Les deux anciens députés (mandature 1997‑2002), Dalila Taleb et Ikhlef Bouaichi, les deux ex‑premiers secrétaires, Ahmed Djeddai et Djoudi Mammeri et l’ancien membre du Conseil national, Ali Lemdani, reviennent au sein des instances dirigeantes du FFS. Ces anciens cadres ont été désignés au sein d’un cabinet conseil auprès du premier secrétaire, Ali Laskri, a annoncé le parti, vendredi 9 décembre. Samir Bouakouir et Madjid Rouar, anciens secrétaires nationaux sont chargés, pour leur part, de représenter le parti à l’étranger.
Une nouvelle équipe, à demi remaniée, constituant le secrétariat national, a également été désignée. Ancien premier secrétaire du parti, Karim Tabbou ne figure dans aucune structure. Toutes ces nominations ont été annoncées ce vendredi par le premier secrétaire Ali Laskri au cours d’un conseil national extraordinaire du parti tenu à Alger.
Dans son intervention, Ali Laskri a expliqué que sa « nomination intervient à un moment où le FFS aborde une étape décisive tant sur le plan interne que sur le plan de la vie politique nationale ». Dans son appréciation de la situation politique du pays, il a relevé que « huit mois après l’annonce des "réformes" par le chef de l’État, on chercherait vainement une quelconque adhésion ou un quelconque intérêt des Algériens à ce processus ». « Plus surprenant apparaît le satisfecit décerné par les puissances étrangères, notamment la France et les États‑Unis d’Amérique, aux autorités algériennes », a‑t‑il souligné.
Pour le FFS, le pouvoir a choisi le « statu quo ». « Tout indique que pour le moment, l’air du temps est au statu quo, que la crise dans le pays gagne en complexité et en acuité. Je ne peux qu’exprimer l’espoir que des décisions seront prises dans le très court terme pour redonner ses chances à un processus de transition politique et pacifique vers la démocratie ».
Le FFS, qui ne siège pas dans l’actuelle APN, pourrait pencher pour la participation aux prochaines législatives. « Nous sommes conscients que les échéances électorales à venir, législatives et locales, surviennent dans un contexte international, régional et national particulier. Les interactions entre ces différents contextes auront un impact certain sur notre pays et que nous ne mesurons pas encore son ampleur et dans toutes ses dimensions. Mais il est certain que ces échéances seront décisives pour les années à venir. C’est pourquoi nous avons le devoir d’initier un débat libre, franc, serein et responsable pour déterminer nos choix politiques et notre stratégie », a déclaré Laskri qui a appelé au « rassemblement des énergies ».
tsa
Une nouvelle équipe, à demi remaniée, constituant le secrétariat national, a également été désignée. Ancien premier secrétaire du parti, Karim Tabbou ne figure dans aucune structure. Toutes ces nominations ont été annoncées ce vendredi par le premier secrétaire Ali Laskri au cours d’un conseil national extraordinaire du parti tenu à Alger.
Dans son intervention, Ali Laskri a expliqué que sa « nomination intervient à un moment où le FFS aborde une étape décisive tant sur le plan interne que sur le plan de la vie politique nationale ». Dans son appréciation de la situation politique du pays, il a relevé que « huit mois après l’annonce des "réformes" par le chef de l’État, on chercherait vainement une quelconque adhésion ou un quelconque intérêt des Algériens à ce processus ». « Plus surprenant apparaît le satisfecit décerné par les puissances étrangères, notamment la France et les États‑Unis d’Amérique, aux autorités algériennes », a‑t‑il souligné.
Pour le FFS, le pouvoir a choisi le « statu quo ». « Tout indique que pour le moment, l’air du temps est au statu quo, que la crise dans le pays gagne en complexité et en acuité. Je ne peux qu’exprimer l’espoir que des décisions seront prises dans le très court terme pour redonner ses chances à un processus de transition politique et pacifique vers la démocratie ».
Le FFS, qui ne siège pas dans l’actuelle APN, pourrait pencher pour la participation aux prochaines législatives. « Nous sommes conscients que les échéances électorales à venir, législatives et locales, surviennent dans un contexte international, régional et national particulier. Les interactions entre ces différents contextes auront un impact certain sur notre pays et que nous ne mesurons pas encore son ampleur et dans toutes ses dimensions. Mais il est certain que ces échéances seront décisives pour les années à venir. C’est pourquoi nous avons le devoir d’initier un débat libre, franc, serein et responsable pour déterminer nos choix politiques et notre stratégie », a déclaré Laskri qui a appelé au « rassemblement des énergies ».
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