Tweet
Après une période de reprise laborieuse suite au marathon des examens qui ont duré plus d’un mois ( rattrapage recalés de juin suivis par les examens de rattrapages de septembre), les enseignants de l’institut vétérinaire de tiaret vivent le calvaire. En dépit des graves difficultés rencontrées par les enseignants durant les séances d’examens (surveillances), vu la détermination d’un grand nombre d’étudiants à avoir l’année, allant jusqu’à menacer et insulter leurs profs pourvu qu’ils s’assurent le passage au palier supérieure, s’ajoute à cela le nombre important de copies à corriger dans des délais records.
Le problème remonte à l’année passée lorsque le directeur par intérim de l’institut à promis aux étudiants des promotions 4ème et 5ème années un passage collectif assuré contre la levée du blocage de l’institut et la reprise des cours. Les étudiants ayant honorés leurs engagements réclament, aujourd’hui, au directeur de tenir parole en respectant le marché conclu l’année passée.
Le directeur a effectivement demandé aux enseignants des promotions concernées de “ lâcher la main “ (expression utilisée pour demander un dopage des notes). Mais malgré l’aide apportée par certains enseignants au directeur, beaucoup d’étudiants n’ont pas encore trouvés leurs comptes.
Le directeur ayant échoué dans sa besogne, face à des étudiants déterminés et furieux, essaye de getter la responsabilité sur les enseignants récalcitrants. Ces derniers subissent provocations et insultes de tout genre de la part de ces étudiants, qui n’ont pas hésité à écrire des propos vulgaires et abaissants sur l’affichage des enseignants et enseignantes concernés.
En plus de la gestion chaotique de cet établissement “ universitaire “, l’actuel directeur et certains de ses proches ont semés troubles et désaccords entre enseignants, et les relations avec les étudiants sont devenus très tendues. Dans une telle situation on peut imaginer le pire et un accident grave,comme celui qui a couté la vie à un enseignant universitaire poignardé par son étudiant pour une affaire de notes, risque de se reproduire à tout moment.
Enfin, un appel est lancé aux parents d’étudiants pour qu’ils s’intéressent de prés à leurs progénitures en les suivants durant toute l’année universitaire, non seulement pendant la période des rattrapages. Par ailleurs, monsieur le recteur de l’université de tiaret est appelé a régler les problèmes de cet institut dont il a la responsabilité avant que l’irréparable n’arrive, et tout particulièrement lors de cette rentrée difficile où l’établissement accueillera plus de 700 nouveaux étudiants
Le problème remonte à l’année passée lorsque le directeur par intérim de l’institut à promis aux étudiants des promotions 4ème et 5ème années un passage collectif assuré contre la levée du blocage de l’institut et la reprise des cours. Les étudiants ayant honorés leurs engagements réclament, aujourd’hui, au directeur de tenir parole en respectant le marché conclu l’année passée.
Le directeur a effectivement demandé aux enseignants des promotions concernées de “ lâcher la main “ (expression utilisée pour demander un dopage des notes). Mais malgré l’aide apportée par certains enseignants au directeur, beaucoup d’étudiants n’ont pas encore trouvés leurs comptes.
Le directeur ayant échoué dans sa besogne, face à des étudiants déterminés et furieux, essaye de getter la responsabilité sur les enseignants récalcitrants. Ces derniers subissent provocations et insultes de tout genre de la part de ces étudiants, qui n’ont pas hésité à écrire des propos vulgaires et abaissants sur l’affichage des enseignants et enseignantes concernés.
En plus de la gestion chaotique de cet établissement “ universitaire “, l’actuel directeur et certains de ses proches ont semés troubles et désaccords entre enseignants, et les relations avec les étudiants sont devenus très tendues. Dans une telle situation on peut imaginer le pire et un accident grave,comme celui qui a couté la vie à un enseignant universitaire poignardé par son étudiant pour une affaire de notes, risque de se reproduire à tout moment.
Enfin, un appel est lancé aux parents d’étudiants pour qu’ils s’intéressent de prés à leurs progénitures en les suivants durant toute l’année universitaire, non seulement pendant la période des rattrapages. Par ailleurs, monsieur le recteur de l’université de tiaret est appelé a régler les problèmes de cet institut dont il a la responsabilité avant que l’irréparable n’arrive, et tout particulièrement lors de cette rentrée difficile où l’établissement accueillera plus de 700 nouveaux étudiants
Commentaire