Les retournements du Docteur Sadi

[absente]

Said Saadi j'arrive pas à le situer, son problème c'est qu'il veut contenter un peut tout le monde tout en restant à l'abri!
Et puis qu'est ce qu'il a été faire sur le plateau de Giesbert, ses interventions m'ont un peu déçu

[kenzy]

si changement il y aura en algerie ça ne sera surement pas sous l'impulsion de partis politiques
ils n'ont aucune crédibilité auprès des algériens

[Pangeen]

@Gironimoo,

le FFS ne pouvait en aucun cas continuer à être le seul parti en kabylie ... c'est impossible il donnait l'impression d'être un parti de vieux aux idées un peu dépassées ... la demande émanant de la société kabyle exigeait autre chose ... le besoin d'un courant démocrate, laïc et progressiste, auquel le FFS n'avait pas rependu, était indéniable...

Il me semble que tu te brouilles un peu avec la chronologie historique et mes propos.

A aucun moment je n'ai écrit qu'on avait pas le droit, en Kabylie, de créer d'autres partis que le FFS. Ce que j'ai contesté c'est la manière dont avait été crée le RCD et la tentative de mise à mort du MCB par les fondateurs du RCD.

Pair ailleurs, si le docteur Sâadi était aussi courageux qu'il veut nous le montrer, pourquoi n'avait-il pas crée son propre parti du temps de la clandestinité dans les moments qui avaient suivi sa rupture de banc avec le FFS, c'est à dire en 1985. Pourquoi avait-il attendu l'autorisation de ses mentors sachant que le RCD a été crée lors des assises du MCB du 9 au 10 février 1989 alors que la révision constitutionnelle autorisant le multipartisme ne date que du 23 février 1989 ?

Ce sont là des éléments d'histoire sur les quels il faut méditer cher Gironimoo.

P.

[Pangeen]

@Kenzy,

si changement il y aura en algerie ça ne sera surement pas sous l'impulsion de partis politiques
ils n'ont aucune crédibilité auprès des algériens

Oui mais ils sont là comme des vautours à attendre de se saisir de la proie pour dévorer les restes.

Il est impératif, dans l'intérêt de notre pays, de nous débarrasser du centralisme sur lequel s'appuient les despotes pour instaurer la dictature qui leur permet le pillage des ressources publiques.

Nous devons repenser toutes nos institutions et le modèle d'organisation de notre société.

P.

[kenzy]

je partage ton avis , néanmoins il ne peut nous avancer tan qu'on arrive pas encore a se mettre d'accord sur les point les plus élémentaires

[naw08]

si changement il y aura en algerie ça ne sera surement pas sous l'impulsion de partis politiques
ils n'ont aucune crédibilité auprès des algériens

pire, ils les freinent!!!

faut que l'algérien ai le sentiment de sortir pour l'Algérie, plus de dignité, de liberté de justice sociale , de démocratie !!! et non pour une tendance politique !!

[Pangeen]

@Kenzy,

je partage ton avis , néanmoins il ne peut nous avancer tan qu'on arrive pas encore a se mettre d'accord sur les point les plus élémentaires

C'est sûr qu'il faut se mettre d'accord sur les points les plus élémentaires avant de précipiter la chute de ce pouvoir.

Voici ce que j'ai écrit dans un autre topic :

...
Le mouvement doit aussi se doter d'un projet de refondation dans lequel seront exprimés, de façon transparente, le modèle de société auquel l'on aspire avec définition de la nouvelle forme d'organisation de notre espace de vie ( territoire ) et la nouvelle forme de nos futures institutions. C'est la base minimale de la transparence pour de sincères adhésions.

P.

[WALIS19]

L'algérie est relativement stable et épargné comparé aux pays voisins, ils ont des milliards pour répondre à l'instabilité

[hiemsal]

Abdekka préside aujourd’hui un Conseil des ministres. Sur la table, deux
ordonnances. Une de…

… Rhumafed et l’autre de Médiator !

Alors ? C’est ça le débat ? Hada ma yella ? Vous n’avez rien trouvé d’autre comme sujet de discussion que la «présence ou non de Sadi dans les marches du 12 et du 19» ou encore les «tentatives de récupération de la Coordination par le RCD» ? Ben dis donc ! Vous ne nous parlez plus que de cela. Saïd Sadi est soudain devenu le problème numéro 1 de l’Algérie. De votre salon douillet, les persiennes et les fenêtres fermées, et les rideaux opaques tirés, vous nous jurez que vous seriez allés marcher si et seulement si Sadi ne figurait pas parmi les marcheurs. Ah ! La belle affaire ! Le suprême courage. L’inimitable bravoure en pantoufles et pyjama ! La vérité elle pue. Elle pue de la même manière que vous suintez mauvais des aisselles. Cette peur d’y aller, de prouver qu’il y a une démocratie au-delà d’un clic sur Facebook. Et pour masquer votre peur, vous agitez Sadi sous notre nez. Vous l’agitez même plus fort que vous n’auriez agité Abdekka, pourtant le seul vrai bourourou dans cette histoire. Quel cruel dilemme que celui qui vous agite en ce moment. Vous n’avez pas le cran de créer votre révolution du jasmin, vous n’avez pas l’intelligence d’occuper votre place Tahrir. Alors, et pour détourner notre attention olfactive des relents horribles qui se dégagent de vos frocs, vous nous proposez l’os Sadi à mordiller. Vous nous sortez de vos entrailles bourrées de paille un combat à engager contre un leader politique qui, lui, y va. Oui ! Sadi y va. Et ça, vous ne pouvez le gober, parce que prisonniers de vos sofas et de votre douillet confort. Il vous emmerde au plus profond ce dirigeant du RCD qui descend dans l’arène, qui fait face aux flics chargés de la castagne. Il vous emmerde parce qu’il vous place en mode «lâcheté». Lâcheté non assumée et qui s’agrippe lamentablement à ce mauvais et pitoyable alibi. Bonté divine ! De quel droit devrait-on interdire à un dirigeant de parti d’opposition de faire de l’opposition, dans la rue, en première ligne ? Qui a décrété que le RCD n’avait pas le droit d’intégrer une marche, une coordination et un mouvement appelant au départ du régime ? La vérité, oui, une autre vérité, c’est que Sadi présent ou non dans ces marches, vous n’y seriez pas allés, de toutes les façons. Pour une raison toute simple. On ne se façonne pas virtuellement manifestant de la place Tahrir ou de la place de la Perle. La vérité, et je vous rassure, c’est la dernière, c’est que vous chlinguez la peur. Et terrorisés à l’idée même de vous retrouver en face de la matraque et des balles, vous vérifiez que votre porte est bien fermée à double tour, vous vous dirigez vers votre ordinateur et avec vos doigts encore humides de trouille vous tweetez : «Je t’assure que j’y serais allé s’il n’y avait pas Sadi !» S’il vous plaît, profitez du fait que vous soyez à la maison et prenez une douche, vite. L’odeur que dégage votre couardise devient insupportable ! Intolérable ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.

[absent]

Bon sang !

Arrêtons ces discussions stériles sur ce putain de SAADI qui a semé la discorde parmi nous, et sur nos querelles partisanes, et parlons de ce qui peu nous unir pour notre avenir commun.

C'est plus utile pour nous tous !