La journaliste algérienne, Ghania Chérif, 43 ans, est décédée mardi matin à l’hôpital Mustapha Bacha d’Alger où elle avait été admise en urgence. La journaliste qui animait plusieurs émissions sur la radio nationale Chaine 3, souffrait d’une leucémie. Ghania Chérif avait subit une greffe en 2003, mais son état de santé s'est brusquement dégradé au cours de la semaine dernière. Un appel pour un don de sang et de plaquettes en sa faveur avait été lancé par des confrères au cours de la semaine dernière, mais la maladie a finit par avoir raison d’elle. Soignée en 2004, Ghania Chérif a repris espoir en la vie et réintégré son travail à la radio chaine 3 où elle a été promue rédactrice en chef spécialisée, chargé du pool reportage. Journaliste de talent, courageuse, rebelle et brave, elle avait collaboré avec diverses publications avant d’intégrer la rédaction de la radio nationale où elle animait plusieurs émissions notamment « En toute franchise » et « En direct du parlement ».
Licenciée en lettres françaises à l’université de Bouzaréah, militante de gauche au sein PST (Parti socialiste des travailleurs) algérien, membre d'une association pour l'émancipation de la femme algérienne, la journaliste était très estimée dans la profession pour ses engagements, son franc-parler et son amabilité. Ghania Chérif est mère d’une fille de 12 ans.
La veillé funèbre sera organisée mardi soir au domicile familiale à Bainem, à l’est d’Alger et l'enterrement aura lieu demain au cimetière de Ain Benian. Ses amis de la presse écrite et de la radio ont accouru à l'hôpital Mustapha. Ils aidaient son époux à accomplir les formalités administratives pour récupérer la dépouille mortelle.
Dans la même journée, une autre journaliste de la radio nationale, Katiba Hocine, 51 ans, ancienne animatrice a succombé également à une longue maladie. Entrée en 1996 à la chaine 3, elle co-produisait une émission intitulée "Féminin pluriel" ainsi que la "Brocante du temps qui passe" ou des auditeurs retrouvaient en direct à l'antenne d'anciens camarades de classe ou des compagnons de combat durant la guerre d'Algérie, selon une biographie fournie par la radio. Atteinte d'un cancer depuis 15 ans, Katiba est restée à l'antenne jusqu'au mois de juin dernier pour animer "Les chansons de notre vie". Elle sera inhumée mercredi au cimetière de Tipaza, à 35 kms à l'ouest d'Alger.
DNA
Licenciée en lettres françaises à l’université de Bouzaréah, militante de gauche au sein PST (Parti socialiste des travailleurs) algérien, membre d'une association pour l'émancipation de la femme algérienne, la journaliste était très estimée dans la profession pour ses engagements, son franc-parler et son amabilité. Ghania Chérif est mère d’une fille de 12 ans.
La veillé funèbre sera organisée mardi soir au domicile familiale à Bainem, à l’est d’Alger et l'enterrement aura lieu demain au cimetière de Ain Benian. Ses amis de la presse écrite et de la radio ont accouru à l'hôpital Mustapha. Ils aidaient son époux à accomplir les formalités administratives pour récupérer la dépouille mortelle.
Dans la même journée, une autre journaliste de la radio nationale, Katiba Hocine, 51 ans, ancienne animatrice a succombé également à une longue maladie. Entrée en 1996 à la chaine 3, elle co-produisait une émission intitulée "Féminin pluriel" ainsi que la "Brocante du temps qui passe" ou des auditeurs retrouvaient en direct à l'antenne d'anciens camarades de classe ou des compagnons de combat durant la guerre d'Algérie, selon une biographie fournie par la radio. Atteinte d'un cancer depuis 15 ans, Katiba est restée à l'antenne jusqu'au mois de juin dernier pour animer "Les chansons de notre vie". Elle sera inhumée mercredi au cimetière de Tipaza, à 35 kms à l'ouest d'Alger.
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