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L’Algérie cessera d’exporter du gaz en 2017 !

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  • #61
    Voici l'article en question

    Actualité (Lundi 26 Juillet 2010)

    Conséquence de la politique ruineuse de Chakib Khelil
    L’Algérie cessera d’exporter du gaz en 2017 !

    Par : Khaled R.
    Lu : (875 fois)


    Le gisement de Hassi R’mel, l’une des mamelles de l’Algérie, est malade. Avec l’explosion des besoins domestiques, Sonatrach risque de ne pas honorer ses engagements contractuels.


    La lecture du rapport de la commission de régulation du gaz et de l’électricité (CREG) sur les besoins en gaz aboutit à une conclusion étonnante. “L’Algérie cessera d’exporter du gaz à partir de 2017-2018. Les principaux gisements de gaz, Hassi R’mel, Alrar, Stah, ont été malmenés”, souligne un expert national spécialiste en hydrocarbures. Différentes sources concordantes font état d’une production de gaz en voie d’essoufflement en raison de l’intensification de l’extraction de gaz poursuivie par Chakib Khelil depuis 2000, non compensée par des découvertes majeures d’hydrocarbures. Quelques mois avant son incarcération en janvier dernier, Belkacem Boumediène, alors vice-président de Sonatrach, nous confiait : “Hassi R’mel est essoufflé. Il va connaître une chute de sa production.” Quant on sait l’importance de ce gisement, parmi les plus riches au monde, considéré comme l’un des fleurons de l’Algérie dans la production algérienne de gaz, on ne peut que s’en inquiéter, d’autant que les besoins domestiques sont en train d’exploser.

    En effet, dans le rapport du CREG, intitulé programme indicatif d’approvisionnement du marché national en gaz, on peut lire que les besoins domestiques vont passer de 26 milliards de mètres cubes en 2008, 28 milliards de mètres cubes en 2009 (estimation) à 62 milliards de mètres cubes en 2018 dans un scénario fort (61 milliards de mètres cubes en 2017), 54 milliards de mètres de cubes dans le scénario moyen (52 milliards en 2017) et 52 (49 milliards de mètres cubes en 2017) dans le scénario faible, soit une croissance de plus de 200% pour la première hypothèse et environ 200% pour les autres.

    Le premier scénario tient compte des besoins en gaz du programme pétrochimique ambitieux de Sonatrach dont les projets d’ammoniac d’Orascom et de SuhaIl Bahwan à Arzew ainsi que le projet de complexe d’aluminium à Beni Saf. “La consommation des clients industriels servis par Sonatrach connaîtra l’évolution la plus importante avec un taux de croissance annuel de 13%. La répartition de la consommation globale sur toute la période dans un scénario moyen montre que près de 52% sont consommés par les clients industriels, 31% par les centrales électriques et seulement 18% par la distribution publique.”

    En matière de découvertes et d’accumulations de gaz, les résultats sont modestes
    “On n’a découvert que de petits et moyens gisements (pendant la décennie 2000)”, déclarait dans un entretien à la Tribune l’ex-président aval, Belkacem Boumediène. En d’autres termes, le rythme des découvertes ne compense pas l’épuisement des réserves. En 2009, l’Algérie disposait de 4 500 milliards de mètres cubes de réserves, indiquent les statistiques de BP. Les nouvelles découvertes de gaz ne pourront faire face à l’essoufflement des principaux gisements de gaz algérien. “Il faudra revoir à la baisse les ambitions d’exportation de gaz. Maintenir l’objectif des 60 milliards de mètres cubes d’exportation, voire des 85 milliards de mètres cubes/an pour honorer ses engagements contractuels. Pas plus tant qu’on n’aura pas mis au jour d’importantes réserves de gaz”, observe un expert spécialiste des questions gazières Le hic, c’est qu’avec le programme ambitieux de développement de la pétrochimie, les besoins importants en gaz pour les nouvelles centrales électriques, les projets de dessalement d’eau de mer, on ne pourra plus exporter du gaz.


    Un simple calcul arithmétique le démontre On exporte ces dernières années pour 60 milliards de mètres cubes. Les besoins locaux sont autour de 20 milliards de mètres cubes. On a produit en 2009 81,4 milliards de mètres cubes de gaz, indique BP.

    En 2017-2018, on ne pourra produire autant de gaz, au regard de la chute du niveau d’extraction du principal gisement de Hassi R’mel. “Pour maintenir la pression et ainsi assurer un niveau acceptable de production du champ, il faudra injecter d’énormes quantités de gaz.” Un défi très difficile, voire insoutenable. Une bonne partie de la production ira à l’injection de quantités de gaz dans les gisements. La nouvelle production issue des champs, notamment de Touat, Timimoun, Ahnet et Gassi Touil, ne pourra pas compenser la chute de production des principaux gisements précités, observent nos sources.

    Sonatrach ne pourra donc pas honorer ses engagements contractuels. En d’autres termes, elle ne pourra plus livrer du gaz à ses clients étrangers. À moins d’une révision de la politique énergétique du pays. L’ancienne, menée par Chakib Khelil, par une intensification de la production sans tenir compte des règles de conservation des gisements, le lancement de projets pétrochimiques sans grande valeur ajoutée pour le pays, comme ceux de l’ammoniac, auront des retombées catastrophiques à moyen terme, détériorant l’image de l’Algérie à l’extérieur et compromettant des revenus en devises pour l’Algérie.

    Avec la poursuite d’une telle politique, la réalisation du gazoduc Galsi reliant l’Algérie à l’Italie est compromise. Le gaz, ne l’oublions pas, c’est environ 40% des recettes en devises engrangées des exportations d’hydrocarbures. C’est l’équivalent d’environ 80% du £budget d’investissement de l’État. C’est aussi une importante carte aux mains de l’Algérie dans ses aspirations de puissance régionale.

    Une telle ponction sur les revenus d’hydrocarbures du pays auraient des conséquences sociales et économiques graves : un gel des salaires, une baisse des transferts sociaux et une probable dégradation des équilibres extérieurs.

    Il faudra donc inverser la tendance rapidement. En révisant à la baisse le programme pétrochimique de Sonatrach, par l’annulation de certains projets, l’intensification des investissements d’exploration en vue de renouveler les réserves, en menant une politique beaucoup plus ambitieuse d’économie d’énergie et de développement des énergies renouvelables. L’acquisition de réserves d’hydrocarbures à l’étranger devrait constituer également une priorité. Encore faut-il que le politique accompagne ce mouvement. Pour l’instant, nos gouvernants sont restés passifs face à cet épuisement rapide des réserves.
    Dernière modification par abdel-dz, 27 juillet 2010, 17h18.

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    • #62
      chuuut, ne reveillez personne, c'est du pur mensonge, en tous cas, on sait tous que l'algerie disposera de ressources naturelles eternellement. Il n'y a pas de raison de paniquer. Ecoutez les chants des sirènes, que c'est beau...

      Le plus dur n'est pas la chute, c'est l'aterrissage...

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      • #63
        moralité, les hydrocarbures se tariront un jour et on doit se preparer pour ca, mais au malheur de certains, ce ne sera pas avant 20 ans pour le petrole et pas avant 50 ans pour le gaz.
        espérons-le.

        Le plus dur n'est pas la chute, c'est l'aterrissage...
        comme ça on pourra vous rejoindre à l'aérogare dans la vie réelle.
        Dernière modification par Hyde, 27 juillet 2010, 18h09.
        le DRS contrôle toute la Galaxie

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        • #64
          Sallâm !!!

          Envoyé par ayoub7
          Le plus dur n'est pas la chute, c'est l'aterrissage...
          Le conseil de quelqu'un qui n'a jamais voler ....

          Dieu merci ....certains de nos voisins, nous voient au-dessus d'eux entrain de planer pendant encore, 7 longues années (au pire, pire, pire des cas...)
          Continuer a espérer notre atterrissage, vous qui n'avez jamais décoller .....mais pour l'instant, maintenant, en ce moment..... nous flottant dans les cieux, devant vos yeux d'envieux ............Alors continué a espérer, il vous reste encore 7 ans a scruter les cieux

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          • #65
            et toujours pas de Erratums de la part de Liberté-Cevital...

            ...sacré presse de caniveau

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            • #66
              a titre de rappel pour ceux qui non pas lu

              voila un classement actualisé du classement des pays producteurs de gaz

              c'est un extrait pour les vingts premiers pays (ouvrer les yeux pour voir le classement de l'algérie)

              RangPaysProduction
              de gaz naturel
              (m3)
              Date1Monde2,833,000,000,0002005 est.2Russie656,000,000,00020063Etats-Unis490,800,000,0002005 est.4Union Européenne213,700,000,0002005 est.5Canada178,200,000,0002005 est.6Iran101,000,000,0002005 est.7Algérie84,400,000,0002005 est.8Royaume-Uni84,160,000,0002005 est.9Norvège83,440,000,0002005 est.10Pays-Bas75,580,000,0002005 est.11Indonésie74,000,000,0002006 est.12Arabie Saoudite68,320,000,0002005 est.13Ouzbékistan62,500,000,0002006 est.14Malaisie60,900,000,0002005 est.15Turkménistan60,420,000,0002005 est.16Chine58,600,000,0002006 est.17Emirats-Arabes-Unis45,070,000,0002005 est.18Qatar43,930,000,0002005 est.19Argentine43,760,000,0002005 est.20Mexique41,370,000,0002005 est

              L'algérie classé septieme a l'échelon mondiale

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              • #67
                Le jour ou les hydrocarbures Algériens cesseront d'éxister,sonnera la fin de l'Algérie(si ce n'est pas avant), l'Algérie n'ayant dévelloppé aucune alternative économique, les charognard a la tete de cette état lacheront du lest sur leurs mains mise, etant donner qu'il y aura beaucoup moins a gratter, et puis fatalement les budjet de l'armée baisseront, cela permettra aux oppositions d'émerger,, je vois une Algérie tombant entr les mains des islmamistes, ou une balkanisation.
                Tamurt leqvayel d-axxam nnagh

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                • #68
                  ce sera le resultat de la "politique d'allah ghaleb"...

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                  • #69
                    ce sera le resultat de la "politique d'allah ghaleb"...
                    Mais oui Youyou mais oui.

                    C'est exactement ça. Allah ghaleb, malgré l'incompétence, la corruption, l'immense bonne volonté et l'imagination des algériens pour tout faire foirer, Allah ghaleb : les réseaux routier et ferroviaire se développent, l'agriculture prend son essor, on construit des logements à tour de bras, le niveau de vie et de santé s'améliorent et on pense même à développer le tourisme pour les locaux.

                    Allah ghalleb que veux-tu? Nous sommes des incompétents de naissance. Même en les programmant nous ratons nos foirages.
                    « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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                    • #70
                      Le jour ou les hydrocarbures Algériens cesseront d'éxister,sonnera la fin de l'Algérie(si ce n'est pas avant), l'Algérie n'ayant dévelloppé aucune alternative économique, les charognard a la tete de cette état lacheront du lest sur leurs mains mise, etant donner qu'il y aura beaucoup moins a gratter, et puis fatalement les budjet de l'armée baisseront, cela permettra aux oppositions d'émerger,, je vois une Algérie tombant entr les mains des islmamistes, ou une balkanisation.
                      oui ...lire ca de bon matin....mérite une seule réponse : " fi rassék "
                      وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

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                      • #71
                        Le jour ou les hydrocarbures Algériens cesseront d'éxister,sonnera la fin de l'Algérie(si ce n'est pas avant), l'Algérie n'ayant dévelloppé aucune alternative économique, les charognard a la tete de cette état lacheront du lest sur leurs mains mise, etant donner qu'il y aura beaucoup moins a gratter, et puis fatalement les budjet de l'armée baisseront, cela permettra aux oppositions d'émerger,, je vois une Algérie tombant entr les mains des islmamistes, ou une balkanisation.
                        Ce jour la n'arrivera jamais mais ci par hasard il arrive on ne demandera jamais aux laches de nous aidé (lisez le classement de l'algérien en gaz seulement)----Plus l'or non exploité --- le manganez --- pour ne pas dire que tout le sous sol algérien n'est pas encore exploité

                        La jalousie et pire que la peste

                        Commentaire


                        • #72
                          Le sol algérien regorge de Pétrole et de Gaz. Chaque année de nouveaux puits sont découverts :

                          Nouveaux gisements de gaz en Algérie

                          La compagnie pétrolière espagnole Repsol a annoncé la découverte en Algérie de trois nouveaux gisements de gaz ayant un potentiel total de production d'un million de m3/jour.

                          Le plus important se trouve dans le bassin de Reggane, la quatrième découverte de Repsol dans ce secteur, avec une production potentielle de quelque 630.000 m3/jour.

                          Repsol est opérateur sur ce gisement avec une participation de 33,75%, aux côtés de la Sonatrach algérienne (25%), des Allemands de RWE (22,5 %) et de l'Edison italienne (18,75%).

                          Un autre gisement a été découvert dans le bassin d'Ahnet, proche de celui de Reggane et le troisième à Gassi Chergi, dans le bassin de Berkine, plus à l'est. Repsol est également opérateur sur ces gisements. Un million de m3/jour représente environ 1% de la consommation espagnole, selon le groupe.

                          Repsol insiste sur l'importance du bassin de Reggane, où l'ensemble des découvertes sont estimées à 145 millions de barils équivalent pétrole.

                          AFP
                          26/01/2009
                          "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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                          • #73
                            Bonjour gironimo

                            t'énerve pas le sage mais parfois franchement tu lâches de ces "trucs" !! --le sage quand il s'énerve il s'absetient

                            moi je donne mon point de vu d'une façon logique et je respect les idées des autres et leur point de vue car chaqun est libre de ce qu'il pense

                            Moi ce qui me fait mal au coeur c'est que les gens parlent des choses qui n'on aucun sens pour le moment au lieux de parler de l'injustice qui touche tout le peuple algérienns quelque soit ça race ça religion ou autre

                            Moi j'admire tout a algériens qui réclame les droit du peuple sans parti pris

                            Pas comme certains parti algériens soit disant opposant a ce régime pourrit et a l'approche des élections il soutienne ce régime et ne présente pas leurs candidat au poste suppreme de président a titre d'exemple le RND etc.....voila nos vrais problèmes qu'il faut résoudre d'abord quand on résoud ces problèmes tout arrivera a point

                            en plus nos ressortissants a l'étranger personne ne parle et personne ne veut les réintégrer dans leur pays (majorité intellectuel)

                            Commentaire


                            • #74
                              Priorité aux Algériens, les contrats avec les autres, c'est seulement quand les besoins nationaux seront remplis qu'on pensera à se faire de l'argent, mais nous avons assez de gaz normalement pour ne pas trop s'inquiéter tout de suite, par contre c'est le pétrole qu'il faut arrêter d'exporter le plus vite possible, et en faire bénéficier les sociétés nationales pour se lancer pourquoi pas dans le multinational et construire un "avenir après le pétrole".

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                              • #75
                                voila du nouveau pour le gaz je poste un extrait que je viens de lire

                                Le ministre de l’Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, a annoncé jeudi à Tiaret une première découverte de gaz naturel au champ de forage et d’exploration pétrolière de Rahouia, à 30 km au nord-ouest du chef-lieu de wilaya.
                                Dans une déclaration à la presse à l’issue d’une visite de travail dans la wilaya, le ministre a indiqué que la découverte de ce bassin gazier, premier du genre dans la région, intervient après trois opérations de forage entamées dans ce champ, depuis trois mois seulement.
                                M. Khelil a souligné que cette découverte est un « indice sur l’importance des réserves énergétiques au Nord du pays », assurant qu’il sera procédé au développement des moyens pour une meilleure exploitation des ressources naturelles au profit de l’industrie et de l’économie nationale.
                                Il a également signalé que la découverte a été réalisée grâce à l’utilisation d’une nouvelle technologie de forage (puits étroit), qui sera généralisée au reste des bassins de recherche énergétique à l’avenir, tels que « El Hodna » et « Telliouant » et au sud-est de Constantine et Souk-Ahras.
                                Le champ pétrolifère de Rahouia verra prochainement le forage d’un second puits de prospection, a annoncé M. Khelil, qui a indiqué que ces découvertes seront dirigées vers le domaine de la production au niveau du projet de raffinerie de pétrole dans la zone de Sidi El Abed, à l’est de la wilaya de Tiaret.
                                La découverte du gaz naturel au premier puits s’est effectuée à une profondeur de 628 mètres. Les opérations de prospection ont atteint depuis le lancement du forage dans ce bassin une profondeur de 1.643 m, selon les explications fournies par les chargés de ces opérations.

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