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Vague de froid au Maghreb : Dejà 10 morts en Algerie

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  • Vague de froid au Maghreb : Dejà 10 morts en Algerie

    Au moins dix (10) personnes ont trouvé la mort dans des accidents de la route, des asphyxies par le monoxyde de carbone et des effondrements d'habitations et une autre a été emportée par les eaux d'Oued Safsaf (Skikda) au cours des dernières 24 heures suite aux intempéries qui frappent le pays depuis jeudi, indique dimanche la Protection civile.

    Parmi les victimes, on déplore cinq (5) personnes asphyxiées dont deux (2) à Djelfa, deux (2) à Sétif, et une (1) à Relizane alors que neuf autres ont été secourues, a indiqué dimanche le chargé de communication à la direction générale de la Protection civile, le sous-lieutenant Nassim Bernaoui à la radio Chaîne I de la Radio Algérienne.
    Par ailleurs, les intempéries, qui touchent le pays depuis jeudi, ont fait quatre (4) morts et quatre (4) blessés dans quatre (4) accidents de la route.

    S'agissant des incidents dus à l'usage de produits pyrotechniques à l'occasion de la célébration du Mawlid Ennabaoui, le sous-lieutenant Bernaoui a souligné que le bilan de cette année reste minime par rapport à l'année écoulée, la baisse des températures ayant empêché les enfants de sortir jouer avec les produits pyrotechniques.

    En prévision d'éventuelles urgences en raison des intempéries, la direction générale de la Protection civile a multiplié ses effectifs au niveau des unités des wilayas touchées par la vague de froid et mobilisé les moyens matériels et humains nécessaires aux opérations de secours.

    En outre, précise le sous-lieutenant Bernaoui, les mêmes services ont placé 69 personnes sans domicile fixe (SDF) au niveau national, dont 11 à Alger, dans des centres d'hébergement et des hôpitaux pour recevoir les soins et leur fournir des couvertures, des matelas et de la nourriture.


    Radionet

  • #2
    ça concerne l actualité algérienne

    Normalement ce sujet posté à :
    Algérie Actualité !!
    Allah yarham El Mouwta !
    et merci à la protection civile qui ont secouru des gens en temps voulu
    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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    • #3
      Allah yarham c'est pas facile.

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      • #4
        il doit y en avoir encore
        en france ça a fait 200 morts ...

        comme on dit, la neige c'est beau à regarder, mais difficile a vivre
        veni vidi vici .

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        • #5
          quelques vidéos de ce matin

          Le calvaire des automobilistes


          le malheurs des uns fait parfois le bonheurs des autres
          veni vidi vici .

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          • #6
            deux université d’Alger ont fermé leur portes depuis samedi à cause de la neige
            la fac de droit de ben aknoun et celle de commerce et de gestion à dely brahim

            plusieurs établissement scolaires et surtout les primaires ont aussi fermé

            en Kabylie ou aux Aures, on enregistre jusqu’à 2 mètres de neige, à Constantine jusqu'à 1,5 mètres
            veni vidi vici .

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            • #7
              il doit y en avoir encore
              allah yahfad !

              en france ça a fait 200 morts ...
              nope! 200 morts c'est dans toute l’Europe !

              5 en France jusqu'à présent.


              comme on dit, la neige c'est beau à regarder, mais difficile a vivre
              Certains pays sont vulnérables à cette vague de froid, par manque de moyens, d'habitude..Etc
              Si on avait la même que celle d’Europe, les morts seront comptés par dizaines milliers mnt.

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              • #8
                y'a tellement de marocains dans le forum que l'algérie est rendu sujet au ruprique international

                par contre en algérie c'est pas le froid lui meme mais l'accident due au cette hiver qui tuent .........

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                • #9
                  Je pensais que le titre évoquait des gens morts directement de froid !

                  Des accidentés de la route ou des asphyxies ... c'est tout le long de l'année que l'on en enregistre ! Malheureusement.

                  Commentaire


                  • #10
                    Des bidonvilles d’Alger face à la vague de froid Des familles obligées de se chauffer au bois

                    Aïn El Melha, l’un des plus denses bidonvilles de la capitale, qui totalise 3000 gourbis, il n’y a que le bois pour contrer le froid sibérien.
                    [IMG]file:///C:/Windows/Temp/moz-screenshot.png[/IMG]


                    La saison hivernale a enregistré cette année d’importantes chutes de pluies. Si la neige de ces trois derniers jours a procuré de la joie aux enfants, elle n’a pas été clémente avec des milliers de familles habitant dans des bidonvilles.
                    Les températures négatives ont obligé les pères de famille à trouver mille et une solutions pour parer au froid glacial. Les coupures d’électricité et la raréfaction des bouteilles de gaz butanes les ont contraint à chercher du bois pour se réchauffer.
                    A Aïn El Melha, l’un des plus denses bidonvilles de la capitale, qui totalise 3000 gourbis, il n’y a que le bois pour contrer le vent sibérien.
                    «Faute de butane, nous avons été obligés de chercher du bois pour chauffer la maison», raconte Riad, la trentaine, marié et père de deux enfants. Il vit à Aïn El Melha depuis le début des années 1990. Aux abords du bidonville se situe le marché de Aïn Naâdja, qui donne une apparence de vie normale au quartier. Mais en sillonnant le dédale de Aïn El Melha, on se rend compte que l’image d’une Algérie aisée financièrement est fausse.
                    Les autorités ne cessent de répéter que le pays repose sur 180 milliards de dollars de réserves de change… Comme dit l’adage, «le malheur des uns fait le bonheur des autres» ; des commerçants profitent de la conjoncture. «La neige n’a pas été tendre avec nous. Les épiciers n’ont pas ramené suffisamment de butanes. Il paraît qu’il y a pénurie. Ceux qui en vendent ont augmenté les prix de 250 à 300 DA», témoigne, sous son burnous, Sahraoui, âgé de 35 ans.
                    Pire que cela, ajoute-t-il, «nous n’avons pas eu d’électricité ces deux derniers jours. A la maison, nous nous sommes entassés pour créer de la chaleur».
                    L’intérieur des gourbis est envahi par l’humidité. En outre, les toitures en éternit (produit cancérogène car contenant de l’amiante) n’ont pas retenu toute l’eau.
                    «J’ai passé les deux dernières nuits à dégager l’eau à la main, avec un frottoir et une serpillière», déplore Riad. Il nous conduit à une autre baraque où réside une famille composée des grands-parents, des enfants et des petits-enfants. «Regardez, la maison est au bord de l’effondrement. Le toit risque de tomber sur nos têtes à n’importe quel instant. Chaque année, nous le réhabilitons, mais c’est une histoire sans fin.
                    Un gourbi reste un gourbi», raconte la maîtresse des lieux, une vieille dame de plus de 70 ans.
                    «Tous mes enfants et mes petits-enfants sont atteints d’asthme, d’autres de rhumatismes, tellement le taux d’humidité est élevé. Toutes les familles à Aïn El Melha sont malades. La tuberculose sévit toujours», poursuit-elle. Plus au sud, El Oued est un autre bidonville, distant de Aïn El Melha d’environ 800 mètres. Une mère de famille nous aborde : «Mon père a travaillé 30 ans au journal El Moudjahid. Comme il ne pouvait pas s’offrir un appartement, il n’a eu d’autre choix que de construire une baraque.
                    Nous avons constamment peur des fortes chutes de pluies, car nous risquons tous emportés par les flots. Il faut le reconnaître, il y a ceux qui méritent d’être relogés, d’autres non, puisqu’ils sont déjà propriétaires de logements et viennent ici nous parasiter. Depuis le début 1990, aucun responsable n’est venu nous voir pour nous annoncer une bonne nouvelle. Pourquoi tant de familles ont été relogées alors que nous avons été recensés avant elles ? Il y a un manque de transparence dans la livraison des logements. Nous nous sentons marginalisés !»


                    Mehdi Bsikri

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                    • #11
                      qui tue qui ?

                      le froid ou le DRS ?

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