Samir Bouakouir, représentant du FFS à l'étranger et candidat pour la Zone 1 en France, a dénoncé, mardi 8 mai, dans un communiqué, « le comportement scandaleux du Consul de Nanterre », en région parisienne. Il accuse le représentant de l’État et ses « sbires » d’avoir « littéralement pris à partie nos militants encadrant des bureaux de vote », après avoir été interpellé « sur les dépassements du candidat du FLN ».
Le candidat l’ex‑parti unique est accusé par le FFS d’avoir violé la loi électorale. « Dans plusieurs consulats, il s'est autorisé le droit de distribuer à l'intérieur des locaux consulaires des tracts en plein déroulement (…) de l'opération de vote », précise le communiqué du représentant du FFS. « Le Consul de Nanterre n'a pas trouvé mieux que d'afficher ouvertement son parti‑pris et encourager le représentant du FLN à continuer à violer la loi », explique le communiqué.
« Je demande aux plus hautes autorités de l'État de prendre les mesures nécessaires et les sanctions qui s'imposent pour que cessent les menaces et intimidations à l'encontre des militants du FFS et qui entachent gravement » la régularité du scrutin, et ce en contradiction flagrante avec les engagements du chef de l'État », ajoute Samir Bouakouir. Avant de conclure : « je me réserve le droit de prendre, en concertation avec les instances du parti, toutes les décisions qui s'imposent ».
Source : TSA
Le candidat l’ex‑parti unique est accusé par le FFS d’avoir violé la loi électorale. « Dans plusieurs consulats, il s'est autorisé le droit de distribuer à l'intérieur des locaux consulaires des tracts en plein déroulement (…) de l'opération de vote », précise le communiqué du représentant du FFS. « Le Consul de Nanterre n'a pas trouvé mieux que d'afficher ouvertement son parti‑pris et encourager le représentant du FLN à continuer à violer la loi », explique le communiqué.
« Je demande aux plus hautes autorités de l'État de prendre les mesures nécessaires et les sanctions qui s'imposent pour que cessent les menaces et intimidations à l'encontre des militants du FFS et qui entachent gravement » la régularité du scrutin, et ce en contradiction flagrante avec les engagements du chef de l'État », ajoute Samir Bouakouir. Avant de conclure : « je me réserve le droit de prendre, en concertation avec les instances du parti, toutes les décisions qui s'imposent ».
Source : TSA
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