«Qui tue qui ?» : une invention des services français

[normal]

@tchekchouka je suis d'accord avec ton intervention.
Il n'y a pas un exemple vivant qui interprète les idées que je vient de présenter. Mais l'idéal est que l'état est le seul responsable de l'application des loi qui sont conformes a la charria islamique. Son rôle n'est pas d'oppresser les gens et les poursuivre dans leurs croyances et leurs convictions, mais de veiller a ce qu'ils respectent la réglementation en vigueur.

[normal]

montre moi juste un texte que celui qui n'applique pas la charia réfute le coran.
Un texte du coran et non pas la déclaration d'un quelquonque imam.

Nous n'avons pas besoin de le démontrer. Quand quelqu'un dit que la chariaa n'est pour mois alors il est entrain de réfuter le coran qui veut dire sortir du cercle de l'islam.
Et coran est plein de textes indiquant ceci:

وَمَنْ لَمْ يَحْكُمْ بِمَا أَنْزَلَ اللَّهُ فَأُولَئِكَ هُمُ الْكَافِرُونَ
Et ceux qui ne jugent pas d'après ce qu'Allah a fait descendre, les voilà les mécréants.

et tu n'a pas répondu a ma question désigne moi juste une personne qui souhaite modifié le coran en algérie

Je n'ai pas dis qu'il y ai ceux qui veulent modifier le coran en algerie, mais il y a ceux quui veulent modifier l'islam on lui donnant une image en dilution.

[chemic19]

«Qui tue qui


C'est une question totalement légitime .si ce n'est pas pour nous,elle la serait pour les proches des victimes.
et ce n'est , non plus un délit de poser cette question ,de se demander vraiment qu'est ce que s'est passé exactement en Algérie pendant la décennie noire.
A bon entendeur ,salut.

[khaly]

bientot le "qui a fait disparaitre qui" ?

Le collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA) fête ce 9 septembre ses dix ans d'existence. Et il compte bien marquer cet anniversaire placé sous le signe de « la lutte pour la vérité et la justice » à travers des événements culturels et d’échange sur le thème des disparu(e)s et des droits de l’homme en Algérie. « Ces événements seront l'occasion de présenter les actions et les travaux accomplis par le CFDA depuis plus de 10 ans, mais aussi de débattre sur la situation de toutes les victimes de la décennie 90 et les perspectives d’établissement de la vérité, de la justice et de la réparation », indique le communiqué de l’association.

Cette commémoration intervient dans un contexte marqué par une répression accrue à l’égard des familles des disparus en Algérie auxquelles il est désormais interdit de se rassembler pour revendiquer que justice soit faite. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle le CFDA est contraint d’organiser cette commémoration en France. Le programme prévoit des activités réparties sur les journées des 9, 18, 21 et 29 septembre. Le 9, une conférence-débat est prévue à l’espace Reuilly et verra l’intervention de Nassera Dutour, Porte-parole du CFDA, Madjid Benchikh, professeur de droit international, Florence Aubenas, journaliste, Geneviève Garrigos, présidente d’Amnesty International France, Mohammed Harbi, historien. Elle sera précédée notamment d’une projection du court métrage « Y a plus d’Amine » d’Omar D et de Felipe Canales, qui évoque le témoignage poignant de Nassera Dutour, mère du disparu Amine Amirouche.

D’autres débats, projections de films, pièce de théâtre, exposition, etc, sont attendus les journées suivantes. L’on retiendra le rassemblement prévu le samedi 25 septembre avec comme slogan « 5 ans après la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, mobilisation pour l’établissement de la vérité et de la justice en Algérie ». Le bilan et les perspectives de cette charte seront au menu du débat qui sera organisé la dernière journée, soit le 29 septembre.
tsa