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Bouteflika : Les relations algéro-françaises "se portent bien"

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  • Bouteflika : Les relations algéro-françaises "se portent bien"



    Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a affirmé lundi à Alger que les relations algéro-françaises "se portent bien".


    "Les relations entre l'Algérie et la France se portent bien", a déclaré le président Bouteflika en réponse à une question d'un journaliste sur les relations entre les deux pays, à l'issue d'une audience qu'il a accordée à la ministre d'Etat, garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Libertés de la République française, Mme Michèle Alliot-Marie.

    Interrogé sur une éventuelle visite en France, le président de la République a répondu par "Inchallah" (si Dieu le veut).

    De son côté, Mme Alliot-Marie a indiqué que les entretiens avec le président Bouteflika ont porté sur tous les domaines, notamment ceux relatifs à la défense, l'intérieur et à la justice.

    "Le président de la République m'a fait le grand honneur de me recevoir longuement et nous avons évoqué tous les domaines très larges de la coopération entre la France et l'Algérie", a-t-elle précisé, qualifiant de "très profondes" et de "très intenses" les relations entre les deux pays.

    "Nous avons développé la coopération dans le domaine de la défense et de l'intérieur, mais également dans celui de la justice, notamment depuis 2004 où nous avons une coopération dans le domaine de la formation", a-t-elle ajouté.

    Elle a exprimé son souhait de voir ces relations "se développer, non seulement dans l'intérêt de nos deux pays, mais également dans l'intérêt des autres pays voisins ainsi que pour le développement de la paix et de la sécurité parce que, a-t-elle dit, c'est notre mission profonde".

    APS

  • #2
    Bouteflika reçoit Alliot-Marie à Alger



    Le figaro

    Crédits photo : FAYEZ NURELDINE/AFP
    La visite de la ministre de la Justice ouvre la voie au réchauffement des relations franco-algériennes.

    On se reparle à nouveau à haut niveau entre Alger et Paris. Et c'est à Michèle Alliot-Marie, la ministre d'État en charge de la Justice, que le pouvoir algérien a accordé le privilège d'être reçue par le président Abdelaziz Bouteflika puis par son premier ministre, Ahmed Ouyahia, après plusieurs visites reportées de poids lourds du gouvernement français, depuis un an. Pour cause de «dérapage verbal» selon Alger, Brice Hortefeux (Intérieur), Éric Besson (Immigration) et Bernard Kouchner (Affaires étrangères) avaient dû, chacun à leur tour, ajourner leur déplacement en Algérie.

    Dérapages et décrispation
    Mais aujourd'hui, l'heure est à la décrispation. «La relation entre nos deux pays est sur le point d'entrer dans un nouveau rythme», affirmait la veille de son arrivée au journal al-Watan, Mme Alliot-Marie, appréciée pour sa pondération par les dirigeants algériens. «Nos liens ne demandent qu'à se développer», a-t-elle ajouté lundi à l'issue de près de deux heures d'entretien avec le chef d'État algérien au cours desquelles la ministre a transmis à son hôte un message de Nicolas Sarkozy. «Les relations entre la France et l'Algérie se portent bien», s'est contenté de répondre Abdelaziz Bouteflika. Interrogé sur une visite en France, en réponse à celle qu'a effectuée Nicolas Sarkozy à Alger en décembre 2007, le raïs algérien a lâché un énigmatique «inch Allah» (Si Dieu le veut).

    Le récent déblocage de l'affaire Hasseni a ouvert la voie à ce réchauffement. Le 1er septembre un non-lieu a été accordé par la cour d'appel de Paris à ce diplomate algérien, mis en cause par la justice française dans l'enquête sur l'assassinat à Paris en 1987 d'André-Ali Mécili, un opposant exilé dans l'Hexagone. Une décision dénoncée alors comme «inacceptable» par Alger, qui vient de nommer Mohammed Ziane Hasseni ambassadeur en Colombie. La participation du président Bouteflika au sommet France-Afrique de Nice en juin avait été interprétée favorablement par Paris, qui avait dû tout de même dépêcher, juste avant à Alger Claude Guéant, le secrétaire général de l'Élysée.

    Refus des «ingérences»
    Si les relations se réchauffent entre les deux rives de la Méditerranée, les «irritants» restent toutefois encore nombreux. «On reste dans le passionnel donc dans l'irrationnel », se plaint-on de part et d'autre. Côté français, on regrette que l'Algérie fasse traîner les choses en usant un peu trop de loi du talion. Il a fallu attendre le déblocage de l'affaire Hasseni pour que le président de l'Assemblée nationale algérienne annule un projet de loi visant à criminaliser la colonisation, défendue par certains durs au sein du régime. Et si la récente nomination de l'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin pour relancer les échanges économiques a été bien accueillie par Alger, les Français attendent toujours la désignation de son vis-à-vis.

    Côté algérien, le principal grief concerne l'inscription en début d'année par la France de l'Algérie comme pays à risques, ce qui complique les déplacements de ses ressortissants. «L'Algérie a l'impression d'être stigmatisée, alors que le pays a beaucoup lutté contre le terrorisme», déplore un expert local. Enfin, Alger fustige le paiement des rançons aux ravisseurs d'otages occidentaux au Sahel, et ne veut surtout pas d'ingérence étrangère dans son pré carré au Sahara. Pour le président Bouteflika, «les pays extérieurs à la région peuvent aider les pays du Sahel à lutter contre la menace terroriste, mais ils ne peuvent pas agir à leur place», a rapporté Mme Alliot-Marie.

    source

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    • #3
      Algérie: relation "un peu comme dans un couple"

      Algérie: relation "un peu comme dans un couple"

      ALGER - La ministre française de la Justice Michèle Alliot-Marie a qualifié lundi à Alger les relations de son pays avec l'Algérie de "très étroites, un peu comme dans un couple", au terme d'une visite "chaleureuse" de 24 heures dans ce pays.

      "Les relations sont très étroites, un peu comme dans un couple, un couple qui se connaît depuis longtemps", a-t-elle dit lors d'une conférence de presse. Et ce couple "a toujours l'occasion de se réconcilier et de se retrouver de façon plus étroite".

      Venue pour discuter de coopération judiciaire et juridique, Mme Alliot-Marie a été reçue par le président Abdelaziz Bouteflika durant 1h45 puis s'est entretenue avec le Premier ministre Ahmed Ouyahia. Cette seconde rencontre non prévue, a été initiée lors de l'entretien présidentiel par le chef de l'Etat lui-même, a-t-on appris de source diplomatique.

      Interrogé par des journalistes français à l'issue de sa rencontre avec la ministre, le président Bouteflika a déclaré que "les relations entre l'Algérie et la France se portaient bien". A la question de savoir s'il se rendrait en France en visite officielle, pour répondre à celle effectuée en 2007 en Algérie par son homologue Nicolas Sarkozy, il a répondu: "Inchallah".

      Mme Alliot-Marie a pour sa part beaucoup insisté sur l'appréciation française de la participation de M. Bouteflika en juin dernier au sommet Franco-Africain de Nice.

      "Ce que j'ai senti chez le président c'est la volonté d'être tourné vers l'avenir" avec les défis que les deux pays ont en commun, dont le terrorisme.

      "Nous avons tout intérêt à oeuvrer ensemble de manière déterminée", a-t-elle dit, indiquant que la collaboration franco-algérienne dans la lutte anti-terroriste était ancienne.

      "C'est une coopération de fait qui existe depuis longtemps", a-t-elle dit, "une bonne coopération au niveau de nos services pour mieux cerner les menaces et anticiper sur certains risques".

      Elle a beaucoup insisté sur le "caractère chaleureux de tous ses entretiens" algériens.

      Pour elle, il y a des "caractéristiques de proximité dans les relations entre la France et l'Algérie qui ne connaissent pas d'équivalent dans le monde entier".

      Elle a bien sûr eu une réunion de travail avec son homologue Tayeb Belaiz et s'est rendue à l'école des magistrats et à la Cour d'Alger. Les Français et Algériens ont des accords de formation de coopération dans ces deux institutions qu'elle souhaite encore développer.

      Il s'agissait de la première visite de Mme Alliot-Marie en tant que ministre de la Justice à Alger mais sa quatrième en tant que ministre du gouvernement Sarkozy: une fois quand elle avait le portefeuille de la Défense et deux fois en tant que ministre de l'Intérieur.

      La visite de Mme Alliot-Marie à Alger suit celle de la secrétaire d'Etat chargée du Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac, le 19 septembre, et précède celle, prévue fin novembre, de l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin.

      Ce dernier est chargé par le président Nicolas Sarkozy de faciliter et de développer les investissements bilatéraux.

      (©AFP / 18 octobre 2010 20h36)

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      • #4
        DANS UN ENTRETIEN ACCORDÉ AU JOURNAL EL WATAN : Michèle Alliot-Marie veut réchauffer l’axe Alger - Paris.

        Le coup de starter du réchauffement des relations entre Alger et Paris est donné par la tournée «algéroise» de Michèle Alliot-Marie, ministre française de la Justice. Signe de la «relance» : «La France est prête à des avancées sur la législation sur la circulation des personnes, parce que celle-ci n'est plus avantageuse pour les Algériens.»

        Abder Bettache - Alger (Le Soir) -Les propos de «l’invitée» du ministre algérien de la Justice sont contenus dans un entretien au quotidien El Watan. Très au fait du dossier algérien, pour avoir visite déjà Alger à deux reprises, en sa qualité de ministre de la Défense puis de l’Intérieur, Mme Michèle Alliot-Marie a indiqué à propos de l’accord de 1968, «déjà amendé à trois reprises», que «le droit commun a tellement progressé que, sur certains points, le droit applicable aux Algériens qui devait être plus avantageux est en réalité moins favorable». «Nous souhaitons que l'Algérie continue à bénéficier d'un régime spécial, plus favorable. (…). La France est prête à ces avancées.» Mais elle a également ajouté que son pays avait «aussi des attentes, par exemple en matière de lutte contre l'immigration illégale». Comme elle n’a pas hésité à prôner «une véritable réciprocité entre le régime applicable aux citoyens algériens en France et celui applicable aux citoyens français en Algérie». La coopération et l’entraide judiciaires, l’affaire Mecili, l’assassinat des sept moines du monastère de Tibhirine, l’extradition de Rafik Khalifa vers la France étaient autant de sujets évoqués lors de cet entretien. La ministre française dira à propos de l’affaire Mécili qu’«un juge d’instruction, magistrat indépendant, a été saisi. Il a mené une enquête. Dans ce cadre, ce juge avait mis en examen M. Hasseni. Des investigations complémentaires ont été menées qui ont conduit la cour d’appel à considérer qu’il n’y avait pas de charges suffisantes contre lui. Pour autant, l’enquête se poursuit sur d’autres pistes». Quant au dossier de l’assassinat des sept moines de Tibhirine, «un juge d’instruction est saisi depuis 2004. Il mène son enquête conformément aux règles du droit français. De nombreuses investigations ont été conduites depuis cette date. Les autorités algériennes coopèrent avec les magistrats français dans le cadre de commissions rogatoires internationales». La question de l’extradition de Khalifa vers la France a été aussi abordée par la ministre. A ce propos, elle dira qu’«il revient au juge britannique de décider s’il accorde l’extradition de M. Khalifa et en ce cas vers lequel de nos pays». Enfin, le droit de garde s’agissant des enfants nés de couples mixtes n’était pas en reste, puisque Mme Michèle Alliot-Marie dira : «Nous recensons une quarantaine de cas d’enfants déplacés dans le pays de l’un des parents et qui n’ont pas la possibilité de voir l’autre parent. Nous devons résoudre ces affaires dans l’intérêt supérieur des enfants concernés. Le cadre conventionnel en vigueur n’est manifestement pas satisfaisant, car il ne prend pas suffisamment en compte les réalités du présent.»

        A. B.
        Il y a des gens si intelligents que lorsqu'ils font les imbéciles, ils réussissent mieux que quiconque. - Maurice Donnay

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        • #5
          "Les relations entre l'Algérie et la France se portent bien",

          alors qu'ils sont a couteaux tirés au sahel!

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          • #6
            alors qu'ils sont a couteaux tirés au sahel!
            ça s'appelle : " Ne rien lâcher" ou en bon dialecte jijelien "Takel Nakel".

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            • #7
              ça s'appelle : " Ne rien lâcher" ou en bon dialecte jijelien "Takel Nakel".

              je mange , tu manges!

              Commentaire


              • #8
                je crois que le non dit dans cette visite est aussi important et aussi grave que la presse , pour le moment , n' a pas jugé opportun d'en parler ou de soulever :
                La visite du ministre de la justice français en algerie coincide avec la presence de ross a alger et de banki moon a rabat.

                Quel message important portait cette dame qui represente le noyau dur et traditionnel du gaullisme dans la coalition du president français ?

                Quelle "garantie" portait madame alliot marie au president algerien pour que ce dernier , des bouts des levres , donne une assurance sur la "qualité' des relations algero-françaises alors que , juste hier , le crepage de chignons entre ces deux pays se faisait en public a propos du sahel et de d'autres motifs plus historiques ?

                Dans sa declaration à la presse , mme alliot marie a glissé une phrase qui n'avait pas sa raison d'etre dans le cadre d'une visite purement technique et qui avait trait a la situation qui prevaut dans la region.

                est ce que c'est un indice sur les vrais motifs de son deplacement a alger (meme si il a ete programmé a l'avance) ?

                rabat qui reste seriene vis avis de ce ballet diplomatique semble etre au courant de tout ce qui se dit et de tout ce qui s'echange a propos du contentieux ;

                Que signifiait la declaration de ross à alger et en presence du president algerien: "la situation est devenue intenable " ? est ce la reponse a une ultime resistance algerienne .....avant l'entree de madame alliot marie en scene et la declaration du president algerien que les relations franco algeriennes sont au beau fixe?

                ,

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                • #9
                  Bourkabi,

                  il ne fait pas etre une lumiere pour comprendre que ce ballet diplomatique est un puzzle qui est en train de se rassembler petit a petit. La situation devient clairement intenable. Alger et le polisario ont tout programmé, ils ont oublié une chose : le sahel. Or que ce soit les US, les europeens, les maliens, les mauritaniens, etc... Tout le monde dans la region sait pertinement que le blocage psychologique d'el mouradia concernant la gestion du conflit polisario-maroc est une aubaine pour l'AQMI.

                  Le message de Ross est le message de Clinton, qui ne va pas tarder a rappliquer elle aussi pour signifier que le statut quo ne peut continuer. Je pense que les puissances qui comptent sont en train de signifier au polisario qu'il faut se decider et rapidement: soit negocier serieusement une solution politique, soit reprendre les armes. Dans les 2 cas, il faut que ca se termine. Dommage, le statut quo etait le "backbone" de la politique regionale algerienne vis a vis du Maroc.

                  Couplé a cela, l'amateurisme que l'algerie a montré dans son "non-leadership" regional concernant la lutte contre l'AQMI dans le sahel et la grande tchktchouka qui s'en est suivi et qui continue, n'est pas pour aider la position de l'algerie vraiment... Il est evident que les US et les europeens n'ont pas la patience d'attendre a ce qu'un pays-adolescent termine son "gna-gna-gna" pour lutter efficacement CONTRE l'AQMI au lieu de se battre stupidement POUR un leadership d'un autre temps.

                  Tous ces elements font qu'aujourd'hui la balle penche encore plus du coté d'un Maroc ou l'on vient pour assister a des conferences internationales et une Algerie ou on fait un saut pour faire passer le message.

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                  • #10
                    4 articles de plusieurs lignes pour dire:

                    1- Bouteflika a parlé
                    2- il a dit: les relations entre l'algerie et ela france se portent bien
                    3- "inchallah"

                    RV dans un mois pour 2 autres phrases de Bouteflika.

                    Commentaire


                    • #11
                      4 articles de plusieurs lignes pour dire:

                      1- Bouteflika a parlé
                      2- il a dit: les relations entre l'algerie et ela france se portent bien
                      3- "inchallah"

                      RV dans un mois pour 2 autres phrases de Bouteflika.
                      c'est pas pire que de disparaitre pendant un bon moment en faisant la tournée de tous les gargotiers de la planete
                      et le peuple marocain savait meme pas ou etait le roi ya 2 ou 3 ans perdu de vu gallak , elle etait costaud celle-la ouf

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                      • #12
                        ayoub
                        je suis d'accord avec toi : la tournure que la situation en afrique du nord et le sahel est en train de prendre pousse les puissances mondiales ; directement touchees par le terrorisme, à prendre les decisions que delicatement elles repugnaient à transmettre directement au regime algerien:
                        -qui ne se souvient pas du message laissé en depot par le president obama chez mobarak a l"intention de mm bouteflika et kaddafi ?
                        -qui ne se souvient pas de la fin de non recevoir reservee a deux reprises par le conseil de securité aux demandes directes et indirectes faites par le regime algerien et son orchestre pour changer le statut de la minurso?
                        -qui ne se souvient pas de la mise à l'ecart par ce meme conseil de securité du regime algerien des reunions "informelles" de manhasst?

                        les symboles et les signes sont nombreux et on ne peut pas les passer tous en revue dans ce forum .

                        comme; autrement, mr ross l'a dit ( à alger ) ; l'heure de verité a sonné : il faut que le regime algerien realise que la voie ou il veut mener ce dossier et (ce qui est plus grave) la region entiere est sans issue et suicidaire .....intolerable !

                        mme alliot marie , surement mandatée pour soutenir mr ross (alors que mr banki moon faisait la meme chose a rabat ) n'a pas hesité a indiquer que sa mission a alger n'etait pas une simple visite technique mais , surtout, une visite de derneiere chance pour faire comprendre au regime algerien le consensus arreté par la communaute internationle tres echaudee par ce qui se passe au sahel.

                        la mine creuse de mr bouteflika et son regard perdu sont ils des signes de l'acceptation de la fatalité? ou ils sont un masque (de plus ) que le vieux fenec revet pour la circonstance......son esprit etant deja en charge du prochain "coups" surprise qu'il escompte reserver à cette initiative?

                        Commentaire


                        • #13
                          ayoub
                          je suis d'accord avec toi
                          Quel scoop !
                          Nous sommes ébaubis


                          la tournure que la situation en afrique du nord et le sahel est en train de prendre pousse les puissances mondiales ; directement touchees par le terrorisme, à prendre les decisions que delicatement elles repugnaient à transmettre directement au regime algerien:
                          -qui ne se souvient pas du message laissé en depot par le president obama chez mobarak a l"intention de mm bouteflika et kaddafi ?
                          -qui ne se souvient pas de la fin de non recevoir reservee a deux reprises par le conseil de securité aux demandes directes et indirectes faites par le regime algerien et son orchestre pour changer le statut de la minurso?
                          -qui ne se souvient pas de la mise à l'ecart par ce meme conseil de securité du regime algerien des reunions "informelles" de manhasst?
                          tui ferais une bonne qariatu el fingane
                          Dernière modification par Bachi, 19 octobre 2010, 00h16.
                          ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                          Commentaire


                          • #14
                            Bourkabi, exact..

                            De plus, ce que les journaleux n'ont bien entendu pas relevé, c'est toute la declaration de Ross, qui a clairement parle "d'une solution politique au vu des developpements recents qu'a connu ce probleme depuis 2006..." Or, l'on sait tous ce que ces developpements sont...

                            Ecoutez la video encore...

                            Le seul veritale scoop de la journee est que Bouteflika a parlé. Le reste est en train de se tramer en arriere-plan.

                            Commentaire


                            • #15
                              tui ferais une bonne qariatu el fingane

                              je prefere les cartes......le poker ....

                              serieusement c'est une anlyse comme une autre : des faits qui ont eu lieu a des moments et des endroits precis ; qu'on esssaie de mettre ensemble dans un ordre coherent pour essaer de degager des indices ou des reponses à des questions du moment ....il n y a aucune magie la dedans!......du moins chez moi!
                              peut etre houari a une autre vision de ce processus!

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