Avec son titre « Le FLN rafle la mise aux législatives algériennes », le Figaro, souligne qu’« avec une participation plus forte que celle du dernier scrutin de 2007 et la victoire éclatante du Front de libération nationale (FLN), le parti de l'indépendance, demeure le maître du jeu politique ».
Il souligne que « la poussée des islamistes, qui était censée s'inscrire dans le mouvement régional, a en revanche été contenue (...) Contrairement à ce qui s'est passé en Tunisie, Egypte et Maroc, les islamistes apparaissent même comme les premiers perdants de ces élections ». « Législatives en Algérie : revers pour les islamistes », titré par le quotidien le Monde qui relève « comme attendu, l'ancien parti unique, le FLN, a remporté 220 sièges à l'Assemblée populaire nationale, où il formera le groupe le plus important ». « Les islamistes ont subi un revers, arrivant en troisième position », ajoute-t-il, en référence à l'Alliance de l'Algérie verte (AAV : MSP, Ennahda et El Islah) qui a obtenu 48 sièges sur les 462 à pourvoir à l'APN. De son côté, Libération revient dans son édition électronique sur la victoire du parti du FLN et le revers des islamistes. « Les élections législatives en Algérie ont été remportées par l'alliance présidentielle, les islamistes subissant un important revers, une première depuis le printemps arabe, selon les résultats officiels dénoncés par les islamistes qui accusent le pouvoir de manipulation », rapporte-t-il. L’article souligne que « ces sept derniers mois, les partis islamistes ont accédé au pouvoir par la voie des urnes après avoir remporté les élections en Tunisie, puis au Maroc et en Egypte. Mais en Algérie, le FLN a gagné le scrutin, tandis que son allié le Rassemblement national démocratique (RND), du Premier ministre Ahmed Ouyahia, a décroché la seconde place avec 68 sièges ». Avec son titre « Les législatives confirment l'Algérie comme exception du Printemps arabe », Jean-Marc Mojon de l’Agence France Presse (AFP) analyse que « le vent du changement du Printemps arabe n'a fait que passer au-dessus de l'Algérie ». Dans son papier, il souligne que « les résultats des premières élections organisées (…) depuis les révolutions arabes, et tout d'abord dans la Tunisie voisine, s'écartent de cette tendance et préservent le statu quo ». Ce qu'il ressort des législatives, selon le journaliste de l’AFP « c'est cette exception algérienne qui n'a rien à voir avec les lectures et spéculations relatives au monde arabe et les révolutions qui ont traversé ces pays. »
De son côté, le quotidien espagnole, El Pais a titré « l'Algérie passe à côté du printemps arabe ». « Photo figée en Algérie », il estime « son système politique est apparemment à l'abri des vents du printemps arabe en Afrique du Nord ». Pour le grand quotidien, « les gagnants sont toujours les mêmes, les seuls qui protestaient légèrement, les islamistes modérés, sont quelque peu marginalisés au lendemain des élections législatives ». Dans son article le journaliste espagnol relève d'autre part que « la première consultation électorale dans le pays le plus peuplé du Maghreb, après le déclenchement du printemps arabe, il y a de cela une année et demie, a montré de façon surprenante un résultat presque identique aux précédentes élections législatives de 2007. »
Par ailleurs, le New York Times et son rival le Washington Post, tant qualifiés pour « les plus influents quotidiens des Etats-Unis », n'en pensent pas moins. Le New York Times abonde dans le même sens et rapporte que « le parti au pouvoir a renforcé sa position lors des élections parlementaires de cette semaine ». Tout en signalant que « les islamistes ont rejeté les résultats », il a souligné qu’« une alliance de partis islamistes modérés a subi un revers dans le vote, un résultat fortement en désaccord à la fois avec les prévisions des analystes et de l'expérience des pays voisins de l'Algérie, dans le sillage du printemps arabe de l'an dernier ».
Il souligne que « la poussée des islamistes, qui était censée s'inscrire dans le mouvement régional, a en revanche été contenue (...) Contrairement à ce qui s'est passé en Tunisie, Egypte et Maroc, les islamistes apparaissent même comme les premiers perdants de ces élections ». « Législatives en Algérie : revers pour les islamistes », titré par le quotidien le Monde qui relève « comme attendu, l'ancien parti unique, le FLN, a remporté 220 sièges à l'Assemblée populaire nationale, où il formera le groupe le plus important ». « Les islamistes ont subi un revers, arrivant en troisième position », ajoute-t-il, en référence à l'Alliance de l'Algérie verte (AAV : MSP, Ennahda et El Islah) qui a obtenu 48 sièges sur les 462 à pourvoir à l'APN. De son côté, Libération revient dans son édition électronique sur la victoire du parti du FLN et le revers des islamistes. « Les élections législatives en Algérie ont été remportées par l'alliance présidentielle, les islamistes subissant un important revers, une première depuis le printemps arabe, selon les résultats officiels dénoncés par les islamistes qui accusent le pouvoir de manipulation », rapporte-t-il. L’article souligne que « ces sept derniers mois, les partis islamistes ont accédé au pouvoir par la voie des urnes après avoir remporté les élections en Tunisie, puis au Maroc et en Egypte. Mais en Algérie, le FLN a gagné le scrutin, tandis que son allié le Rassemblement national démocratique (RND), du Premier ministre Ahmed Ouyahia, a décroché la seconde place avec 68 sièges ». Avec son titre « Les législatives confirment l'Algérie comme exception du Printemps arabe », Jean-Marc Mojon de l’Agence France Presse (AFP) analyse que « le vent du changement du Printemps arabe n'a fait que passer au-dessus de l'Algérie ». Dans son papier, il souligne que « les résultats des premières élections organisées (…) depuis les révolutions arabes, et tout d'abord dans la Tunisie voisine, s'écartent de cette tendance et préservent le statu quo ». Ce qu'il ressort des législatives, selon le journaliste de l’AFP « c'est cette exception algérienne qui n'a rien à voir avec les lectures et spéculations relatives au monde arabe et les révolutions qui ont traversé ces pays. »
De son côté, le quotidien espagnole, El Pais a titré « l'Algérie passe à côté du printemps arabe ». « Photo figée en Algérie », il estime « son système politique est apparemment à l'abri des vents du printemps arabe en Afrique du Nord ». Pour le grand quotidien, « les gagnants sont toujours les mêmes, les seuls qui protestaient légèrement, les islamistes modérés, sont quelque peu marginalisés au lendemain des élections législatives ». Dans son article le journaliste espagnol relève d'autre part que « la première consultation électorale dans le pays le plus peuplé du Maghreb, après le déclenchement du printemps arabe, il y a de cela une année et demie, a montré de façon surprenante un résultat presque identique aux précédentes élections législatives de 2007. »
Par ailleurs, le New York Times et son rival le Washington Post, tant qualifiés pour « les plus influents quotidiens des Etats-Unis », n'en pensent pas moins. Le New York Times abonde dans le même sens et rapporte que « le parti au pouvoir a renforcé sa position lors des élections parlementaires de cette semaine ». Tout en signalant que « les islamistes ont rejeté les résultats », il a souligné qu’« une alliance de partis islamistes modérés a subi un revers dans le vote, un résultat fortement en désaccord à la fois avec les prévisions des analystes et de l'expérience des pays voisins de l'Algérie, dans le sillage du printemps arabe de l'an dernier ».
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