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reevaluation du dinar

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  • reevaluation du dinar

    j ai lu hier un article du soir d algerie qui parle d un eeventuelle reevaluation du dinar
    et cela m intrigue un peut
    est ce que c vers une hausse ou bien une baisse et la derniere est plus plausible prcq c l OMC et le FMI qui la exiger

    voire l article
    si La parole est d'argent, le silence est d'or
    le plus beau bijoux que possede une femme c est le cilence, malheuresement elle ne le porte po trop souvent

  • #2
    Abdelatif Benachenhou

    Réévaluation du dinar, plaisanterie de riches

    Le ministre des Finances, Abdelatif Benachenhou, a mis fin, hier, au débat et rumeurs sur une éventuelle réévaluation de la monnaie nationale.
    « C’est une plaisanterie de riches», a-t-il lancé, hier, aux journalistes qui l’ont interrogé sur cette question, en marge de la cérémonie d’ouverture de l’Institut de hautes études financières.

    Pour expliquer les raisons qui poussent le gouvernement à n’opérer aucune réévaluation du dinar, Benachenhou rappelle que l’Algérie vit des recettes énergétiques et que les exportations hors hydrocarbures sont insignifiantes: «même si nous avons d’importantes réserves de changes, nous n’avons pas assez d’exportations hors hydrocarbures», dit le ministre. La seule préoccupation de l’heure de l’argentier du pays, demeure celle de gérer autrement le développement de l’Algérie. Il est temps, pour lui, de cesser de compter sur le budget de l’Etat et de recourir au marché pour financer certains projets d’infrastructures. C’est d’ailleurs là, le thème de son tout prochain livre. Pour Abdelatif Benachenhou, «l’Algérie est à la croisée des chemins: soit on retombe dans les errements d’antan et qu’on finance tout sur le budget de l’Etat, soit on adopte une démarche courageuse —le gouvernement est en train de la construire- et laisser le marché prendre la relève». Partant de là, l’Algérie, ajoute le ministre des Finances, «a besoin de ressources humaines et de gens capables, pour dynamiser l’économie», dans, entre autres, son volet financier.

    Pour le moment, explique-t-il, «il n’y a pas de gens capables de dynamiser les marchés des capitaux, des crédits, ...» C’est pour cela que la création d’un Institut des hautes études financières (IHEF) revêt une importance capitale dans la mise à niveau des ressources humaines dans ce volet, dira encore le ministre. Il est utile de savoir que cet institut est «créé à l’initiative des banques et compagnies d’assurances ainsi que de Sonatrach en partenariat avec le cabinet conseil Strategica» Son objectif, selon le premier responsable de ce dernier,

    M. El-Hachemi Siagh, est de «répondre au déficit en cadres qualifiés et en spécialités dans les nouveaux métiers de la finance». L’IHEF, ajoute-on, «dispensera des formations qualifiantes dans les filières telles que les valeurs mobilières, l’analyse financière, la gestion du patrimoine, la gestion des titres, l’assurance générale, assurance crédit,...»

    Ghania Amriout
    http://www.quotidien-oran.com/html/home.html
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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    • #3
      salam

      merci ZEK j ai lu l article
      mais ik seraias bien de revoire la valeure de notre money a la hausse
      si La parole est d'argent, le silence est d'or
      le plus beau bijoux que possede une femme c est le cilence, malheuresement elle ne le porte po trop souvent

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