Désintégration de la CNCD
22 Feb 2011 17:18
Ce qui était prévisible depuis deux semaines est arrivé. Déjà plusieurs partis politiques et associations, qui ont pris part à la première réunion de la coordination au cours de laquelle a été décidé le principe de tenir des marches à Alger, s’étaient retirés.*Il s’agit, rappelle-t-on, du Front des forces socialistes (FFS), du Parti socialiste des travailleurs (PST), de l’association Rassemblement action jeunesse (RAJ), du Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP) qui ne reconnait pas la présence d’une personne parlant en son nom et du Comité Algérie pacifique et des citoyens ,qui lui, a émis de sévères critiques contre le RCD.
Toutes ces défections ne pouvaient pas laisser indifférents ceux qui restaient et continuaient le combat malgré tout. Au lendemain de la deuxième marche, des voix discordantes se faisaient entendre à l’image du Comité pacifique et de Kamel Daoud. La réunion d’aujourd’hui a été fatale à la coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) qui a été obligée de*reconnaître*ses divisions et surtout sa désintégration. La réunion de ce mardi après-midi a vu la division s’étaler au grand jour.
Les débats ont été très houleux et ont duré plus de trois heures. Ne trouvant plus de terrain d’entente, les participants se sont alors scindés en deux entités. La société civile d’un coté et les partis politiques de l’autre.
La Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH), le SNAPAP, le CLA, le SATEF, le CNES, Algérie Pacifique ont décidé de créer la Coordination de la société civile.
Les partis politiques, le RCD, le MDS, le PLD, quelques organisations estudiantines et Me Ali Yahia Abdenour, ont décidé de maintenir leurs actions en appelant à une marche pour chaque samedi.
Algerie Plus
22 Feb 2011 17:18
Ce qui était prévisible depuis deux semaines est arrivé. Déjà plusieurs partis politiques et associations, qui ont pris part à la première réunion de la coordination au cours de laquelle a été décidé le principe de tenir des marches à Alger, s’étaient retirés.*Il s’agit, rappelle-t-on, du Front des forces socialistes (FFS), du Parti socialiste des travailleurs (PST), de l’association Rassemblement action jeunesse (RAJ), du Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (SNAPAP) qui ne reconnait pas la présence d’une personne parlant en son nom et du Comité Algérie pacifique et des citoyens ,qui lui, a émis de sévères critiques contre le RCD.
Toutes ces défections ne pouvaient pas laisser indifférents ceux qui restaient et continuaient le combat malgré tout. Au lendemain de la deuxième marche, des voix discordantes se faisaient entendre à l’image du Comité pacifique et de Kamel Daoud. La réunion d’aujourd’hui a été fatale à la coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) qui a été obligée de*reconnaître*ses divisions et surtout sa désintégration. La réunion de ce mardi après-midi a vu la division s’étaler au grand jour.
Les débats ont été très houleux et ont duré plus de trois heures. Ne trouvant plus de terrain d’entente, les participants se sont alors scindés en deux entités. La société civile d’un coté et les partis politiques de l’autre.
La Ligue algérienne de défense des droits de l’homme (LADDH), le SNAPAP, le CLA, le SATEF, le CNES, Algérie Pacifique ont décidé de créer la Coordination de la société civile.
Les partis politiques, le RCD, le MDS, le PLD, quelques organisations estudiantines et Me Ali Yahia Abdenour, ont décidé de maintenir leurs actions en appelant à une marche pour chaque samedi.
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