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Appels à l’ingérence ou la mise à mal de la souveraineté nationale

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  • Appels à l’ingérence ou la mise à mal de la souveraineté nationale

    Appels à l’ingérence ou la mise à mal de la souveraineté nationale

    Le changement, d’accord, tout le monde en convient ! Oui, mais à quel prix ? Les appels sibyllins et non moins irresponsables de certaines figures de l'opposition pour une ingérence étrangère dans nos affaires intérieures s’énoncent avec plus de clarté. Certains en seraient amenés à pactiser avec le diable.

    En effet, le décryptage de certains propos ou encore de certains titres de Une de presse ne laissent planer, désormais, aucun doute. Une chose est sûre : ces suppliques ne resteront pas sans échos. Et surtout pas, par ici, au pays de Jugurtha où «un traître est un traître» quels que soient ses subterfuges. En réalité, la souveraineté du pays ne peut être battue en brèche que par ceux qui, aux yeux des Algériens, ne peuvent être, à la fin, que de vils renégats. Le peuple algérien, à la résistance plusieurs fois millénaire, saura, en effet, vite trouver la parade à ces gesticulations vouées d’avance à l’échec.

    Il apportera, comme à son accoutumée, la réponse la plus adéquate à ces sollicitations, du reste, malvenues. Avec le recul, chacun sait à présent que les déboires des décennies dites rouges ou noires qu’a eu à surmonter le pays sont justement le fait de ces interventions étrangères aussi inopportunes qu’importunes. Il n’y a qu’à se rappeler la sévérité avec laquelle était jugée l’économie nationale par les agences de notation dont notamment la Coface française. L’Algérie était alors au bord de l’asphyxie financière. L’affaire de l’Airbus d’Air France survenue sur fond d’intrigues a vite entraîné les autres compagnies étrangères à déserter le ciel algérien.

    L’intrusion ensuite de faux débats chez l’ancienne puissance coloniale ainsi que de la formule insidieuse du «qui tue qui» fera des ravages dans l’opinion internationale quant à la crédibilité de nos institutions. Sans compter l’arrêt du processus électoral qui a été considéré, sans ambages, comme un acte résolument «anti-démocratique». «L’ennemi d’hier est l’ennemi d’aujourd’hui» On se souvient enfin du fameux impératif : «il faut…» lancé par le chef de l’Etat français qui sera suivi par de multiples mesures de rétorsion. Feu Mohamed Boudiaf, du haut de son expérience militante, avait vite perçu la manœuvre. «L’ennemi d’hier est l’ennemi d’aujourd’hui», avait-il averti. Pour leur part, les opposants islamistes seront accueillis à Paris et dans d’autres capitales occidentales, les bras grands ouverts.

    Le modus-operandi de la subversion et le mode de fabrication de bombes leur étaient largement disponibles notamment sur des sites hébergés en métropole. Courtisés par ceux-là mêmes qui prêchent aujourd’hui l’islamophobie, les militants islamistes ont longtemps été instrumentalisés à outrance par les officines étrangères au même titre, d’ailleurs, que certains officiers félons convertis dans la littérature foncièrement anti-algérienne. Le procès intenté à grands fracas contre l’ancien ministre algérien de la Défense sur les rives de la Seine illustre d’une manière on ne peut plus claire l’intention manifeste de certains nostalgiques de l’Algérie française de vouloir en découdre avec l’armée algérienne qui leur avait donné naguère tant de fil à retordre.

    «Le colonialisme est un mauvais élève», disait le général Giap. On ne croyait pas si bien dire. Car ce n’est pas pour rien que l’on cherche désespérément à impliquer l’Algérie dans le conflit libyen. Quoi qu’on en dise, face à un environnement aussi hostile, l’Algérie a réussi, malgré tout, à dépasser tous ces obstacles, à maintenir le cap et même à marquer parfois des points. N’en déplaise à certains, on y parle même aujourd’hui de réalisations. Certes, le pays est toujours en chantier alors que sa souveraineté est mise à mal, de jour en jour, par les tenants du chaos, des extrémistes de tout bord et de tout poil. Pourtant, le changement en Algérie, tout le monde est d’accord.

    A commencer par le pouvoir, lui-même. Il reste seulement à définir les modalités pour une transition la plus soft possible. Aussi, les appels à l’ingérence ne peuvent être perçus ici que comme un casus belli qui pourrait engendrer une nouvelle chasse aux sorcières dont on se passerait volontiers. Car au pire, on veut nous emmener vers une guerre civile. Et ça, ça ne marchera pas !

    Larbi Balta

  • #2
    labssou wa dhak alih !!!!

    c'est bien comode de mettre par fantasme toutes les tares sur ses adversaires ...de s'inventer...des choses et apres venir avec la critique qui devient facile ...

    qui sont ces gens qui appelle a l'intervention etrangere ....l'auteur ne le dira jamais ...car il n'existent pas ......mais pour pondre un joli edito d'un journal obscure, acheté juste par le voisin et le cousin du village d'a coté .......il faut bien faire des efforts ...taper sur d'autres journaux bien plus serieux . bref cet article est une serie de poncifs creux de..denonciation dans le vents ....ca donne l'air d'exister ...ca se gargarise d'un patriotisme de pacotille ......ca permet de petite ejaculation nerveuses ....mais ca n'apporte rien en terme d'analyse ni d'information ..........labssou wa dhak alih !!!!!!!!

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    • #3
      peut être...

      et bien pour cela 2(deux) choses, l'une s'évite le nombre croissant et l'erreur humaine, l'autre pour dire, des façons respectables et fraternelles, qu'il est sans doute tout aussi bien pour cela que des Peuples se renaissent des Lumières de chaque Jour plus qu'entre tout autre chose, et, chaque Jour se dit bien à décrypter de Lui entre tout autre Instant...,

      des façons communes et répétées, Nous disions il y a peu qu'il peut être des hommes à se rendre d'avoir Générosité(Hassana) comme jamais il n'a été dit ni su des lectures ou des écritures, comme de cette fois ajoutée, L'ArHman ou L'ArHim chéddîne ou chaÿffîne Al Salam...

      de fait, et des passés, par mesure de ce qui marchera ou ne marchera pas, certains chemins se sont oubliés ou se sont fait oubliés pour qui l'admet, autant qu'en est-il des présents se courant des avenirs, sans guerres disons Nous, Al'Salam AliKoùm...

      ...Salam, merci...
      ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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      • #4
        la souveraineté nationale
        Comme si ce concept avait un sens pour vous!!!
        "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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        • #5
          hben,
          il faut dire qu ils sont a court d imagination pour nous ressortir des "larbi Balta" en lieu et place de "Paul Balta"! je ne pouvais m empecher de rire de leurs farces... c est un peu comme les communiques qu ils nous sortent en parlant de la mort multiple de Droudkel et compagnie.

          bien sur, je pense qu il s en tirent a bon compte comme ils savent a qui ils ont affaire... nagh je me trompe?

          M.
          Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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          • #6
            Le changement, d’accord, tout le monde en convient ! Oui, mais à quel prix ? Les appels sibyllins et non moins irresponsables de certaines figures de l'opposition pour une ingérence étrangère dans nos affaires intérieures s’énoncent avec plus de clarté. Certains en seraient amenés à pactiser avec le diable.
            Et ce regime, il n'est pas diabolique?
            Quand a la souveraineté nationale, il faudrait plutot parler de la souveraineté du clan Boutef car le peuple n'est malheureusement pas concerne.
            Si la vie n'est pas une partie de plaisir, l'alternative est pire.

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            • #7
              Azul,Le procès intenté à grands fracas contre l’ancien ministre algérien de la Défense sur les rives de la Seine illustre d’une manière on ne peut plus claire l’intention manifeste de certains nostalgiques de l’Algérie française de vouloir en découdre avec l’armée algérienne qui leur avait donné naguère tant de fil à retordre.


              Si nos parents nous ont rien dit on l aurait crus.L armee des frontieres n as fait la guerre qqqu as un peuple desarmes,ceux qui ont fait la guerre ont ete assassines par ses usurpateurs ancien sous officiers de l armee francaises et des agents du MALG et leurs marocains.

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