ispahan avec la participation de quelque 90 artistes de renom représentant plus de 40 genres artistiques.

    PUBLIE LE : 16-07-2010 | 23:41

    L'Algérie abrite du 18 au 25 juillet la semaine culturelle de la ville iranienne d'Ispahan avec la participation de quelque 90 artistes de renom représentant plus de 40 genres artistiques.
    Selon les organisateurs, cet évènement constitue une des plus grandes manifestations organisée hors de la province d'Ispahan qui a été le "cœur battant" de la République iranienne et le pôle du rayonnement culturel en Iran.
    Intervenant lors d'un point de presse consacré à la présentation du programme de ce rendez-vous culturel, l'ambassadeur d'Iran à Alger, M. Hussein Abdi Abyaneh a salué l'intérêt que porte l'Algérie aux différents aspects de la culture iranienne notamment dans la ville d'Ispahan qui recèle pas moins de "22.000 sites culturels et historiques". Capitale de la culture islamique en 2006, Ispahan qui a été fondée en l'an 500 avant J-C est devenue au fil des ans un centre culturel important dans le monde islamique et une destination pour les scientifiques et orientalistes occidentaux, a rappelé l'ambassadeur. M. Abyaneh a, par ailleurs, émis le voeu que le public algérien puisse apprécier l'art authentique d'Ispahan et que cet évènement soit couronné du même succès que la semaine culturelle algérienne en Iran. Les festivités de cette semaine culturelle se dérouleront à Alger, Boumerdès et Constantine.
    Un concert de musique traditionnelle marquera le lancement officiel de cette manifestation dimanche à 19 h à la salle Ibn Zeydoun (Ryad El-Feth) alors qu'une exposition de tapis persans est prévue lundi au Bastion 23 .
    Outre une exposition d'art plastique qui sera organisée au musée national des Beaux-Arts, l'artisanat sera au menu lundi à Ryad El-Feth.
    Aussi, une expo-photo (plus de 400 photos) sur l'histoire de la ville, un café littéraire sur les œuvres du grand poète iranien El-Ferdaoussi ainsi qu'une exposition sur le sport traditionnel iranien sont inscrits au programme de cette manifestation.
    Le public sera au rendez-vous mardi pour la présentation à la salle Ibn Zeydoun du film Dhilal basatin El-Madina (L'ombre des jardins de la ville) de Laatach Zemzem.
    Un concert de musique traditionnelle sera également donnée à la maison de la culture Rachid Mimouni (Boumerdès).
    Le public constantinois pourra apprécier jeudi des variétés musicales interprétées par la troupe musicale d'Ispahan qui animera samedi au théâtre Fadila Dziria un concert conjointement avec l'orchestre régional de la musique andalouse d'Alger.
    La cérémonie de clôture est prévue dimanche 25 juillet par un concert de musique traditionnelle d'Ispahan à la salle Ibn Zeydoun.

  • #2
    J'ai vu le reportage sur l'entv.
    Et madame Khalida explique qu'elle déploie toute son énergie dans son ministère pour consolider les relation algero-iraienne !
    Quel temps
    ~~~~~~~

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    • #3
      la culture perse ne se resume pas aux rodomontades de ahmadinedjad

      ses penseurs...ses philosophes....ses poetes....ses oulemas....on beaucoup apporté a notre propre culture

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      • #4
        Pour une fois je suis d'accord avec toi Hugo ! Une grande culture!
        Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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        • #5

          Omar Khayyām


          Activité(s)Poète ,Mathématicien, philosophe, astronome,
          Naissance 18 mai 1048, Nichapur, Perse,Empire seldjoukide
          Décès 4 décembre 1131, Nichapur, Perse, Empire seldjoukide
          Langue d'écriture persan



          L'écrivain et savant persan Ghiyath ed-din Abdoul Fath Omar Ibn Ibrahim al-Khayyām Nishabouri, plus connu sous le nom d'Omar Khayyām ou de Khayyām serait né le 18 mai 1048 à Nichapur en Perse (actuel Iran) où il est mort le 4 décembre 1131
          Omar Khayyâm est considéré comme « l'un des plus grands mathématiciens du Moyen âge. » Mais ses travaux algébriques ne furent connus en Europe qu'au XIXe siècle.

          Dans ses Démonstrations de problèmes d'algèbre de 1070, Khayyam démontre que les équations cubiques peuvent avoir plus d’une racine. Il fait état aussi d’équations ayant deux solutions, mais n'en trouve pas à trois solutions. C'est le premier mathématicien qui ait traité systématiquement des équations cubiques, en employant d'ailleurs des tracés de coniques pour déterminer le nombre des racines réelles et les évaluer approximativement. Outre son traité d'algèbre, Omar Khayyâm a écrit plusieurs textes sur l'extraction des racines cubiques et sur certaines définitions d'Euclide, et a construit des tables astronomiques connues sous le nom de Zidj-e Malikshahi

          Directeur de l'observatoire d'Ispahan en 1074, il réforme, à la demande du sultan Malik Shah, le calendrier persan (la réforme est connue sous le nom de réforme jelaléenne). Il introduit une année bissextile et mesure la longueur de l’année comme étant de 365,24219858156 jours. Or la longueur de l’année change à la sixième décimale pendant une vie humaine. L'année djélaléenne se montrera plus exacte que l'année grégorienne créée cinq siècles plus tard. À la fin du XIXe siècle, l'année fait 365,242196 jours et aujourd’hui 365,242190 jours.



          Ses poèmes sont appelés « rubaiyat » (persan: رباعى [rabāʿi], pluriel رباعیات [rubāʿiyāt][8]), ce qui signifie « quatrains ». Les quatrains de Khayyam, s'ils semblent pouvoir se passer de commentaires, recèlent, selon Idries Shah, des perles mystiques, faisant de Khayyam un soufi. Il aurait prôné l'ivresse de Dieu, et se disait infidèle mais croyant[9]. Au-delà du premier degré hédoniste, les quatrains auraient donc selon ce commentateur une dimension mystique.

          Dans la pratique, si l'on s'en tient au texte, Khayyam se montre bel et bien fort critique vis-à-vis des religieux - et de la religion - de son temps. Quant au vin dont la mention revient fréquemment dans ses quatrains, le contexte où il se place constamment (agréable compagnie de jeunes femmes ou d'échansons, refus de poursuivre la recherche de cette connaissance que Khayyam a jadis tant aimée) ne lui laisse guère de latitude pour être allégorique.

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