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Rumeurs - Bouteflika serait gravement malade

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  • #16
    Une marionette de perdue, 100 de trouvées ! Toufik veille au grain
    Oui mais faut se réveiller, il y a des combats à Ghadames, c'est à dire à notre frontière, et je crois pas que Toufik ou n'importe quel autre de son calibre fera long feu si l'Otan commence à regarder de notre côté !

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    • #17
      Ben y'en a qui l'ont déjà enterré
      oui moi et pleins d'autres je pense, nous sommes sans président depuis un bon bout de temps déjà.
      Dans tous les cas je lui souhaite un prompt rétablissement.

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      • #18
        héhé , Facebook est devenu une source fiable ..?
        j ai lut aussi sur face Back .que Sarko est frivole , M6 autiste et P* , Moubarak sa femme le tire par ses oreilles , Ben Ali un connard ..Boutef nain ..
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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        • #19
          Toufik ou n'importe quel autre de son calibre fera long feu si l'Otan commence à regarder de notre côté !
          Toufik est un gars de Saint Cyr. L'OTAN était chez toi bien avant ta naissance.
          Jeûner c'est bien. Manger c'est mieux.

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          • #20
            Y a un pays qui malgré que ça fait plus d'une année qu'il n y a pas de gouvernement dans ce pays , eh ben , tout fonctionne a merveille , c'est bien les institutions !!!

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            • #21
              Les rumeurs le disent gravement malade : Les étranges absences du président Bouteflika

              Sa dernière apparition publique remonte au mardi 13 septembre 2011. Ce jour-là, il recevait au siège de la présidence trois ambassadeurs. Depuis, le président Bouteflika a disparu des radars. Le chef de l’Etat ne s’est pas rendu à New York pour l’assemblée annuelle des Nations Unis.

              Il n’a pas non plus assisté à l’inauguration du Salon international du livre d’Alger. Bouteflika serait-il malade ? Son agenda a-t-il été allégé ? A-t-il volontairement décidé de s’éclipser de la scène ? Son absence prolongée nourrit les plus folles rumeurs.
              Le président Bouteflika aurait été hospitalisé au cours de la dernière semaine à l’hôpital du Val de Grâce, à Paris. Il aurait été admis à l’hôpital américain, à Paris. Ou encore qu’il a été évacué en urgence en Suisse dans la journée du mardi 27 septembre.
              Un convoi de voitures officielles, roulant tambour battant sur l’autoroute menant vers l’aéroport d’Alger, aurait été aperçu dans la soirée de ce mardi.
              Les rumeurs enflent pour devenir le sujet de discussions dans les rédactions, les chancelleries occidentales à Alger, dans les états-majors politiques et sur les réseaux sociaux, notamment Facebook et Twitter.
              Tout le monde se passe l'info
              Tout le monde se passe l’info, journalistes, diplomates, responsables politiques, gradés de l'armée... Les téléphones chauffent, mais aucune confirmation d’une possible hospitalisation du président algérien dans un hôpital parisien ou suisse.
              L’état de santé d’Abdelaziz Bouteflika reste l’un des secrets les mieux gardés dans les arcanes du pouvoir algérien.
              S’il est impossible de vérifier ces rumeurs lancinantes et alarmantes, il est en revanche aisé de constater l’absence du chef de l’Etat algérien.
              Une absence qui dure depuis 17 jours
              Une absence qui dure depuis 17 jours. Pas la moindre image de sa présence en Algérie depuis mardi 13 septembre. Ni sur le site de la présidence, ni à la télé publique, encore mois sur le site de l’agence officielle APS, habituellement à jour sur les moindres activités du président.
              Abdelaziz Bouteflika, porté à la présidence en avril 1999, aujourd’hui âgé de 74 ans, a habitué son monde à s’éclipser pendant plusieurs jours avant de réapparaitre pimpant, bonne mine, l’œil et les gestes alertes.
              Du temps où il était encore ministres des Affaires étrangères dans les années 1960 et 1970, il disparaissait pendant de longues semaines, voire de longs mois, avant de réapparaitre tout fringuant.
              Habile, roublard, rompu aux arcanes du système politique algérien, l'homme sait gérer ton timing.
              Tout de même, il y a des faits qui laissent perplexes.
              Le président Bouteflika ne s’est pas rendu à New York pour assister à l’assemblée générale annuelle de l’ONU qui s’est ouverte le 21 septembre dernier. L’Algérie y était représentée par le chef de la diplomatie, Mourad Medelci.
              Zappée l'inauguration du salon international du livre d'Alger
              Certes encore, c’est la deuxième fois consécutive que le chef de l’Etat algérien manque ce rendez-vous international –il y était en 2009-, mais cette absence est venue s’ajouter à une autre. Cette fois-ci en Algérie.
              Mercredi 21 septembre, Bouteflika ne s’est pas rendu au stade du 5 juillet pour inaugurer le salon international du livre d’Alger. Une première depuis onze ans. Depuis 2000, il se faisait un point d’honneur d’assister à cette cérémonie. Pas cette fois-ci.
              Ce mercredi, son absence a intrigué autant qu'elle a mis dans l’embarras la ministre de la Culture, Khalida Toumi, grande ordonnatrice de cet événement littéraire. Bouderie de Bouteflika ? Possible dans la mesure où le chef de l’Etat ne s’est même fait représenter par un conseiller.
              Mais les proches de la ministre expliquaient ouvertement que « le boss est malade ». « Il n’a pas fait le voyage à New York pour assister a la grande assemblée annuelle des Nations Unis », affirmaient ces proches à DNA pour tenter de justifier la défection du chef de l’Etat
              Deux absences remarquables qui alimentent les rumeurs sur l’état de santé du président algérien.
              Ce n’est guère nouveau. Depuis son hospitalisation en novembre 2005 au Val de Grâce, officiellement pour un ulcère hémorragique, la santé de Bouteflika est l’objet de toutes les supputations.
              Atteint d'un cancer
              On le dit atteint d’un cancer –un câble de la diplomatie américaine y fait explicitement référence-, on dit qu’il se rend régulièrement en Suisse, précisément à la clinique de Genolier, à Genève, pour y subir des soins. On dit encore que le président s’est fait installer un équipement ultramoderne dans la résidence d’Etat de Zéralda, sur le littoral algérois.
              C’est que presque six ans après son admission en urgence au Val de Grâce, son état de santé fait l’objet d’un intérêt particulier aussi bien des médias que des hommes politiques et des diplomates accrédités à Alger.
              Ce qui est nouveau en revanche, ce sont ses absences de plus en plus fréquentes, de plus en plus prolongées.
              Les réunions du Conseil des ministres tenues au cours de l’année 2011 se comptent sur les dix doigts de la main. Ses sorties sur le terrain sont tout aussi rares. Certes l’âge n’arrange rien, mais le président se garde de sillonner le pays comme il le faisait naguère.
              Dernier discours le 15 avril
              C’est encore plus vrai pour les discours adressés à la nation. Le dernier remonte au vendredi 15 avril.
              Hier président voyageur, bavard, omniprésent à la télévision, Bouteflika est devenu aujourd’hui un chef d’Etat reclus, effacé, aphone. Fantomatique.
              Président effacé
              Lui qui a fait de son troisième mandat - arraché au prix d’une violation de la Constitution de1995-, le mandat qui parachève son «œuvre » à la tête de l’Etat, lui donc ne parle plus à ces concitoyens, sinon à coups de messages délivrés par ses conseillers ou ses ministres.
              A l’exception de la longue agonie du président Houari Boumediene, entre septembre et décembre 1978, jamais l’Algérie n’a connu à un tel effacement de la part de son président encore en exercice.

              dna

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              • #22
                Je ne lui souhaiterais pas la mort, néanmoins je lui souhaite d'être destitué. Si l'info de vérifie, alors il le sera inchaAllah, ce sera un grand espoir pour l'Algerie son printemps naturel...

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                • #23
                  Toufik est un gars de Saint Cyr. L'OTAN était chez toi bien avant ta naissance.

                  Oui mais St-Cyr c'est pas l'OTAN et l'OtAN c'est pas St-Cyr... Lis entre les lignes !

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                  • #24
                    river, imagine avec un président on sera une vraie loco

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                    • #25
                      tolkien tu fais plus de mal à l'Algerie en faisant croire que sans boufesti c'est le néant que les radars de l'OTAN qui eux, ne sont pas nouveaux dans la région, juste plus exposés.

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                      • #26
                        river, imagine avec un président on sera une vraie loco
                        Un président plus effacé , avec moins de pouvoir et 2 mandats max !!!

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                        • #27
                          Il est très malade ces derniers jours, mais il me semble qu'il est suivi en France.
                          «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies..» Oscar Wilde

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                          • #28
                            Un président plus effacé , avec moins de pouvoir et 2 mandats max !!!
                            un gouvernant beaucoup moins médiatisé, pas de président, mais avec beaucoup plus de transparence, une réelle démocratie, pas une démocratie a l'occidentale.
                            l’Algérie serai alors représentée par un groupe de personnes qui ne décideront pas directement des positions de la nation.

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                            • #29
                              tolkien tu fais plus de mal à l'Algerie en faisant croire
                              Jamais je ne ferais plus mal que les staliniens, les fissistes, les profiteurs et les rats qui se sont succédés dans ce pays depuis quatre mille ans !

                              Je souhaite seulement que Aîcha Lrissa ne traîne pas notre beau pays dans le sillage et la malédiction de sa famille mehboula !

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                              • #30
                                C'est pourtant bien ton sauveur de bouteflika qui a accueilli ce problème chez nous, et c'est l'Algerie qui l'endosse, pas lui, occupé avec sa maladie.

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