Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Les positions honteuses de l’Algérie

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    @Dda Lwiwi

    ... Comment appelles-tu ça toi ? ...

    J'appelles cela un cas de désaveux et de non concordance avec ma position et, à ce que je vois, celle d'une bonne partie des algériens.

    ... Maintenant que tu l'as dit (hier) on a qu'à fermer le cas. Why Harrachi anta Président taâ le site hada ? ...

    C'est pas moi qui à dit des choses hier, c'est le gouvernement algérien. Il faut bien lier avant de l'ouvrir.

    ... Harrachi, parfois je ne saisis pas très bien de quel bord tu es Harrachi, besah hna, rak clair, Ana mâk fi had chghel ...

    J'ai déja eu à te le dire, des gens comme toi sont généralement trop sectaires et carrés pour comprendre les variations de contexte. N'éssaye pas, tu perds ton temps.
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

    Commentaire


    • #17
      Mardi 22 février 2011 -

      Pourquoi parle-t-on de printemps des peuples arabes?
      Le «printemps des peuples» est une vraie référence historique. Mais pas forcément celle à laquelle les journalistes font allusion actuellement.


      «Printemps égyptien», «printemps arabe», «printemps des peuples arabes»... à force d’entendre ces expressions printanières fleurir dans la presse, on en oublierait presque que les révoltes populaires du monde arabe se déroulent en plein hiver. L’agitation a commencé toute fin décembre en Tunisie, en janvier pour l’Egypte, en février en Libye et au Bahreïn.

      Alors pourquoi utiliser cette expression pour parler des soulèvements dans ces pays? Les journalistes et les hommes politiques, comme Nicolas Sarkozy quand il parle de «printemps des peuples arabes» au dîner du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) le 9 février 2011, ont-ils oublié que le printemps commence le 21 mars? Font-ils des parallèles historiques ou se sentent-ils simplement pousser des bourgeons lyriques?
      Un cliché politique et journalistique

      Ce n’est pas la première fois que l’expression éclot dans l’espace public. En février 2005, George W. Bush avait qualifié de «printemps arabe» les premières élections en Irak et les manifestations au Liban. Pour le président américain, dont la promotion de la démocratie représentait l’axe principal de la politique étrangère, c’était une manière de s’associer au souffle de ces événements.

      Les médias s’étaient alors saisis de cette expression lyrique; ils se sont empressés de faire de même début 2011. Les journalistes avouent: ils se reconnaissent coupables du crime de cliché. Le «printemps des peuples» est devenu une expression journalistique un peu facile, ressortie dès qu’il y a un signe de soulèvement populaire à connotation démocratique (et si possible, en début d’année, dans l’hémisphère nord).
      Petites fleurs et grandes espérances

      Les journalistes l’emploient d’abord pour son côté métaphorique. Vincent Hugeux couvrait les événements en Egypte pour L’Express. Dans un article, il évoque le «grand nettoyage» du «printemps égyptien» sur la place Tahrir au lendemain du départ de Hosni Moubarak.

      «C’est une image simple qui me paraît directement compréhensible pour les lecteurs, explique le grand reporter. Je l’ai choisie parce que quand on était place Tahrir, il y avait vraiment quelque chose de l’ordre de l’éveil.»

      Même écho du côté de Pierre Haski, cofondateur de Rue89, qui a lui aussi utilisé l’expression à plusieurs reprises:

      «Dans l’esprit du lecteur, le printemps évoque le renouveau. C’est ce qui se passe en Egypte et en Tunisie, c’est un printemps abstrait, peu importe qu’on soit en février.»

      Michel Colomès s’amuse également de ce «printemps en hiver» dans Le Point.

      Les symboles, peut-être convenus, mais intelligible par tous, du printemps, de l’éclosion, du réveil (de la nature et des consciences), des petites fleurs et des oiseaux qui chantent, de la vie qui renaît après un long hiver, de l’espoir, apparaissent dès l’Antiquité, avec Lucrèce, le philosophe et poète épicurien, qui célébrait dans Hymne à Vénus la déesse qui symbolise le printemps. Dans ce poème, le printemps renferme les notions de fécondité, de paix tranquille, mais aussi de libération.

      Ainsi, l’élan vers la liberté des sociétés arabes après une période de pesanteur politique sera appelée «printemps». Les journalistes y accolent l’expression «des peuples», car ce sont les citoyens et non l’appareil d’Etat qui se réveillent. Par souci de compréhension —et aussi par esprit grégaire–, journalistes et hommes politiques veulent se fixer sur une même terminologie pour qualifier cet événement.
      Le printemps des peuples de 1848

      Mais pour Akram Belkaid, journaliste notamment pour SlateAfrique, l’expression a beau être une «facilité journalistique», elle n’en demeure pas moins «acceptable» puisque qu’elle fait allusion à des événements historiques:

      «L’expression fait référence au “printemps des peuples” de 1848, à des valeurs universelles, comme celles de la Révolution française de 1789 auxquelles nous, arabes, avons aussi droit d’accéder. On se révolte pour notre dignité, on chasse un tyran, cela dépasse les nationalités.»

      Petit rappel des faits. En 1848, une série de révoltes populaires éclatent en Europe. En février 1848, à Paris, les libéraux se soulèvent contre le roi Louis-Philippe; après quelques semaines de révolution, il abdique et un gouvernement provisoire républicain est instauré. Il donnera naissance à la IIe République.

      A l’image des Français, les nationalistes libéraux de Varsovie, Prague, Vienne, Berlin ou encore Budapest, se révoltent contre les empires austro-hongrois et russe dans le but de créer des Etats-nation. L’histoire retiendra ces événements comme le «printemps des peuples».

      Les révoltes arabes y sont comparées par des historiens pour trois raisons. Tout d’abord, dans l’Europe de 1848 comme dans le monde arabe de 2011, des peuples souffrant de conditions politiques et sociales insupportables se révoltent contre un régime car il y a «une aspiration à la liberté», «une volonté identique de se réapproprier une liberté individuelle», dit l’historien Benjamin Stora.

      De plus, une révolte semble à chaque fois en provoquer une autre dans un pays voisin, c’est la loi des séries –ou, pour employer une expression de la Guerre Froide également resservie, un «effet domino». De la même manière, les métaphores climatiques reviennent souvent dans l’histoire de la Guerre Froide, avec, par exemple, une expression comme le «dégel».

      Enfin, 2011 comme 1848 sont des révoltes de la faim, comme l’analyse Philippe Chalmin, historien à l’université Paris-Dauphine.

      Peu importe si les révolutionnaires de 1848 qui agissaient poussés par des aspirations socialistes sont de très lointains ancêtres avec l’état d’esprit des révolutionnaires arabes. Les quelques similitudes feront le travail: y compris les tentations non démocratiques qui traversent les pouvoirs en place.

      «Nous nous sommes dit que l’expression convenait, notamment car en 1848, le “printemps des peuples” n’a pas débouché sur une démocratie en France - où Bonaparte a fait un coup d’Etat, ajoute Gaïzz Minassian, chef d’édition de la chaîne Idées du Monde.fr. De même, l’issue des révoltes actuelles est incertaine: en ce moment les armées sont très présentes en Egypte et en Tunisie.»

      Printemps de Prague, de Budapest, de Pékin, etc

      Et même si le public a oublié ses cours d’histoire, la réutilisation fréquente de ces expressions permet de les rapprocher d’événements plus récents.

      Pierre Haski admet que «1848 (…) n’est pas ce à quoi (il) voulai(t) faire référence» —une position partagée par Vincent Hugeux. L’expression «printemps de» a en effet été réutilisée sans strictement faire référence aux saisons officielles.

      Pendant la Guerre Froide, on a parlé de «printemps de Budapest», lorsque des militants hongrois ont lancé en octobre 1956 une révolte contre les Russes et pour un socialisme modéré.

      De même, de février à août 1968, les Tchécoslovaques se sont révoltés pour obtenir des libertés individuelles et pour un «socialisme à visage humain»: c’est le Printemps de Prague (bien plus présent dans les esprits actuel que le printemps des peuples de 1848).

      On parlera encore de «Printemps de Pékin» avec la révolte étudiante qui a abouti au massacre de la place Tiananmen et lors des différentes révoltes populaires qui ont précipité le démantèlement populaire de l’URSS.

      Le «printemps politique» en vient à uniquement qualifier des élans populaires spontanés et inattendus qui tendent vers des valeurs considérées comme positives, comme la liberté (et plus particulièrement les libertés individuelles) et la démocratie.

      Pourtant, la métaphore des saisons pour parler de politique semble inappropriée. La saison symbolise l’éternel retour, un phénomène absolument pas inattendu et sur lequel l’homme n’a pas de prise.

      Or, comme l’écrivait Raymond Aron, «l’histoire est libre et imprévisible comme l’homme lui-même»: les révolutions du monde arabe ont surgi brutalement.
      Toujours mieux que «révolution de jasmin»

      L’appellation «printemps des peuples» vaut toujours mieux que les noms floraux ou folkloriques qui sont donnés habituellement aux révoltes (lire à ce sujet l’article de Slate Révolution ou garden party?). Quelques semaines après les événements, les journalistes font leur mea culpa. Appeler «révolution du jasmin» les manifestations en Tunisie alors que la répression du régime de Ben Ali a fait plusieurs morts paraît déplacé. De même, les Egyptiens refusent également d’appeler «révolution du lotus» le soulèvement qui a fait fuir Hosni Moubarak et qui a coûté la vie à plusieurs d’entre eux.

      Nina Montané

      L’explication remercie Gaïzz Minassian, chef d’édition de la chaîne Idées du Monde, Pierre Haski, rédacteur en chef de Rue 89, Vincent Hugeux, grand reporter à l’Express, Akram Belkaid, journaliste indépendant, Dominique Colas, historien spécialiste de l’Europe centrale, Yves Santamaria, historien (IEP de Grenoble), Laurence Hansen-Love, professeur de philosophie au lycées Buffault et Jules Ferry, et Jean Véronis, linguiste et professeur à l’université de Provence.


      ================================================== ================

      Je reprends cet article, que j'avais trouvé dans le journal Slate, qui m'avait un peu surpris à l'époque, c'est pourquoi j'ai enregistré sa page, en ce sens qu'il semble jaloux de la domination "Printemps ..." en le sens qu'il a été utilisé, dont nous ici sur ce forum démocratique de débat d'idées, on parle de "Printemps Arabe", eux, conservateurs, n'oublient pas de remettre dans sa perspective historique le terme...
      Comme quoi cet occident jaloux de son histoire, de ses acquis et des noms qu'il a donné à ses mouvements, ne pouvait rien faire de mieux que poignarder les aspirations des peuples "arabes"...

      Commentaire


      • #18
        Dans le cas de la Libye, j'ai confirmé comme tout le monde, hier ou avant-hier, que le gouvernement algérien avait une position bien conciliante avec Kadhafi, si ce n'est plus.
        commentaire:
        celà veut dire que , la kaddara allah , le regime algerien pourra compter sur kaddafi pour casser les algeriens .

        Commentaire


        • #19
          Il n'y a pas d'algériens à casser vu que personne n'est sorti pour réclamer un changement de régime, à part Saadi et quelques centaines de personnes, puis là le printemps arabe est étouffé dans le sang (Libye, Bahreïn, Yemen, Irak, Egypte...) je ne vois plus de quoi nous pourrions parler à part de la dramatique situation au Japon !

          Commentaire


          • #20
            mnt c'est la ligue arabe qui est devenu le bon sens ?

            awah la politique c'est trop compliqué pour faire juste un choix , l'algérie n'a presque jamais fait un mauvais choix apart que suivre la ligue arabe qui été guidé par moubarak et mnt je pense par l'arabie
            .
            c'est pour cette raison et la seule , j'ai accorder le benefice de doute à boutef.
            j'attend d'autre analyse

            Commentaire


            • #21
              lewnis

              comment peux-tu privéliger des intérêts politiques au detriment de la volonté des peuples.

              En effet. On parle de choix, de suivre ou ne pas suivre la Ligue arabe, et autres considérations politiciennes pendant qu'un peuple qui nous ressemble subit la folie meurtrière d'une famille de dictateurs lourdement armés.
              C'est franchement immoral.

              Commentaire


              • #22
                Les positions honteuses de l’Algérie

                Non mais de toute façon c'est pas la position de l'Algérie, qui est formée d'un ensemble de 35 millions de personnes, hors on les a pas entendu ces personnes, aussi il faut plutôt parler de la position du gouvernement, ou de la diplomatie algérienne, ou de Bouteflika etc...
                Il y a certes quelques agitateurs ici ou là qui gardent la nostalgie stalinienne et communiste, ils sont pro-Kadhafi, comme demain ils seront pro Chavez, mais c'est une particule dans l'ensemble du peuple algérien, ils finiront bien par prendre le train de l'histoire eux aussi, au moins pour pas paraître déphasés ou hors-du-temps...
                Je vous rappel qu'un pays comme l'Espagne publie plus de livres que le monde arabe dans sa globalité...
                ça joue énormément !

                Commentaire


                • #23
                  Dans le cas de la Libye, j'ai confirmé comme tout le monde, hier ou avant-hier, que le gouvernement algérien avait une position bien conciliante avec Kadhafi, si ce n'est plus.
                  commentaire:
                  celà veut dire que , la kaddara allah , le regime algerien pourra compter sur kaddafi pour casser les algeriens .
                  arrêtez votre propagande répugnante, ceux là meme qui n'ont pas hésitez à massacrer le peuple sahraoui nous la jouent aujourd'hui droit de l'hommiste, vous étiez où quand les gazaouis se faisaient déchiqueter par vos maîtres, les algeriennes n'ont nullement besoins des services de servile tel que vous pour comprendre ou prendre position contre ou pour qui que ce soit.
                  peut être que les néo-harkis d'el mouradia sont minables, lâches et répugnants mais vous vous l'êtes mille fois plus bande d'hypocrite,
                  Dernière modification par yak, 14 mars 2011, 12h12.

                  Commentaire


                  • #24
                    Azul,alors que fait boutesrika dans cette ligue?pourquoi ne se retire t il pas?et forme sa propre ligue avec son ami gadafou

                    Commentaire


                    • #25
                      dans le monde arabe ...jamais ne sera plus comme avant ...que ca prenne la forle d'un changement radical ou que cela se fasse ar la voie de la reforme politique ....c'est a mon sens le plus important ....des etats de lethargie profonde sont en train de disparaitre .....quand j'entend meme les saoudiens parler de reforme ....ca me dit que le temps des potentat est fini ou du moin que c'est le debut de la fin .....

                      je crois aussi que le profond ressort de tout cela ...c'est surtout un recouvrement d'un dignité perdue de l'etre arabe ...causé par le colonialisme et par la naksa de 1967 ... apres s'etre refugié dans un nationalisme etroit et chauvin ayant permis a différents potentat de s'installer dans la duré ....aprés avoir entrevu les fausse solutions d'un islam politique ....voila que les peuples arabe ont fini par comprendre que seule la democratie peut leur rendre leur dignité .

                      oh bien sur qu'il y aura des mouvements et des tentative de resistance a tout cela ....la folie et la mégalomanie de certain tyran ....l'inbrigation d'interets interne ou externe ...le conservatisme culturel des sociétés en question tout cela ...tempere l'optimisme des partisans de la liberté ....mais le mouvement est irresistible .....et changement il ya aura !!!!

                      Commentaire


                      • #26
                        @Dda Lwiwi

                        ... Je ne comprends pas comment peux-tu privéliger des intérêts politiques au detriment de la volonté des peuples ...

                        Je ne suis pas un gouvernement, je suis juste un individu. A ce titre, j'ai déja dit que j'éprouve énormément de sympathie pour la rébéllion libyenne. Je le strouve vraiment courageux, et j'aurais souhaité une toute autre position de la part du gouvernement algérien. En fait, j'aurais même souhaité qu'il apporte une aide directe à ces gens, armée s'il le faut, car ce fou de Kadhafi doit être écarté.

                        Il se trouve que le gouvernement algérien lui semble privilégier ses intérêts politiques avec Kadhafi. Je ne suis pas d'accord du tout, et j'aimerais que la position algérienen soit nettement plus engagée en faveur des insurgés, d'autant que je considère Kadhafi comme politiquement mort, que ca soit à moyen ou à long terme. En un mot, même sur le plan politique, je considère que le gouvernement algérien pêche, ce qyui est inacceptable.

                        ... Ne vaut-il pas mieux manquer de pain que de liberté ? ...

                        Tout dépend de ton entendement des conceptes de "pain" et de "liberté" ?
                        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

                        Commentaire


                        • #27
                          Tolkien
                          La défaite annoncé des libertaires libyens signe l'arrêt de mort du printemps arabe...
                          drôles de "libertaires" ces insurgés !!!!
                          "L' Algérie c'est le seul pays, où quand les gens me tendaient la main c'était pour m'offir quelque chose alors que dans les autres pays c'était pour m' en demander " Yann Arthus Bertrand

                          Commentaire


                          • #28
                            En fait, j'aurais même souhaité qu'il apporte une aide directe à ces gens, armée s'il le faut, car ce fou de Kadhafi doit être écarté.
                            C'est ça pour que l'on se retrouve avec un gouvernement minoritaire en Libye avec une présence américaine durable à nos frontiéres et un Hamid Karzai Libyen comme voisin.
                            "L' Algérie c'est le seul pays, où quand les gens me tendaient la main c'était pour m'offir quelque chose alors que dans les autres pays c'était pour m' en demander " Yann Arthus Bertrand

                            Commentaire


                            • #29
                              C'est ça pour que l'on se retrouve avec un gouvernement minoritaire en Libye avec une présence américaine durable à nos frontiéres et un Hamid Karzai Libyen comme voisin.
                              ah le manichéisme ...a encore de beaux jours dans la tete de certains ....incapable meme d'envisager une autre voie que celle de la servilité ...et de la mentalité d'exclave ...tant cette derniere fait parti de leur etre etre profond !!!!

                              Commentaire


                              • #30
                                C'est ça pour que l'on se retrouve avec un gouvernement minoritaire en Libye avec une présence américaine durable à nos frontiéres et un Hamid Karzai Libyen comme voisin.
                                parce que tu crois que l'algérie peut empêcher un telle chose, d'ailleurs la ligue arabe a bien fini par adopter cette décision "d'une zone d'exclusion aérienne" ou au moins elle a donner son accord ( une ligue dont l'algérie est membre je le rappelle ), la position algérienne n'y change rien sauf se mettre à dos le peuple libyen.


                                c'est a dire que moralement notre position n'est pas tenable de manière générale, et du point de vue rationnel et pragmatique elle est tres mal vendue (surtout pour le peuple libyen "le premier concerné"),enfin tout cela est normal et meme prévisible quand on sait que plutôt d'un ministère des AE on a un bouffon qui ne fait que cumuler les casseroles, qui risquent de nous coûter tres cher .
                                Dernière modification par yak, 14 mars 2011, 14h38.

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X