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Béchar : Le wali ordonne une enquête sur l’OPGI
«On ne peut plus fermer les yeux. «El Houdna» c’est fini. Dorénavant, chacun prend ses responsabilités», nous a affirmé le wali, lors d’une brève rencontre, lundi, avant d’ajouter: «Plusieurs logements, dans un état lamentable, ont été attribués aux citoyens à Abadla.
Des logements qui, je pense, n’ont pas été achevés». Le chef de l’exécutif, qui passe une grande partie de son temps à inspecter les chantiers, à travers la wilaya, semblait très contrarié par l’attitude de certains responsables. «J’avais ordonné une enquête et le dossier se trouve actuellement au niveau du parquet», précise le premier responsable de la wilaya. M. Zaalane Abdelghani, pour rappel, a été installé à la tête de la wilaya de Béchar en octobre dernier. Sans qu’il ne le dise, chacun sait qu’il a hérité d’une situation exceptionnelle. De très grands retards sont enregistrés dans la quasi-totalité des secteurs. Au niveau de certains chantiers, à l’instar du centre pénitencier, sur la route de Lahmar, les retards ne se comptent même plus. Et, paraît-il, le projet a enregistré des modifications, en raison d’une mauvaise étude, qui ont coûté des milliards au trésor public. Pour le wali, «la wilaya de Béchar n’a rien d’exceptionnel. C’est une wilaya comme toutes les autres voire mieux que certaines qui sont situées au bord de la mer».
Ali Boutaleb
El Watan
«On ne peut plus fermer les yeux. «El Houdna» c’est fini. Dorénavant, chacun prend ses responsabilités», nous a affirmé le wali, lors d’une brève rencontre, lundi, avant d’ajouter: «Plusieurs logements, dans un état lamentable, ont été attribués aux citoyens à Abadla.
Des logements qui, je pense, n’ont pas été achevés». Le chef de l’exécutif, qui passe une grande partie de son temps à inspecter les chantiers, à travers la wilaya, semblait très contrarié par l’attitude de certains responsables. «J’avais ordonné une enquête et le dossier se trouve actuellement au niveau du parquet», précise le premier responsable de la wilaya. M. Zaalane Abdelghani, pour rappel, a été installé à la tête de la wilaya de Béchar en octobre dernier. Sans qu’il ne le dise, chacun sait qu’il a hérité d’une situation exceptionnelle. De très grands retards sont enregistrés dans la quasi-totalité des secteurs. Au niveau de certains chantiers, à l’instar du centre pénitencier, sur la route de Lahmar, les retards ne se comptent même plus. Et, paraît-il, le projet a enregistré des modifications, en raison d’une mauvaise étude, qui ont coûté des milliards au trésor public. Pour le wali, «la wilaya de Béchar n’a rien d’exceptionnel. C’est une wilaya comme toutes les autres voire mieux que certaines qui sont situées au bord de la mer».
Ali Boutaleb
El Watan
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