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Les bonnes affaires de la famille Rahmani

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  • #16
    et voilà on se neutralise sur de futiles questions régionalistes ...pendant que les gros bonnets toutes régions confondues font leurs p'tites affaires au sommet ...

    un voleur est un voleur , quelque soit sa wilaya d'origine ...
    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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    • #17
      Les bonnes affaires de la famille Rahmani

      C'était le moment, ça fait quelques mois qu'on a pa lu un article sur ce bédouin de Djelfa ...

      Quoi ? Il a une maison à Alger centre ? il ne devrait pas ...une tente lui suffirait dans le desert !

      Encore !, si on voit les usines, les routes, les stades, les hôtels, les hopitaux,... à Ain Oussera, on comprendrait très bien les bonnes affaires de sa famille les Ouled Rahmane (habitants de Ain Oussera) !

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      • #18
        «Issad Rebrab» de Taïeb Hafsi : Un itinéraire en guise d’exemple de réussite

        Un regard vif, sincère et enthousiaste à l’égard de l’économie algérienne dans le secteur privé vient de voir le jour sous la forme d’une épaisse monographie qui lève le voile pour une fois sur le management public et l’esprit d’entreprenariat en Algérie à travers l’apport et la réussite exceptionnelle d’un homme d’affaire perspicace et toujours optimiste, ainsi que le perçoit ce chercheur pointilleux qu’est Taïeb Hafsi, spécialiste des questions de stratégies économiques en Afrique du Nord.

        Ce portrait du patron de CEVITAL, qui garde cette faculté rare de demeurer intègre, discipliné et rationnel, grimpe toujours plus haut et sait fédérer son personnel autour d’une organisation cartésienne tout en restant respectueuse des valeurs morales d’une entreprise, est ainsi brossé avec force détails avec une mise en contexte qui fait la rétrospective et le bilan de quatre décennies de management public décentralisé. L’auteur fait un rappel historique dans lequel il retrace le cheminement chaotique de l’économie algérienne qui reste, selon lui, toujours tributaire des ressources pétrolières, résultat d’un héritage du management socialiste et des idéologies des gouvernants successifs, souvent en contradiction les uns avec les autres. Taïeb Hafsi analyse dans ce volumineux ouvrage les effets négatifs des politiques suivies qui ont engendré chez les citoyens un manque de confiance et une démobilisation patente, aggravée par le désordre bureaucratique qui annihile chez le travailleur le labeur créatif. Or la renaissance de l’économie orientée vers la compétitivité internationale ne peut venir que de l’action des individus et de la nécessité pour les gouvernants actuels d’encourager le comportement entrepreneurial, source d’innovation, de création de valeur économique ou sociale Le livre, structuré en quatre grandes parties, évoque la naissance d’un entrepreneur dans un milieu hostile, la grande aventure industrielle et la naissance d’une entreprise de classe mondiale, puis s’attache à rendre compte, à travers une rencontre intime, d’autres données, comme le rapport du personnage à la nation, au village, à la famille et enfin à l’entreprise. Le dernier chapitre se penche sur le regard des autres et la vie d’un homme à l’aura exceptionnelle : «Ce livre décrit l’histoire d’un entrepreneur que je crois être hors du commun. Je vais vous décrire sa trajectoire aussi scrupuleusement que j’ai pu la comprendre et la reconstruire, et je vous laisse juge. Pour réaliser cet ouvrage, j’ai noté d’abord les descriptions que d’autres faisaient sur Issad Rebrab. J’ai noté les reproches et les insinuations de ceux qui ne l’aimaient pas. Autant de thèmes sur lesquels j’ai voulu enquêter», écrit l’auteur en page 34.
        La personnalité d’Issad Rebrab, controversée chez certains, est à l’image d’une réussite spectaculaire, à l’instar des entrepreneurs américains qui croient en leurs atouts et en ceux de leur nation en gardant toujours à l’esprit le client et la concurrence : «Ce livre - écrit l’auteur en p23 - est aussi destiné au monde occidental développé, les Issad Rebrab des pays émergents sont en train de conquérir le monde. Ils battent partout les anciennes entreprises dominantes. Il est clair que la curiosité du monde à propos de ces nouveaux dirigeants économiques est très grande. Surtout, le monde ne comprend pas pourquoi ces dirigeants réussissent dans des environnements institutionnellement si turbulents. Donc, ce travail qui lève le voile sur ce genre de succès est aussi une contribution à la connaissance universelle». L’auteur qui met en avant la personnalité - avec une certaine estime pour l’homme - d’Issad Rebrab n’oublie pas de mettre en exergue la sobriété et la modestie du personnage «qui ne considère aucune citadelle comme imprenable», et reste intimement convaincu que «ce sont ces qualités simples qui font le succès des grands entrepreneurs».
        Lynda Graba
        el moudjahid
        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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        • #19
          merci solace pour l'article, il sera bien que djamal le lise ,
          "Win yeččan tayazit' n Iflissen, iheggi-d tin-is"

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          • #20
            @djamal 2008
            Il a bâti son complexe industriel comme ça par magique tout d'un coup du jour qu lendemain il devient riche.
            récapitulatif: il a commencé a batir sa fortune depuis 1968 avec l'ouverture d'un cabinet d'expert comptable, ensuite Il crée Socomeg (construction métallique), puis Profilor en 1975. et n'ouvre Cevital qu'en 1998.
            Malgré qu'il y a surement de la coruption chez lui, ce n'est rien comparé aux autres, en gros c'est un parcours classique comme Bill Gates ou d'autres entrepreneurs.
            De plus contrairement à ce que l'on pense il ne fait pas dans l'import import:
            1998 :
            Ouverture de la raffinerie d'huile et lancement de "FLEURIAL".
            2003 :
            Entrée en production de la raffinerie de sucre.

            Ce sont des raffinerie, donc il produit le sucre et l'huile il ne l'importe pas, contrairment à ces rivaux qui ne font qu'importer et qui veulent le casser
            l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte

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            • #21
              Il a fait l'import du rond à béton à ce que je sache depuis l'Ukraine où l'UE ne voulait pas de ce métal.
              Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

              J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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              • #22
                oui effectivement il a fait de l'import a rond a beton milieu des années 80, et a l'époque l'europe de commercait pas directement avec lukraine vu que c'était un pays communiste, mais l'algerie oui. de plus l'algerie importe plus de la moitié de son rond a béton (production actuelle environ 400000 tonnes, besoin: 2 millions de tonnes). Et devine qui fait parti des producteur de rond à beton??
                l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte

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                • #23
                  Cet article sent le régionalisme à plein nez. J'espére que Cherif Rahmani saura se défendre.
                  "L' Algérie c'est le seul pays, où quand les gens me tendaient la main c'était pour m'offir quelque chose alors que dans les autres pays c'était pour m' en demander " Yann Arthus Bertrand

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                  • #24
                    Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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                    • #25
                      N'importe quoi !

                      C'est dommage cette histoire de conflit avec le parking. Je pense qu'un peu de concertation permettrait de régler ce problème au bénéfice de chacun.

                      Une décision de justice a été rendue, puis une autre invalidant la première. Bien évidemment, cet article étant tendancieux, on avance des faits de corruption pour expliquer la deuxième décision judiciaire sans prendre le soins d'avancer des preuves. Bien sûr, ce sont forcément les puissants qui sont pourris. Ce n'est pas sérieux.

                      Quant aux attaquent visant la famille, je trouve cela minable. C'est un homme qui a une longue carrière politique derrière lui et comme indiqué, au plus haut niveau. Je ne vois pas en quoi 3 appartements constitueraient une preuve de spoliation des biens publiques algériens. C'est vraiment petit.

                      Tout cela n'est qu'un feu de paille. Une tentative minable de déstabiliser les dirigeants algériens et d'exciter quelques petits frustrés ici et là.

                      Les comparaisons avec la famille Ben Ali sont pitoyables. Il faut tout de même garder le sens des proportions.
                      Dernière modification par abdelbaki, 02 février 2012, 03h45.

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                      • #26
                        Ne soyons pas dupes ! Si Bouteflika lui-même a accusé Rahmani de corruption, en direct sur Al Jazeera, avant de dissoudre le Gouvernorat d'Alger, nous n'allons pas être plus royalistes que le roi...

                        Quant aux preuves, Hocine Djidel en a fourni suffisamment sur son blog (aujourd'hui hacké), mais des traces existent toujours (voir ici par exemple, posts 9 à 12), et le dossier explosif ne demande qu'à trouver une instance sérieuse pour initier les enquêtes qu'il faut.

                        Ceci dit, il ne faudrait pas non plus que Rahmani soit l'arbre qui cache la forêt de la corruption en Algérie. Si son dossier venait à être ouvert, le reste de l'équipe devrait suivre. Il n'y a aucune raison pour que l'argent public des Algériens soit dilapidé à droite et à gauche par des personnes, du simple fait que celles-ci détiennent des positions de pouvoir.

                        Il est temps de briser l'omerta de ces clans qui ont mis main basse sur les richesses du pays, et offrir à la justice algérienne l'opportunité de prouver qu'elle est bien indépendante...
                        Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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                        • #27
                          makane la regionalisme ma walou, tous le monde en Algerie connait les malversations de Cherif Rahmani, mais lui au moins a le merite de bosser contrairement aux autres.

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                          • #28
                            fortuna

                            Si Bouteflika lui-même a accusé Rahmani de corruption, en direct sur Al Jazeera, avant de dissoudre le Gouvernorat d'Alger, nous n'allons pas être plus royalistes que le roi...
                            Bouteflika n'a pas dissous le gouvernorat d'Alger parce que Rahmani etait corrompu mais pour d'autres considérations liées à sa vision archaique populiste héritée de Boumediene qui visait à ne pas froisser les sentiments des Algériens de l'intérieur du pays qui n'avaient pas digéré que la capitale etait erigée sous un autre statut que wilaya tout court. Nous devions être sur le "même pied d'egalité" ; la capitale devrait être gérée comme le sont les wilayas d'El Bayadh, de Laghouat ou autre wilaya.

                            J'aimerai bien que tu nous indiques le lien où Bouteflika avait accusé Rahmani de corruption

                            Quant aux preuves, Hocine Djidel en a fourni suffisamment sur son blog
                            J'aurai été le premier à le croire si ce Hocine Djidel avait fourni des preuves mais rien que des accusations sur la femme, les enfants et tout l'entourage de Rahmani. Connaissant la mentalité des Algériens à tout croire quand il s'agit de dénigrer leurs hommes politiques, les officiers supérieurs et les commis d'Etat il s'en est pas privé. C'est ce que font Ali Belhadj, Zitout et autres charognards. Des preuves, on veut des preuves sur ces graves accusations. Il est à la portée de tout le monde d'ouvrir un blog et de s'en prendre à qui il veut.
                            Dernière modification par Ahmadov, 02 février 2012, 09h56.
                            "L' Algérie c'est le seul pays, où quand les gens me tendaient la main c'était pour m'offir quelque chose alors que dans les autres pays c'était pour m' en demander " Yann Arthus Bertrand

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                            • #29
                              J'aimerai bien que tu nous indiques le lien où Bouteflika avait accusé Rahmani de corruption
                              Il suffit de remonter les archives d'Al Jazeera et visionner l'interview de Boutef en février 2000. On trouvera d'ailleurs confirmation de ces propos, connus par beaucoup, dans un article du Monde du 3 mars 2000 sous le titre: "Le président Bouteflika limoge le gouverneur du Grand Alger".

                              Bouteflika n'a pas dissous le gouvernorat d'Alger parce que Rahmani etait corrompu mais pour d'autres considérations liées à sa vision archaique [...]
                              Le Gouvernorat du Grand Alger était tout simplement une entité non constitutionnelle. (voir Décision du Conseil Constitutionnel no 02/do/cc/2000 du 28 février 2000 relative à la constitutionnalité de l'ordonnance no 97-15 du 31 mai 1997 fixant le statut particulier du Gouvernorat du Grand-Alger ; p. 3.)


                              J'aurai été le premier à le croire si ce Hocine Djidel avait fourni des preuves [...]
                              Il ne s'agit pas de croire ou ne pas croire. Ce monsieur détient des documents officiels impliquant Chérif Rahmani dans plusieurs affaires et se dit prêt à les remettre à la justice. Une justice normale s'en saisirait, directement ou indirectement, pour vérifier le bien-fondé de ces accusations. Dans le cas contraire, il faudrait poursuivre ce monsieur en diffamation. Point.
                              Fortuna nimium quem fovet, stultum facit.

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                              • #30
                                Anti-corruption : le président Bouteflika appelle à appliquer la loi "dans toute sa rigueur"


                                ALGER - Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a appelé mardi les juges à appliquer la loi "dans toute sa rigueur" dans la lutte contre la corruption et contre toutes les autres formes de crimes et délits financiers.

                                Le chef de l’Etat intervenait lors du Conseil des ministresqui a examiné et approuvé un projet d’ordonnance modifiant et complétant la loi n°05-01 du 6 février 2005 relative à la prévention et à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.

                                Saluant l’actualisation de cette loi, le président de la République a estimé que "si l’engagement de l’Algérie contre le terrorisme est une réalité, il doit en être de même pour la prévention du blanchiment d’argent, dans le cadre de la lutte contre la corruption et le crime organisé".

                                Le président Bouteflika a ainsi enjoint au gouvernement, à la Banque d’Algérie et à toutes les autorités de régulation concernées de veiller au "strict respect des règlements relatifs à la prévention du blanchiment d’argent et du financement du terrorisme" et d’apporter leurs "pleins concours" à la cellule nationale de renseignement financier, placée auprès du ministère des Finances.

                                L’Algérie mène une lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme sur la base d’un dispositif législatif "adéquat", notamment la loi n° 05-01 du 6 février 2005, est-il relevé dans le communiqué ayant sanctionné la réunion du Conseil des ministres relevé. L’Algérie participe aussi "activement" à la coopération internationale contre ces deux fléaux, notamment dans le cadre des Nations unies et des organisations sous-régionales, arabes et africaines. L’ordonnance, approuvée, a "justement" pour objet d’adapter la législation algérienne de prévention et de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, aux techniques nouvelles au moyen desquelles les criminels violent les systèmes bancaires et aux technologies de l’information et de la communication, souligne le communiqué.

                                A cet effet, la législation amendée "conforte l’indépendance" de la cellule nationale de renseignement financier, à l’instar des organismes similaires de par le monde.

                                L’ordonnance élargit, en outre, les obligations des institutions financières dans le traitement de leurs clientèles, mais aussi à leur propre niveau, y compris la formation de leurs personnels en la matière et renforce les obligations des autorités de régulation financière en ce qui concerne les "règlements pertinents" qu’elles doivent prendre et le "suivi de leur respect" par les institutions financières ainsi que leur coopération avec les instances nationales compétentes, y compris en matière d’enquête et de poursuite.

                                Pour ce qui est des mesures de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, l’ordonnance autorise le juge à ordonner "le gel ou la saisie, pour un mois renouvelable, des fonds appartenant aux organisations terroristes".

                                La même source précise que cette mesure est "susceptible de recours". L’ordonnance relève aussi le montant des amendes et élargit le champ d’application de certaines incriminations en matière de violation du secret professionnel en ce qui concerne les déclarations de soupçon.

                                La sanction des crimes de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme relève, quant à elle, des dispositions du Code pénal, est-il encore souligné dans le texte.
                                aps
                                The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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