Lors de sa visite a Alger, Mustapha Abdeljellil n'a pas eu un seul mot d'excuses ou de regrets sur les accusations qu'il avait portées contre l'Algerie. L'humiliation de trop pour un pays qui se donne le statut de puissance regionale, mais qui s'est retrouvé malmené par un regime Libyen sans aucune légimité electorale. Le president du CNT n'est pas encore celui de la Libye. Mustapha Abdeljellil n'a pas été élu par son peuple. Son conseil est meme contesté par une partie de la population Libyenne. L'accueillir a Alger compme un chef d'état illustre l'empressement d'Alger à normaliser ses relations avec un régime qui entretient de bonnes relations avec les puissances occidentales et le petit emirat du Quatar.
Source, TSA
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