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le FFS dément les propos qui lui sont attribués par El Watan Week-end

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  • le FFS dément les propos qui lui sont attribués par El Watan Week-end


    Le Premier Secrétaire Mr Karim Tabbou dément les propos qui lui sont attribués par El Watan Week-end

    Les propos qui me sont attribués par El Watan Week-end, dans son édition du 10 février, à propos du dispositif policier mis en place à l’occasion de la marche du 12 février, initiée par « la coordination nationale pour le changement et la démocratie », sont totalement faux. Le journaliste me fait dire : « Le déploiement des forces de l’ordre dans la capitale est une réalité qui dure depuis 1991. Si les Algériens ne découvrent qu’aujourd’hui cette réalité, c’est leur problème. » En réalité, mon commentaire ne concernait que les organisateurs de la marche et bien évidemment, en aucune manière, les Algériennes et les Algériens.

    Le premier secrétaire du FFS,
    Karim Tabbou

  • #2
    Qu'est ce qu'on s'en fiche de ce parti qui depuis sa création ne fait que de la figuration, personne ne s'intéresse à leurs propos.
    Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

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    • #3
      saha sensib

      le ffs ne peut rien faire contre la presse privé...

      t'aurai du mettre cet article roman de liberté ou le heros est un homme mysterieux...

      C’est indiscutablement une des images force de la manifestation : Arezki Aït Larbi avec sa moustache à la Gorki, susurrant des mots dans l’oreille du Dr Saïd Sadi, sous l’œil approbateur du vaillant Me Ali Yahia Abdenour. Les deux hommes, côte à côte, hier, au milieu de la foule, scandant “Bouteflika, game over !”, c’est tout un voyage dans le temps. Précisément, le début des années 90, avec la création du RCD. Cette image résume parfaitement “l’œcuménisme” de cette manifestation rassembleuse. Des acteurs politiques, de divers horizons, dont certains avaient pris leur distance avec la scène, étaient hier, au rendez-vous, à la place du 1er-Mai, rebaptisée pour la circonstance place Tahrir, dans un clin d’œil affectueux à la révolution égyptienne qui venait, la veille, de déboulonner le dernier pharaon. Sans ordre de préséance et au hasard de leur rencontre au milieu de la foule : Mustapha Bouhadef, Abdeslam Ali Rachedi, Haïder Ben Drihem, Abderazak Mokri “présent à titre individuel”, Abdelhak Brerhi, Abdelaziz Rahabi, Ahmed Benbitour… Tous ne sont pas forcément sur la même longueur d’onde, c’est évident. D’ailleurs, “le désaccord en politique, c’est le moteur de la démocratie”, pour emprunter la formule au journaliste Alain Duhamel. Mais tous partagent le désir de faire bouger les lignes dans notre pays pour faire la peau à un régime momifié, au moment où le monde arabe est travaillé par un mouvement tectonique. La marche d’hier, en dépit des vrais et faux barrages pour empêcher les manifestants de converger vers Alger, décrétée cité interdite, aura été, selon eux, une “réussite”. “Ce n’est pas tant le nombre qui compte, c’est le fait que cette manifestation ait pu avoir lieu à Alger”, résume Abdeslam Ali Rachedi qui se félicite de “l’irruption d’une nouvelle génération sur la scène politique”. Il faut juste la canaliser pour servir, selon lui, de moteur au changement démocratique. “Nouvelle dynamique”, une formule aplatie par l’usage médiatique, qui a retrouvé hier son épaisseur sémantique. Car, de l’avis des nombreuses personnalités rencontrées hier, “quelque chose de nouveau est né”. Il s’agira, disent-elles, d’entretenir cette dynamique, de l’inscrire dans la durée et de lui conférer une plus grande amplitude. Pour la faire aboutir. À quoi ? À la chute du régime, pardi ! “Nous reviendrons, nous organiserons d’autres manifestations, jusqu’à ce que ce régime tombe”, lançait hier le Dr Sadi, en guise de réplique aux policiers qui le brutalisaient. Rendez-vous est donc pris, avec l’Histoire, pour la prochaine marche.
      There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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      • #4
        Qu'est ce qu'on s'en fiche de ce parti qui depuis sa création ne fait que de la figuration, personne ne s'intéresse à leurs propos.
        Effectivement ! autour de moi, je n'ai jamais vu quelqu'un parler ou commenter un appel du FFS !!!

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        • #5
          Qu'est ce qu'on s'en fiche de ce parti qui depuis sa création ne fait que de la figuration, personne ne s'intéresse à leurs propos.
          Et pourtant quand il appelait au boycot, les gens l'on suivi en Kabylie, mais aussi à Alger.

          En plus Ait Ahmed est respecté partout en Algérie , on ne peut pas dire la même chose De said Saadi.

          Comme on dit : chebbah lebbah
          All we are saying is give peace a chance. John Lennon.

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          • #6
            ma bqa la Ait Ahmed la walou. Il n'y a plus d'Ait Ahmed qui tienne.

            Ait Ahmed fait de la politique au sens noble du terme, alors que ce pouvoir ne connait que la corruption et la violence. Malheureusement, c'est par celle-ci qu'il faut le combattre.

            Un ange est toujours fragile devant un diable.
            "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
            Socrate.

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