L'Algérie jouit d'une aisance financière inégalée (deuxième réserve après celle de l'Arabie Saoudite au niveau arabe, 13 ème au niveau mondial, sans mentionner ses importantes réserves en or...), aussi ces réserves de changes étant appelées à s’accroître à l'avenir (vu les ressources exploitées et non exploitées du pays, et vu le prix des hydrocarbures et d'autres matières premières (aurifères, métalliques, propres à l'énergie nucléaires (uranium)...), la question qui se pose n'est plus :"le pays dispose-t-il des ressources nécessaires à l'élaboration de ses projets mais "comment gérer une telle manne intelligemment, sans gaspillage, efficacement ?". Que préconisez-vous ? Fond souverain d'investissement, placement? Dans quel secteur (transfert de technologie...) ?
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Selon vous, que faire des 200 milliards de réserves de changes?
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qlq part sur ce même forum une personne est a la recherche d'un banal médicament pour sauver la vie a un ami
voila un tant soi peu une piste entre autres pour les gardiens de la caverne d'Ali Baba.
tandisque d'autre prennent un jet privé direct la suisse, pour un polissage des dents a l'approche de la saison des méchouisDernière modification par DocRemady, 07 janvier 2012, 17h00.أصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء
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Les réserves de changes ont comme nature propres qu'elles ont besoin d'être liquéfiables sans trop de soucis, et rentables avec un profil de risque mesuré. Ça ne laisse pas beaucoup de marge à l'utilisation des réserves de changes, qui je le rappelle, permet de garantir la conversion du dinars, dans les différentes opérations de transfert de devises, aujourd'hui admise par la réglementation. La contrepartie dinars de ces réserves sont comptabilisés au sein du budget ou du FRR.
L’investissent dans des actifs de sociétés, par nature étrangers, car en devise, est d'abord risqué et ne permet la liquéfaction garantissant des niveaux de rentabilité suffisantes, au vu de la volatilité importante du marché des actions. L’investissement par ailleurs dans les précieux, valeur refuge, peut être une bonne solution de diversification du risque, mais subis aussi une volatilité importante.
Une gestion dynamique des ces ressources est d'autre part politiquement suicidaire, si des pertes de marché venaient à s’avérer.Othmane BENZAGHOU
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Vu que l'Algerie est un chantier, je dirais mener un vaste plan de relance piloté par un super chef de projet pragmatique, un plan destiné a moderniser les infrastructure du pays et les developper. Entamer un vaste plan de lutte contre le chomage, par la modernisation des administration et la mise en place d'un dispositif facilitant l'initiative privée, accorder des subventions via des organismes locaux, l'objectif serait de doter le pays d'un vaste tissue entrepreneunarial. Inciter les jeunes à faire preuve de creativite afin de creer de la valeur ajoutée, qu'ils ne doivent plus compter sur l'etat pour les faire vivre mais qu'il doivent voler de leur ailes, grace a des formations, des stages, des subventions. Insulfler donc le gout d'entreprise afin de devenir competitif et rafler des marchés et virer les chintoks.
Booster l'agriculture, par l'accord de concession a des petits producteurs, tout en les dotant d'un soutien public via la recherche agro, ou des pret a taux zero.
Investir massivement mais intelligement dans l'enseignement du primaire au superieur, enrayer les dysfonctionnement structurel apres une etude approfondie de groupe de recherche. Investissement sur 20 ans, afin de trouver l'optimum generant des ressources humaines operationnelles et formée en Algerie et non plus à l'etranger tout en veillant a proposer des debouchés.
Industrialiser le pays, via des incitations publiques (subvention, reduction d'impots, facilités administratives, levée des barrieres) pour attirer d'avantage d'investissement etranger, qui permettront au bout de quelques années une accumulation de capital humain, technologique etc... Le but est de faire emerger un savoir faire algerien dans les differentes filieres investie. Consolider et developper les debouché inherents aux hydrocarbures (rafinage, pharma, institut du petrole, etc....).
Investir dans le tourisme, via des acteur privés nationaux, mais egalement via des acteurs etrangers qui vont contribuer a faire connaitre l'Algerie et lui donner un rayonnement mondial, devenir incontournable, via l'organisation d'evenements majeurs, maitriser les plan media et les appliquer. Investir egalement dans la culture, faire connaitre l'artisanat algerien, l'art culinaire, bref une ouverture sur le monde qui enrichira tout le monde et pas forcement en dinar tout de suite.
Sur le plan exterieur, mener une politique offensive d'ouverture sur le monde economique, via la prise de participation dans des firmes multinationales à l'image du Qatar qui avec une poignée de milliard a su se construire une image de marque non negligeable, bref faut faire du pragmatique denué de tout sentiment ou emotion.
Je pense qu'avec ca, vous devriez gagner quelques milliards de plus sur le PIB dans les 10 ans."Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary
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puisse nos dirigeant te lire ,focus!! mais deja sa
un vaste plan de relance piloté par un super chef de projet pragmatiqueSouviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras
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un vaste plan de relance piloté par un super chef de projet pragmatique"Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary
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mais j'ai jamais dis impossible ,tu veut m’enlever l'espoir que sa le soit, sa jamais!!!Souviens toi le jour où tu es né tout le monde riait mais toi, tu pleurais, la vie est éphémère
alors œuvre de telle façon… à ce qu’au jour ou tu mourras, tout le monde pleurera… mais toi… tu riras
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