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Abdelaziz Belkhadem, nouveau chef du gouvernement

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  • #31
    Bonjour

    la nomination de Belkhadem fait couler beaucoup d'ancre et je vois que certains n'hesite pas a se laisser aller et a ecrire un peu n'importe quoi. Belkhadem comme Ouyahia sont des serviteur de l'etat. La nomination de Belkhadem au poste de premier ministre est une bonne chose pour l'Algerie et correspond a la mentalité de la majorité de la population pour la construction d'une democratie musulmane. Cette nomination s'inscrit dans le mouvement profond du changement de la societé algerienne et si certains ideologue du federalisme voient ca comme une mauvaise chose, que cella ne tienne, la majotité de la population est la pour dire qu'il faut continuer le travail pour construire l'Algerie la democratie et par consequent l'Algerie une et indivisible.

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    • #32
      la nomination de Belkhadem fait couler beaucoup d'ancre et je vois que certains n'hesite pas a se laisser aller et a ecrire un peu n'importe quoi.

      Chacun son avis. personne ne doit s'eriger en donneur de leçon.

      Belkhadem comme Ouyahia sont des serviteur de l'etat.

      C'est vrai. Ouyahia a servi l'algerie, Belkhadem .... L'Iran. C'est quand même pas la même chose.

      La nomination de Belkhadem au poste de premier ministre est une bonne chose pour l'Algerie et correspond a la mentalité de la majorité de la population pour la construction d'une democratie musulmane.

      Democratie musulmane : Peut tu definir ce que c'est ? Je t'en serai reconnaissant. Quant à la mentalité, c'est avec plaisir que je me caserai avec la minorité.

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      • #33
        Qui a parlé de féderalisme ou qui est contre l'unité et l'indivisibilité de l'algerie, relis mes interventions et tu verras que je suis contre la premiere et ardent defenseur de la deuxieme par contre lorsque j'entend des sottise genre democratie musulmane et majorité de la population , permets moi d'en rire car ce sont des mensonges qui me rapellent les "Ba3" des moutons qu'on mène á l'abattoir des idées.

        Ca ne me plait plus que boutef reste president ou que belkhadem soit chef du gouvernement car ca va á l'encontre de mes aspirations democratiques,je suis libre de penser ce que je veux et de le dire haut et fort car je suis algeriens et mon avis doit etre pris en consideration, cependant je ne me contenterais pas de "blablater" ou de me résigner,je compte bien faire valoir mes droits et faire aboutir mes revendication et si je n'y arrive pas ,d'autres plus radicaux viendront reprendre ma lutte.

        Je ne me sens plus solidaire de ce president ni fais confiance á ce gouvernement de belkhadem, mes raisons sont nombreuses et je tiens á les exprimer.

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        • #34
          Abdelaziz Belkhadem poulain de Boutéflika et Ahmed Ouyahia poulain du DRS, faites vos jeux.
          ----------------------------------------------------------------------

          En Algérie, le changement de Premier ministre témoigne d'un nouveau rapport de forces au sommet du pouvoir

          ANALYSE • Abdelaziz Bouteflika a remplacé Ahmed Ouyahia, dont le sort semblait scellé, par Abdelaziz Belkhadem, patron du FLN • Une signe qu'à l'heure où les rumeurs courent sur sa santé, le chef de l'Etat a choisi son successeur •

          Le crescendo de la curée politico-médiatique contre le Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia, en fonction depuis 2003, ne laissait guère de doutes sur son sort. Son absence lors de l'accueil à Alger, les 16 et 22 mai, du président vénézuélien Hugo Chavez et du Premier ministre turc Tayyib Erdogan confirmait que ses jours étaient comptés. Une langue de bois exemplaire a mis fin mercredi soir à ce faux suspens et sauvé les apparences d'un régime qui les place au-dessus de tout. Ahmed Ouyahia a «présenté sa démission au président de la République qui l'a acceptée et lui a rendu hommage » et l'a remercié pour «le soutien total (qu'il lui a) apporté durant trois ans». Dans la foulée, Abdelaziz Bouteflika a désigné le nouveau chef du gouvernement : Abdelaziz Belkhadem, ministre d'Etat et actuel patron du FLN, l'ancien parti unique. Coïncidence : cet islamo-conservateur, très proche de Bouteflika, est aussi l'homme qui a mené toute l'offensive contre Ahmed Ouyahia, soutenu en cela par les islamistes « modérés » du MSP.

          Officiellement, c'est un projet de révision de la Constitution qui est à l'origine du conflit entre Ahmed Ouyahia et son désormais successeur. Abdelaziz Belkhadem a en effet proposé de la modifier pour permettre un troisième mandat pour le président et transformer le quinquennat actuel en ... septennat. Une idée qui vise autant à satisfaire la volonté de pouvoir d'Abdelaziz Bouteflika qu'à signifier qu'il n'est pas aussi malade qu'on le dit. Une polémique sur les augmentations de salaires de la Fonction publique réclamées par Abdelaziz Belkhadem a scellé le sort d'Ahmed Ouyahia. Le tout sans que le chef de l'Etat ne souffle mot de ce harcèlement contre son Premier ministre de la part de l'un de ses fidèles et deux partis de la coalition présidentielle. De là à penser que Abdelaziz Bouteflika voulait se débarrasser de son Premier ministre, il n'y a qu'un pas difficile à ne pas franchir. Surtout quand le prétexte principal invoqué contre Ahmed Ouyahia, lui aussi président d'un parti, disparaît avec son remplacement par le leader du FLN lui même : cette formation et les islamistes du MSP affirmaient en effet que l'ex-chef de gouvernement ne pouvait assurer la «neutralité» des élections législatives de 2007 !

          En réalité, le changement annoncé mercredi soir n'obéit que de loin à des considérations idéologiques. Il exprime en revanche un nouveau rapport de forces au sommet du pouvoir algérien. Une situation que résume le «Quotidien d'Oran». «On aurait tort d'y voir un islamo-conservateur face au moderne, un réconciliateur face à un éradicateur », écrit ce journal dans une allusion à la personnalité du démissionné qui fut un ardent partisan de la politique «éradicatrice» menée contre les islamistes au cours de la guerre civile de la décennie 90.

          Tout se passe en effet comme si Abdelaziz Bouteflika se sentait aujourd'hui suffisamment fort pour imposer sa vision et ses hommes. Cela revient pour lui à tenter aujourd'hui de s'affranchir, ou au minimum de prendre ses distances, d'une tutelle qui reste pesante, même si elle lui a permis d'imposer en 1999 son élection pour un deuxième mandat aux « décideurs » militaires : celle des services de renseignements et de leur chef, le général Touwfik Mediène. Or, Ahmed Ouyahia est un pur produit de la nouvelle génération des technocrates formés par le DRS, les services secrets, que les Algériens appellent toujours la Sécurité Militaire. « A lui seul, il symbolise le système dans son insondable façon de fonctionner et ses jeux d'ombre (...) Il incarne incontestablement cet homme à tout faire du régime. Et tire une immense fierté de “servir son pays”, quitte à exécuter le sale boulot», résumait jeudi la presse algérienne. Dans ce contexte, la maladie d'Abdelaziz Bouteflika ne pouvait que précipiter les manœuvres de coulisses en vue de son éventuelle succession. Or le poulain du chef de l'Etat était incontestablement Abdelaziz Belkhadem, tandis que le DRS prépare depuis toujours Ahmed Ouyahia.

          Le changement de Premier ministre à Alger pourrait donc bien constituer une relance des luttes de clans au sommet de l'Etat. Au moment où les caisses du pays sont pleines, mais où les émeutes sociales, aussi brèves que violentes, se multiplient sur tout le territoire.

          Par José GARÇON
          LIBERATION 25 mai 2006
          Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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          • #35
            Méme s'il a été formé par la DRS , Ouyahia reste le mieux formé et le plus compétent entre les deux, nous allons voir dans quelques mois le resultat préléminaire de la politique de belkhadem, tous les opportunistes qui se l'ont mis en sourdine pendant trois ans vont renaitre de leur cendres, la mobilisation citoyenne qu'on commencait á ressentir en algérie va progressivement se dissoudre comme un cachet d'Aspirine dans un verre d'eau, meme les forces de sécurité vont étre dégoutés car le clientilisme va prendre des proportions alarmante vu que les élections sont proches, des remaniements aux niveau des walis vont s'operer et suivront d'autres nominations adequates sans oublier les dizaines de prisonniers pour détournement et mauvaise gestion vont enfin etre liberes et réhabilités pour soutenir l'effort du fln et de ses sattelites ( que je nommerais pas pour l'instant) á faire de boutef le guide suprème de la "revolution" á lìnstar de khomeiny en Iran.Boutef á besoin de quelqu'un pour lui fabriquer une nouvelle virginité religieuse qui l'absoudrait de son passé révolutionnaire du temps de boumediene.

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            • #36
              algérie cherche bonne gouvernance,s'adresser à...?????????????
              c'est malheureux,comme même,avec toute cette manne de pétrole,
              on a tellement d'argent,qu'on ne sait quoi en faire!!!
              Belkhadem est financier,il sait compter,mais pas dépenser.
              les deniers de l'Etat,il faut les sauvegarder et en rationnaliser leurs
              affectations,c'est une mission impossible,à moins que...???

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              • #37
                l'article de Garçon dit beaucoup de contre vérité comme toujours. Car qu'on le veuille ou non, Belkhadem autant que Ouyahia est un homme du système. belkhadem est un aparatchik, il a toujours fait partie de la nomanklatura. Belkhadem fut président de l'APN sous Chadli grace à Belkheir. Il doit une bonne partie de sa carrière politique à Si Belkheir, et si Toufik n'a aucun antagonisme avec Belkhadem . Toufik reste l'un dès plus grand soutien de Bouteflika, l'antagonisme de la présidence avec les le DRS est dépassé, étant donné que Bouteflika doit en grande partie sa réelection en 2004 . De plus la nomination de belkhadem comme premier ministre est normale étant donnée que le FLN a la majorité absolue au parlement, ce qui est le cas dans toute démocratie. Rien d'anormale. De plus le gouvèrnement a été reconduit sans changement.
                Paradoxalement la carrière de Ouyahia pourrait ètre relancer, car s'il ya révision de la constitution avec la création de la fonction de vice-président, il ya de forte chance pour que Ouyahia y soit nommer. Car il faut voir à long tèrme. Le temps nous le dira, mais j'ai la conviction que la carrière de Ouyahia n'est pas terminé. Car qui aurait dit que Bouteflika serait président après une traversé du désert de 20 ans, qui aurait dit que Belkhadem serait premier ministre aprés 10 ans de traversé du desert. Ouyahia va connaitre le même scénario mais avec une traversé du desert moins long que prévu. Le régime a le secret de réssussité des hommes politiques, Ouyahia ne fera pas exeption
                Dernière modification par éliamine, 16 août 2013, 22h40.

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