Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Des questions pour la vérité sur l’assassinat de Kerroumi

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #16
    Pour la rhétorique et la mauvaise foi tu est fort. Pour le reste tu repasseras.

    J'ai deja présenté mes condoléances et exprimé mon point de vue sur un autre fil. De toute les façons tu est en mission c'est clair: ca sert à rien de tenir une discussion avec toi. Salut.

    ∑ (1/i²) = π²/6
    i=1

    Commentaire


    • #17
      Envoyé par Alryib
      Pour la rhétorique et la mauvaise foi tu est fort. Pour le reste tu repasseras.

      J'ai deja présenté mes condoléances et exprimé mon point de vue sur un autre fil. De toute les façons tu est en mission c'est clair: ca sert à rien de tenir une discussion avec toi. Salut.
      Oups! Rassi methkoub. Mziya rak hna, ya hadarat. Yfekrek lkhir!
      Vous avez bien fait de me le rappeler. Merci chef. J'attends toujours que vous signasse mon ordre de mission pour justement un meilleur accomplissement de la mission que vous m'avez confiée et que je vais accomplir sous votre haute et bienveillante autorité. Merci de ne pas oublier, non plus, ma fiche d'émoluments.
      Ma3a ihtiramati lakoum.

      N'était le côté tragique de la situation, j'en rirais.
      "Si loin que nous portent nos pas, ils nous ramènent toujours à nous-mêmes" (Proverbe Twareg).

      Commentaire


      • #18
        Mais ce qui est certain c'est que personne et encore moins l'Etat (au sens strict du terme) n'a aucun intérêt à ce qu'un universitaire soit assassiné dans la deuxième ville du pays. Si des liquidations devaient, à Dieu ne plaise, devenir une pratique courante, tu concéderas qu'il y aurait des cibles autrement plus prioritaires qu'un paisible Universitaire s'activant pacifiquement au sein d'un parti reconnu pour la promotions d'idéaux défendus, du reste, par la presse de façon bien plus véhémentes
        C'est ce que je pense aussi...
        Quelle menace importante constitue ce militant pour qu'on l'assassine?

        Commentaire


        • #19
          En tout état de cause, pour mettre fin à toutes sortes de spéculations, fondées ou non, il est nécessaire que toutes les zones d'ombre de cette affaire soit éclairées et que toute la vérité soit faite.
          Notre justice nous a trop habitué aux bâclages, à orienter ses recherches là où il n'y a pas de risques de tomber sur des os quitte à malmener des innocents et à laisser tranquilles des coupables avérés. La liste des affaires où les investigations se sont retrouvées dans des impasses et au mieux n'ont pas dépassé le niveau de lampistes. Tout cela parce qu'elles risquaient de mettre en cause des intouchables ou pour de sordides "raisons supérieures".

          Kerroumi a disparu le mardi. Les services de sécurité ont été alertée mais ont refusé de lancer les recherches avant l'écoulement du délai légal de 48 heures. Devant l'insistance de l'épouse de Kerroumi et de ses amis, les services de sécurité ont accepté de lancer les recherches dès mercredi après-midi. A ce moment là et jusqu'à jeudi après-midi, le téléphone portable de Kerroumi sonnait quand on l'appelait. Il aurait pu être rapidement localisé sur une simple demande/réquisition adressée à l'opérateur téléphonique concerné, ce qui aurait pu donner une indication précieuse pour la suite. On sait que les enquêteurs se sont adressés à l'opérateur téléphonique pour avoir la liste des derniers appels du défunt avant sa disparition. Ils disent avoir identifié tous les correspondants de la victime, sauf l'auteur du dernier appel, selon toutes probabilité, celui-là même que Kerroumi devait aller retrouver juste avant de disparaître... Qu'est-ce qui fait que c'est justement celui-ci que les enquêteurs n'arrivent pas à identifier ou à en parler?

          Pour revenir aux circonstances du décès. La mort est due, selon des informations distillées par les enquêteurs, à un choc extrêmement violent de l'arrière de la tête du défunt contre le siège à la turque. Ce siège porterait les marques du choc et en aurait été légèrement fissuré. Après cela, le corps a été déplacé.

          N'est-on pas, dans ces circonstances, en droit d'exiger des réponses valables et crédibles, quels que soient les auteurs et les éventuels commanditaires de cet inqualifiable forfait?


          _
          "Je suis un homme et rien de ce qui est humain, je crois, ne m'est étranger", Terence

          Commentaire


          • #20
            Un expert des Nations Unies choqué par le meurtre tragique d’un activiste politique en Algérie

            GENEVE, Suisse, 27 avril 2011/African Press Organization (APO)

            GENEVE, Suisse, 27 avril 2011/African Press Organization (APO)/ — Le Rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit à la liberté d’opinion et d’expression, M. Frank La Rue, a fait part mercredi de sa profonde indignation et tristesse au sujet du meurtre d’un activiste politique qu’il avait rencontré lors d’une récente visite en Algérie.



            L’expert avait rencontré Ahmed Kerroumi, enseignant universitaire à Oran et membre du parti d’opposition Mouvement Démocratique et Social et de la section oranaise de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie, au cours de sa visite officielle en Algérie du 10 au 17 avril 2011, organisée à l’invitation du Gouvernement. M. Kerroumi faisait partie des représentants de la société civile avec lesquels le Rapporteur spécial s’était entretenu de la situation des droits de l’homme dans le pays, lors d’une réunion à Oran le 15 avril. M. Kerroumi aurait disparu le 19 avril et son corps a été retrouvé dans son bureau le 23 avril.



            « Son meurtre est tragique et totalement inacceptable », selon M. La Rue. « Selon les informations que j’ai reçues, M. Kerroumi aurait reçu plusieurs blessures à la tête, ce qui me porte à croire que cet acte est arbitraire ».



            L’expert a ajouté qu’il a également reçu des informations selon lesquelles un véhicule avec quatre hommes à son bord est resté garé devant le bureau de M. Kerroumi pendant quatre jours avant le meurtre. La voiture ne serait plus réapparue depuis.



            “J’avais insisté sur la liberté absolue de pouvoir effectuer toute rencontre que j’estimais nécessaire et avais demandé une protection totale de l’Etat pour tous ceux et toutes celles que j’avais rencontrés durant ma visite, spécialement après la fin de ma mission », M. La Rue a indiqué. « De ce fait, je suis profondément choqué et peiné par cet incident ».



            L’expert a appelé le Gouvernement à mener « l’enquête la plus détaillée et indépendante qui soit sur ce meurtre tragique afin de traduire ses auteurs en justice. Une telle action, couplée à une condamnation publique de la part du Gouvernement, est indispensable pour garantir que cet acte odieux n’aura pas d’effet dissuasif sur la liberté d’expression dans tout le pays ».



            « Je présente mes plus sincères condoléances à la femme de M. Kerroumi, à ses collègues et aux activistes en Algérie et j’appelle les autorités à leur octroyer une protection totale afin de garantir leur intégrité physique et morale », a ajouté M. La Rue.



            « Je suivrai de près tous les développements relatifs à ce cas, y compris directement avec les autorités algériennes », a conclu M. La Rue.



            SOURCE

            United Nations – Office of the UN High Commissioner for Human Rights (OHCHR)
            Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

            Commentaire


            • #21
              Azul,la rencontre de Keroumi RIP,et Mr De La Rue pourrait etre le mobile du crime. Le refus de l Etat a savoire une protection de Keroumi RIP,pourrait signifier non seulement qu il s agit d un assassinat mais plus grave encore c est avec premeditation,et l Etat est completement responsable.

              Commentaire


              • #22
                à aucun moment on évoque la piste d une connaissance. Est ce tabou?
                « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

                Commentaire


                • #23
                  @ bledard_for_ever


                  Parceque Echami, Chami ; wel Beghdadi beghdadi . ( الشامي , شامي ; و البغدادي بغدادي )
                  Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

                  Commentaire


                  • #24
                    à aucun moment on évoque la piste d une connaissance. Est ce tabou?
                    Selon moi, tout porte à penser à une bavure des services de sécurité

                    Commentaire


                    • #25
                      D apres les propos de Mr Frank La Rue,
                      Envoyé par Frand La Rue
                      “J’avais insisté sur la liberté absolue de pouvoir effectuer toute rencontre que j’estimais nécessaire et avais demandé une protection totale de l’Etat pour tous ceux et toutes celles que j’avais rencontrés durant ma visite, spécialement après la fin de ma mission », M. La Rue a indiqué. « De ce fait, je suis profondément choqué et peiné par cet incident ».
                      tout porte a croire que Mr Kerroumi a ete cible' du moment que le gouvernement Algerien connaissait toutes les personnes approchees par Mr La Rue.
                      Le gouvernement Algerien est donc coupable d avoir ete incapable de proteger les personnes rencontrees par Mr La Rue.

                      Toute personne ayant eu des entretiens avec Mr La Rue est donc en danger. Il faut a tout prix que ces personnes s identifient en public pour que les assassins n oseront pas recidiver... bien sur, la je reve.... un gouvernement qui n arrete pas de tuer depuis 1962.

                      Sinon, il existe 2 poles de pouvoir en Algerie, un, incarne' par boutef qui a du donner a Mr La Rue l impression qu il peut faire son enquete en toute liberte', et l autre pole incarne' par Uyahia et les tueurs-decideurs de l ombre.

                      Si Mr La Rue a ete assure de la protection de toute personne qu il approchera, il est clair qu il y a un autre pan du gouvernement qui a pense' autrement.

                      Il est grand temps que ces assassinats cessent.

                      Il faudra demander a Mr La Rue qui du cote algerien lui a assure' que toute personne qu il approchera sera protege'e. Une fois que l on sait qui a donne' cette assurance, on pourra identifier quel est le clan coupable de cet assassinat: Boutef vs Uyahia.

                      M.
                      Dernière modification par mmis_ttaq-vaylit, 27 avril 2011, 23h10.
                      Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

                      Commentaire


                      • #26
                        Conférence de presse à Oran

                        Conférence de presse de la CNCD-Oran
                        “Nous ne permettons aucune atteinte à la mémoire de Kerroumi”
                        Par : K. REGUIEG-YSSAAD

                        Le décès tragique du professeur, Ahmed Kerroumi, retrouvé sans vie samedi dernier au siège du MDS à Oran, a été passé en revue, mercredi, par les membres de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD-Oran) dont il a été un militant actif.

                        Sortant de leur réserve depuis la disparition d’Ahmed Kerroumi, les animateurs de la conférence de presse tenue au sein du siège de la Laddh n’ont pas mâché leurs mots à l’endroit d’une “certaine presse”.

                        En termes crus, Chouicha Kaddour a pointé un doigt accusateur à l’encontre de journaux qu’il accuse de “nager en eau trouble”. “Nous saurons qu’il y aura une divergence sur ce qui est officiel et sur ce qui se dit”, a averti l’orateur.

                        Il précisera sa pensée en exigeant à ce que “le procureur de la république provoque une conférence de presse pour permettre aux journalistes de poser leurs questions dans le but de mettre toute la lumière sur le décès d’Ahmed Kerroumi”, a-t-il affirmé.

                        Le membre de la CNCD-Oran et représentant local de la Laddh a mis en garde contre les “glissements délétères dont s’est rendue coupable une certaine presse arabophone qui se nourrit confortablement de la publicité de l’Anep”. Un clin d’œil lancé sans doute à un journal arabophone qui laissait planer des doutes “quant à la découverte de préservatifs près du corps du regretté Ahmed Kerroumi”. Une assertion qui a fait réagir les membres de la CNCD-Oran qui ont lancé un appel qui ne souffre aucune ambiguïté.

                        “C’est un assassinat qui s’est produit dans une conjoncture particulière car nous savions déjà qu’une réponse officielle était en préparation alors que nous nous sommes abstenus de faire des commentaires infondés en l’absence des conclusions de l’enquête officielle”, a encore réaffirmé Chouicha Kaddour. Il devra mettre en exergue la diffusion d’un communiqué de la Laddh dès le 20 avril pour retrouver vivant le militant politique pendant que son téléphone portable sonnait encore. La sortie médiatique des membres de la CNCD-Oran tranchait nettement avec le climat de suspicions fait autour de la mort du professeur Ahmed Kerroumi, le 23 avril dernier. “Nous disons aux apprentis sorciers et aux autorités que personne ne va nous leurrer.” Un message clair destiné surtout “à alerter l’opinion publique sur les préparatifs en court quant aux conclusions de l’enquête”, a indiqué Chouicha Kaddour. Il ajoutera : “Nous refusons de laisser passer ça car il y va de l’honneur d’Ahmed Kerroumi, de sa famille et de ses nombreux amis.” Pour sa part, Fatima Boufenik a indiqué que “ceux qui ont espéré créer la confusion se trompent”. Et d’ajouter : “Nous allons mettre tous les moyens pour rendre hommage à la mémoire du défunt en marchant pacifiquement à Oran le 30 avril à 11 heures de la place de la Kahina (ex-Cathédrale) via la rue Émir-Abdelkader jusqu’à la place du 1er-novembre 1954.” Les membres de la CNCD-Oran prévoient d’exhiber les portraits à l’effigie du militant syndical et politique assassiné avec port des brassards en signe de deuil. Une marche pacifique dont l’autorisation a été déposée le 14 avril dernier auprès de la Drag de la wilaya d’Oran et qui est restée lettre morte.
                        Dernière modification par mob_dz, 27 avril 2011, 23h11.
                        Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

                        Commentaire


                        • #27
                          A Noter aussi la mise au point des médecins Légistes du CHU d'Oran

                          Précision
                          Par : Les médecins légistes
                          Lu : (18 fois)

                          Suite à votre article paru le 27 avril 2011, concernant les circonstances du décès du défunt Kerroumi A., avancées par votre correspondant K. Reguieg-Yassad, nous tenons nous médecins légistes du CHU Oran à démentir formellement toutes les conclusions émises dans cet article et aucune déclaration sur les circonstances réelles du décès n’a été faite à ce sujet vu que nous sommes tenus au secret de l’instruction.
                          Les médecins légistes du service de médecine légale du CHU Oran
                          voici l'article en question

                          Par : K. REGUIEG-YSSAAD

                          Les blessures apparentes sur la tête, au-dessus des sourcils, sur la joue droite, ainsi que sur la nuque dénotent*“d’une résistance que la victime aurait opposée à son agresseur”, indique-t-on.

                          La thèse de l’homicide volontaire avec préméditation ayant provoqué le décès du professeur, Ahmed Kerroumi, semble retenir l’attention des enquêteurs qui privilégient cette piste eu égard aux premiers résultats de l’expertise médicale légale, avons-nous appris, mardi, de source médicale, au CHU d’Oran.

                          Selon cette dernière, le rapport en question met en évidence l’état de décomposition du corps de la victime qui serait morte depuis trois jours avant la découverte du corps, après sa disparition dans la matinée du 19 avril. Notre source affirme, en effet, que la mort du militant politique et syndical pourrait remonter à un intervalle de 24 heures suivant le jour de sa disparition. Les traces de blessures apparentes sur la tête, au-dessus des sourcils, sur la joue droite, ainsi que sur la nuque dénotent “d’une résistance tenace que le malheureux aurait opposée à son agresseur”, indique-t-on de même source.


                          En clair, une lutte sans merci aurait été engagée entre la victime et son meurtrier “qui tenait à ce que la victime se taise”, relève-t-on par ailleurs. Des traces de sang ont été découvertes sur le rebord de la cuvette des toilettes. “Ce détail renseigne sur la férocité de l’agresseur qui aurait violemment heurté la tête du professeur contre le bidet”, explique-t-on de même source.

                          Le décès du professeur résulterait de coups violents assenés particulièrement à la nuque. Ces résultats scientifiques mettent un terme aux rumeurs les plus folles colportées ici et là. “Nous avons effectué trois autopsies sur la victime, qui écartent de façon tangible toutes les supputations différentes quant aux causes réelles de la mort tragique de la victime”, affirme, pour sa part, un médecin spécialiste du CHU d’Oran. Notre interlocuteur confirme que la mort a été causée par des coups portés à la tête à l’aide d’une chaise. “Il n’existe aucune trace de blessure provoquée par un objet contondant”, ajoute-t-on de même source. La disparition du professeur, Ahmed Kerroumi, avait été signalée dans la journée du 19 avril par son épouse. Le corps sans vie ne sera retrouvé que le 23 avril au siège du MDS à Oran, soit cinq jours après la disparition.


                          À noter que le véhicule de marque Peugeot 206 appartenant à la victime reste introuvable jusqu’à ce jour. Une source policière indique qu’alors que la victime agonisait, elle aurait été traînée jusqu’aux toilettes pour y être achevée de façon cruelle. La brigade criminelle relevant de la sûreté de wilaya a ouvert une enquête pour déterminer avec exactitude les tenants et les aboutissants de cette affaire qui a défrayé la chronique locale et nationale. Marié et père de deux enfants, Ahmed Kerroumi était très apprécié par ses étudiants et ses collègues de travail du département des sciences de l’information et de la communication qu’il a intégré depuis dix ans, quand il a été ouvert à l’institut de bibliothéconomie, à l’Enset. Ce département était encore une section qu’a dirigée un certain temps Mohamed Koursi qui se souvient parfaitement du professeur Ahmed Kerroumi.


                          Philosophe de formation, le défunt a assuré les charges de pédagogie et de méthodologie et préparait un doctorat en sciences de la communication à Alger. Affable, courtois et sociable, l’universitaire-chercheur, membre de la CNCD-Oran, laisse derrière lui un parcours syndical et politique ininterrompu depuis son adhésion au Pags, devenu par la suite MDS.*
                          Nota : Tout ce qui est en gras est souligné par moi.
                          Dernière modification par mob_dz, 27 avril 2011, 23h10.
                          Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

                          Commentaire


                          • #28
                            Qui est la personne qui signe REGUIEG-YSSAAD?

                            Le clan des tueurs vont avoir un os dur a avaler car cette fois ils vont dealer avec mr La Rue.

                            Que Mr Kerroumi repose en paix et me pardonne de citer son nom ainsi. Qu il sache que cela represente pour moi un appel a vider ce pays de ceux qui le saignent depuis 1962.

                            M.
                            Dernière modification par mmis_ttaq-vaylit, 27 avril 2011, 23h53.
                            Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

                            Commentaire


                            • #29
                              Tiens, tiens! Pourtant, les informations données par le journaliste sont très précises. Il n'aurait pas pu les inventer, tout de même, sans avoir réellement discuté avec cette "source médicale".
                              Le démenti du corps des légistes, sans signature d'identification, me laisse perplexe. Connaissant un peu ce milieu, je suppose que des instructions fermes ont été données pour la publication d'un tel démenti et avec une telle rapidité.
                              "Si loin que nous portent nos pas, ils nous ramènent toujours à nous-mêmes" (Proverbe Twareg).

                              Commentaire


                              • #30
                                Envoyé par Bachi
                                Selon moi, tout porte à penser à une bavure des services de sécurité
                                Malheureusement, on a connu trop de bavures de ce genre dans notre pays. Et quand cela se reproduit souvent, cela quitte le domaine de définition de la bavure.
                                "Si loin que nous portent nos pas, ils nous ramènent toujours à nous-mêmes" (Proverbe Twareg).

                                Commentaire

                                Chargement...
                                X