La Fédération Internationale des Journalistes (FIJ) s'est déclarée mercredi "extrêmement soucieuse du sort d'au moins 20 journalistes qui sont toujours détenus" en Algérie, et appelé à "mettre un terme" à la détention des rédacteurs et des reporters dans le pays.
La FIJ qui s'est réjouie de la "libération imminente" du journaliste algérien Mohamed Benchicou, emprisonné pendant 2 ans pour avoir critiqué le gouvernement, a demandé la libération de "deux douzaines" d'autresjournalistes.
"Nous restons extrêmement soucieux du sort d'au moins 20 autres journalistes qui sont toujours détenus", a déclaré Aidan White, secrétaire général de la FIJ, basée à Bruxelles.
Il est temps pour la "liberté de la presse en Algérie de prendre un nouveau départ, et il est temps de mettre un terme à la détention des rédacteurs et desreporters", a-t-il dit dans un communiqué publié par la Fédération.
De son côté, le coordinateur du Bureau de la FIJ à Alger, Nadir Bensaba, aindiqué que le "dossier Benchicou a mis en lumière un système judiciaire corrompu et politisé", appelant à la libération des autres journalistes et à"décriminaliser les délits de presse en Algérie".
Plus de 20 journalistes ont été condamnés à des peines d'emprisonnement en 2005 et 2006 et des douzaines d'autres ont reçu des peines avec sursis.
"Tous ces collègues sont victimes d'une campagne contre la libertéd'expression", a insisté Aidan White, appelant à "y mettre un termemaintenant".
La FIJ qui s'est réjouie de la "libération imminente" du journaliste algérien Mohamed Benchicou, emprisonné pendant 2 ans pour avoir critiqué le gouvernement, a demandé la libération de "deux douzaines" d'autresjournalistes.
"Nous restons extrêmement soucieux du sort d'au moins 20 autres journalistes qui sont toujours détenus", a déclaré Aidan White, secrétaire général de la FIJ, basée à Bruxelles.
Il est temps pour la "liberté de la presse en Algérie de prendre un nouveau départ, et il est temps de mettre un terme à la détention des rédacteurs et desreporters", a-t-il dit dans un communiqué publié par la Fédération.
De son côté, le coordinateur du Bureau de la FIJ à Alger, Nadir Bensaba, aindiqué que le "dossier Benchicou a mis en lumière un système judiciaire corrompu et politisé", appelant à la libération des autres journalistes et à"décriminaliser les délits de presse en Algérie".
Plus de 20 journalistes ont été condamnés à des peines d'emprisonnement en 2005 et 2006 et des douzaines d'autres ont reçu des peines avec sursis.
"Tous ces collègues sont victimes d'une campagne contre la libertéd'expression", a insisté Aidan White, appelant à "y mettre un termemaintenant".
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