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L'Algérie au hit-parade des logements

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  • #61
    Entièrement d'accord ! Les structures hospitalières étant là, c'est au ministère d'encourager les praticiens de la santé de répondre aux attentes des habitants du Sud
    Il faut former les locaux, se sont eux qui répondront le mieux aux attentes des populations du Sud.

    Le problème se pose partout dans le monde, Les praticiens désertent les régions ou les conditions de vie et de travail sont difficiles.
    Mr NOUBAT

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    • #62
      que ce soit au sud ou au nord, l'éducation devient de plus en plus catastrophique en algérie, à tel point que meme les anciens enseignants n'arrivent plus à suivre les programmes à la con qui changent au gré des nefhat de certains, pour le logement , on ne peut pas dire que c mieux aujourd'hui, c juste du populisme, avec un salaire de 100 000 DA par moi ( et c'est beaucoup par rapport à la moyenne algérienne), ya des gens qui ne peuvent se payer un logement, salaire trop elevé pour bénéficier du lsp, et pas assez pour se loger au promotionnel, pour un appart de 800 millions! avec cet argent je peux vivre sans travailler , en vivnat au patelain! mais est ce un choix! trop de spéculation!

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      • #63
        on ne peut pas dire que c mieux aujourd'hui, c juste du populisme, avec un salaire de 100 000 DA par moi ( et c'est beaucoup par rapport à la moyenne algérienne), ya des gens qui ne peuvent se payer un logement, salaire trop elevé pour bénéficier du lsp, et pas assez pour se loger au promotionnel, pour un appart de 800 millions!
        Essayez, les prêts bonifiés à 1% (ou 3% - entre autres formules - valables aussi pour les algériens résidents à l'étranger ) !!!
        Dernière modification par jawzia, 27 décembre 2011, 16h20.

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        • #64
          jawzia, t'as vu les conditions de ces prets? c'est vrai que ça peut attirer, mais il faut une garantie, et hypotéquer son propre logement n'est pas une sollution, et vivre avec une dette énorme n'est pas facile non plus! 800 millions! c vraiment trop, surtt si on doit l'acheter dans les environs d'alger, il devra etre miniscule! enfin si vous avez des propositions ya tjrs la mp!

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          • #65
            mais il faut une garantie, et hypotéquer son propre logement n'est pas une sollution
            C'est l'appartement que tu achètes qui est hypothéqué, chose toute a fait normal vu qu'il ne t'appartiendrai que à la fin de ton paiement.

            Avec un salaire de 100 000da l'achat d'un logement avec un taux bonifié est une opération dont tu es sûr de gagner (exception si le marché de l'immobilier s'effondre)
            شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

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            • #66
              Essayez, les prêts bonifiés à 1% (ou 3% - entre autres formules - valables aussi pour les algériens résidents à l'étranger ) !!!
              ou peut on s'informer?
              Mr NOUBAT

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              • #67
                Les conditions sont des plus minimalistes :
                - Sur le revenu: inférieur à 6 fois le Smig (pour le 1%) et compris entre 6 et 12 fois le Smig (pour le 3%).

                - La seule garantie (en plus de revenus stables) est que le logement que vous allez acquérir (auprès d'un promoteur privé ou public) sera hypothéqué jusqu'au paiement des échéances. Rien de plus normal !
                Dernière modification par jawzia, 27 décembre 2011, 16h33.

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                • #68
                  Merci Jawzia
                  Mr NOUBAT

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                  • #69
                    ou peut on s'informer?
                    Ce que pratique la CNEP-Banque pour les algériens de l'étranger :

                    http://www.cnepbanque.dz/fr/index_fr...idant_etranger

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                    • #70
                      j'ai ajouté la page aux Favoris.
                      Mr NOUBAT

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                      • #71
                        Mon ex-épouse (divorcée) habite depuis 11 années un logement social attribué à un gars qui le lui loue!

                        Allez comprendre!

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                        • #72
                          pourquoi parler de taux de natalité en algérie et de l'éducation des filles, vous vivez dans quel siècle!!

                          Il n'y a pas de probléme d'accés à l'école en algérie, ni pour les filles, ni pour les garçons. Le probléme c'est le contenu de cette école.
                          Mais tu devrais être en age de savoir que tout ce qui est gratuit ne vaut pas grand chose au fond.

                          le taux de natalité en algérie est parmi les plus bas au monde

                          Le taux de natalité doit être appréhendé relativement au taux de croissance et à la création des richesses dans le pays. Le taux de chomage officieux est tellement haut que personne au monde ne le prendra au sérieux.
                          La majorité des algériens n'ont même pas un accés régulier à l'eau potable. La quasi totalité des produits alimentaires sont importés. Sans le soutien des prix (subventions) aux produits de base, la majorité des algériens ne pourront pas se nourrir grace à leurs revenus. L'agriculture demeure encore archaique et vivriére et la reliéve est absente. L'islamisme a déprécié tout travail productif et valorisé le trabendo et la spéculation par son célébre slogan "ettidjara hallal".

                          le nombre de filles dans nos universités est plus élevé que celui des garçons

                          La quantité ne compte pas. Les universités algériennes sont des zaouyate ou fleurissent l'ignorance, la superstition et l'intégrisme islamique. Les diplomes délivrés par l'université algérienne correspond à un permis de chauffeur de taxi en Occident. Les enseignants algériens sont en majorité incultes, conservateurs, moralistes, frileux, peureux du monde moderne et incapbale de prendre la moindre initiative. De vrais ploucs sans aucun intéret pour quoi que ce soit. La seule chose qui les interesse est l'augmentation de leur salaire en échange de leur inculture et de leur fainéantise. Il faudrait renvoyer tout ce beau monde et en faire des chauffeurs de taxi et de bus en Algérie même.
                          Les étudiants finissant le savent bien et ne réfléchissent même pas en arrivant en Occident: ils se procurent échangent leur diplome alégien contre une licence de taxi. (je n'ai rien contre ce métier).

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                          • #73
                            Quelle lumière, ce portier !





                            .

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                            • #74
                              Madjid, bonsoir

                              Un regard dur et courageux sur la réalité de l'enseignement en Algérie. Même si cette peinture est excessive, on soupçonne que tout ne peut être faux.
                              Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                              L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants. Thomas Mann

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                              • #75
                                adhrhar, bonsoir,

                                J'ai enseigné dans une université algérienne entre 1989 et 1992.
                                - 90% de mes collégues étaient des militants soit du FIS, soit du HAMAS.
                                - 90% des étudiants étaient islamistes ou sympatisants islamistes.
                                - L'administration universitaire autorisait des conférences politiques dans le campus. Je me souviens d'un professeur de biologie qui avait donné une conférence intitulée : "limadha harrama allahou bâadh el achia' " (pourquoi Allah a interdit certaines choses). L'amphithéatre était bondé à craquer.
                                - Aucun collégue dans le besoin n'a pu avoir un logement pendant la période où j'enseignais.
                                - Tous les collégues ayant acquis un logement étaient de familles riches (commerçants, industriels, haut fonctionnaires, pistonnés)
                                - J'étais encore célibataire et j'avais toujours sur moi 3, parfois 4 clés d'appartements de mes collégues. Appartements vides, en attente d'un désistement de l'OPGI pour être revendus à d'autres personnes riches, prêtes à payer cash. Je n'avais donc pas de probléme de logement.
                                - Une de mes étudiantes est venue un jour me demander si je pouvais faire quelque chose car un de mes collégues la harcelait (harcellement sexuel, bien sûr). L'étudiante était en hidjab.
                                - Certains étudiants étaient carrément analphabétes, incapables de lire en français.
                                - Corriger un mémoire de fin d'étude revenait à le réécrire.
                                - Les diplomes de magister et de doctorat étaient distribués comme des petits pains par des jurys maison.
                                - Les enseignants les mieux introduits auprés de l'administration étaient inscrits à des projets de "recherche", constituant des petits groupes autour de professeurs-docteurs bidons. Ils recevaient une prime de recherche et avec leur budget de recherche, ils achetaient des ordinateurs qu'ils emmenaient chez eux définitivement (prix: entre 8 et 15 millions de centimes à l'époque).
                                l'admnistration ne demandait aucun compte, ni aucun état d'avancement de ces fameuses "recherches".
                                - Lors des réunions, notre chef de département ouvrait la séance en lisant la fatiha, nous obligeant à rester debouts, les mains jointes comme pour recevoir une offrande tombant du ciel. Un collégue m'a menacé parce que j'ai arrêté de jouer le jeu.
                                - J'ai été invité chez des collégues et j'ai trouvé dans leurs maisons du mobilier et de l'électroménager du COUS (matériel réservé aux coopérants techniques).
                                - La bibliothéque universitaire perdait des dizaines d'ouvrages chaque mois. J'en ai retrouvé certains dans des librairies privées, le cachet de l'université à peine effacé.
                                etc.....

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