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Résultats Législatives 2012 par Wilaya

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  • #31
    les reultat meme s il n ya pas de votant est satisfait

    les resultat meme s il n ya pas de votant est satisfait
    c normal ils veul etre pays 300000 de salaire chaque moi et le peuple nage dans le bain de sang baayyen allaab ahkiwhhaa el bibite
    je crois les voleurs veulent profité des manifestation pour pouvoir volé mais pas le pourvoir
    tchaakh ecthakh les voelurs les voleurs les voleurs attentions
    Dernière modification par sousou35, 15 mai 2012, 10h12. Motif: err

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    • #32
      Bonjour Sousou

      c'est la blague du jour ?
      .


      Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

      Commentaire


      • #33
        tu c moi je suis contre l'injusttice ils facilement oublie les 20ans passé

        "Bonjour azouze raak guazouz

        c'est la blague du jour ? "
        vous ete hors sujet
        notre pouvoir depend de notre histoir "noublie pas le passé il est tres important 20ans sanglante personne n rien fait et aujourdhui
        faire une greve qui ne menera a rien
        en plus akhrethhaa mouuute maanwessekhch yeddiiyyaa alaa elli maayestaahlouche un jour ils mouront et le jour du chatiment ils serons jugé par allah biensur "je ne salli pas mais mains pour des gent que je connais meme pas et encouragé les voleurs a volé
        merci maa rannaach maakhssossine
        Dernière modification par sousou35, 15 mai 2012, 11h02. Motif: err

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        • #34
          non, pas tout à fait, les 4% ne seront pas comptabilisés dans le nombre des voix exprimés.

          Actualités : ÉLECTIONS LÉGISLATIVES
          Des sièges vont-ils changer de mains ?



          Le soir du 14/05/2012


          Pour un imbroglio juridique, c’en est forcément un ! La version arabophone de la loi relative au régime électoral adoptée en janvier dernier – celle qui fait foi d’ailleurs – ne présente pas les mêmes modalités de répartition des sièges que la version francophone. Un détail qui implique, forcément, la révision des résultats de ces élections législatives. Plusieurs sièges devront changer de mains…
          Lyas Hallas - Alger (Le Soir) - Publiée dans le Journal officiel du 14 janvier 2012, la loi relative au régime électoral dans sa version francophone prévoit un «scrutin de liste proportionnel», donnant lieu à une répartition des sièges, proportionnelle au nombre de voix obtenues par chaque liste, avec application de la règle du plus fort reste. Cette loi a apporté un amendement de taille, le plus significatif de tous : les listes réalisant les 5% des suffrages exprimés mais n’obtenant pas le quotient électoral ne sont plus admises à la répartition des sièges (alinéa 3 de l’article 87). Ledit alinéa dispose textuellement que : «Après attribution des sièges aux listes qui ont obtenu le quotient électoral dans les conditions fixées à l’alinéa précédent, les restes des voix des listes ayant obtenu des sièges sont classés par ordre d’importance de ce nombre de voix. Les sièges restants sont attribués en fonction de ce classement». Contrairement à la version francophone de ce texte de loi, la version arabophone, celle qui fait foi, n’indique pas cet amendement. Et, nous pouvons lire exactement les mêmes dispositions de l’alinéa 3 de l’article 104 du code électoral de 1997. Dit autrement, les modalités de répartitions des sièges sont restées sans changement ! «Après attribution des sièges aux listes qui ont obtenu le quotient électoral dans les conditions fixées à l’alinéa précédent, les restes des voix des listes ayant obtenu des sièges et les suffrages recueillis par les listes n’ayant pas obtenu des sièges sont classés, par ordre d’importance de ce nombre de voix. Les sièges restants sont attribués en fonction de ce classement », peut-on lire dans la version arabophone de la loi relative au régime électoral du 14 janvier 2012. Or, la répartition des sièges lors du scrutin a été opérée en prenant en compte l’amendement cité plus haut ! Les listes réalisant les 5% des suffrages exprimés mais n’ayant pas obtenu le quotient électoral n’ont pas été admises à la répartition des sièges.
          Un geste délibéré ou simple omission ?

          L’on croit savoir que l’élaboration du projet de la nouvelle loi s’est faite dans la langue française. Par la suite, ses dispositions ont été traduites en arabe, la langue officielle. L’on croit savoir aussi que le système informatique de calcul des voix a été programmé en prenant en compte l’amendement de l’article définissant les modalités de répartitions des sièges, suivant la version francophone. Ainsi, le FLN a pu rafler la mise dans plusieurs wilayas tout comme les «Indépendants» à Khenchela, car les listes de ce parti et celle des Indépendants dans ladite circonscription électorale ont été les seules à avoir obtenu le quotient électoral. Si le système informatique du ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales n’est qu’une calculatrice, le Conseil constitutionnel, pour valider les résultats, devrait logiquement revoir le décompte, suivant les modalités écrites en arabe. Et, plusieurs sièges devront changer de main. Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, à l’annonce des résultats au lendemain du scrutin, n’a pas communiqué, comme à l’accoutumée, le nombre de voix obtenues par les listes ayant décroché des sièges à l’issue de cette joute électorale ni le nombre des suffrages obtenus par les autres listes. Il est difficile de déterminer le nombre de sièges devant être redistribués. Ce qui est sûr, par contre, c’est que le Conseil constitutionnel a du pain sur la planche…
          L. H.
          Il y a justement un flou juridique sur ce point...
          Othmane BENZAGHOU

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          • #35
            Merci pour la comparaison. Tu pouvais t'épargner la besogne. Tu n'as pas choisi le bon exemple. Nous ne sommes pas le front national de Jean Marie Le Pen.
            Les raleurs invétérés votent extrème, n'est ce pays M. ?

            Que la génération d'aigris laissent la nouvelle génération construire ce pays sans rancune ni devoir de revanche... A bon entendeur...
            Dernière modification par ott, 15 mai 2012, 11h11.
            Othmane BENZAGHOU

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            • #36
              Envoyé par Ott
              Les raleurs invétérés votent extrème, n'est ce pays M. ?

              Que la génération d'aigris laissent la nouvelle génération construire ce pays sans rancune ni devoir de revanche... A bon entendeur...
              Appelons les choses par leur juste nom.

              Le lien que tu avais mis renvoie sur les modes de scrutin français. Des modes qui changent au grès de la situation. Presque chaque élection possède son propre mode.

              Dans ce système français, en gros, deux critères sont retenus pour la révision du code électoral. Celui de la réussite de la majorité et le soucis de barrer la route au front national. Du point de vue du droit, ce n'est pas normal mais du point de vue de l’éthique aussi bien la droite que la gauche sont d'accord pour barrer la voie au front national. C'est un débat qui n'est pas l'objet de cette discussion.

              La loi électorale telle que reproduite en Algérie est à mon sens injuste. Elle doit changer. Mais est-ce seulement cette loi qui doit changer ?

              Pour moi c'est tout le système qui est gangrené. Voilà pourquoi il est nécessaire, si l'on veut mettre notre pays sur la bonne voie, de prendre le taureau par les cornes et se mettre au travail pour une refondation totale du système.

              D'une façon ou d'une autre il s'agit de l'avenir de la nouvelle génération et des générations futures. Il est normal que la nouvelle génération s'implique pour son avenir.

              Ma génération qui est une génération intermédiaire, celle qui aurait pu mettre le pays sur la voie de la prospérité et de la réelle démocratie, a été tout simplement écartée et poussée à l'exil par les tenants de l’obscurantisme arabo-bâathiste qui se pavanent au sein du pouvoir, pour le motif de lèse-majesté d'avoir été formé en langue française.

              Contrairement à ce que tu penses, ma génération n'est pour rien dans ce despotisme qui a hypothéqué notre avenir, celui de la génération actuelle et probablement celui des générations futures si rien ne se fait.

              P.
              Dernière modification par Pangeen, 15 mai 2012, 11h57.

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              • #37
                Salut Ott

                le "bug" entre la verssion arabe et francaise de la loi electrole (paragraphe 87 je pense) concerne une autre chose, les liste ayant réaliser plus de 5% et moins du quotient electoral.

                Par contre les voix des listes de moins de 5% , elles ne sont pas compatbilisées dans le calcul du QE et ne sont affectées à aucun parti.
                .


                Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                • #38
                  Envoyé par azouz75
                  ...
                  non, pas tout à fait, les 4% ne seront pas comptabilisés dans le nombre des voix exprimés...
                  Pour être clair, il aurait fallu ajouter la référence à la version du code électoral. D'après tes posts, tu te réfères à la version en arabe alors que beaucoup d'entre-nous, nous nous référons à la version française du code électoral.

                  L'anomalie existante entre les deux versions a été détectée bien avant le scrutin. Nous étions à plusieurs sur la discussion qui avait fait ressortir cette anomalie.

                  L'article du journal que Ott a cité fait également référence à cette anomalie.

                  Selon la version française, les suffrages exprimés qui se sont portés sur les listes ne franchissant pas la barre des 5% sont déduits, comme les bulletins nuls, du nombre de votants pour la répartition des sièges.

                  On constate donc qu'ils sont pris en considération pour le calcul du taux de participation mais ne participent pas à la répartition des sièges. Ce qui veulent simplement dire que les sièges qui auraient dû être les leurs, s'il n' y avait pas eu ce seuil des 5% vont vers des listes que ces électeurs n'avaient pas choisies. C'est un détournement tout simplement.

                  Toi, qui réside en France, tu dois savoir qu'il y a des élections à la proportionnelle avec ce seuil de 5% mais à deux tours avec possibilité de fusion pour les listes qui ont obtenu plus de 3%. Le deuxième tour permet de répartir les sièges restants par la volonté populaire et non par détournement comme c'est le cas du code électoral algérien.

                  P.
                  Dernière modification par Pangeen, 15 mai 2012, 12h59.

                  Commentaire


                  • #39
                    Appelons les choses par leur juste nom.

                    Le lien que tu avais mis renvoie sur les modes de scrutin français. Des modes qui changent au grès de la situation. Presque chaque élection possède son propre mode.

                    Dans ce système français, en gros, deux critères sont retenus pour la révision du code électoral. Celui de la réussite de la majorité et le soucis de barrer la route au front national. Du point de vue du droit, ce n'est pas normal mais du point de vue de l’éthique aussi bien la droite que la gauche sont d'accord pour barrer la voie au front national. C'est un débat qui n'est pas l'objet de cette discussion.
                    Je ne partage pas cette analyse, qui est démentie par les faits. Aux législatives françaises, le mode de scrutin est majoritaire à 2 tours, avec un seuil de maintien au 2 ième tour de 12.5%. C'est ce scrutin majoritaire qui est décrié par les petits partis, notamment les verts, le FN et UDF-Modem, qui réclament une proportionnelle. Ils ne réclamment pas la proportionnelle sans seuil de répartiction des siéges, mais justement, la proprtionnelle, instituée par les instances européennes, qui permet justement la représenattion des petites formations aux sein du parlement européen.

                    D'autre part, je ne crois pas qu'une multitude de petit partis, constituées autours d'ambitions personnelles, soient un système à rechercher. Il est une étape, quand le jeu politique s'ouvre (exemple Espagen , Tunisie...) mais ne constitue pas un modèle d'organisation de la vie politique. La segmentation est néfaste pour la démocratie.

                    L'exercice de la critique en Algérie est une exercice tellement affectionné, du fait d'une période dictatoriale, qu'on en perd le nord et le sens des réalités.


                    La loi électorale telle que reproduite en Algérie est à mon sens injuste. Elle doit changer. Mais est-ce seulement cette loi qui doit changer ?

                    Pour moi c'est tout le système qui est gangrené. Voilà pourquoi il est nécessaire, si l'on veut mettre notre pays sur la bonne voie, de prendre le taureau par les cornes et se mettre au travail pour une refondation totale du système.
                    Il y en a même qui veulent importer un nouveau peuple en Algérie. Mise à part la boutade, les algériens ont manifesté à différentes reprise, leur hostilité à un chagement révolutionaire, préfèrant un changement par la réforme et aux sein des instutions, n'en déplaise aux révolutionnaires de tout bord. Il y a même des algériens qui ont signé un satifecit au pouvoir actuel, et ils sont loins d'être négligeable.

                    Le FFS l'a compris après l'échec des rassemblements su printemps 2011, et le retrait de Chaouchi de cette initiative en est la traduction, ainsi que la participation à un processus politique de changement et de réforme en place et lieux d'un processus violent. Ca a d'ailleurs toujours été en quelques sorte toujours la doctrine du FFS, la primauté du politique sur le militaire et de beaucoup d'opposants à Benbella et Boumediene.

                    D'une façon ou d'une autre il s'agit de l'avenir de la nouvelle génération et des générations futures. Il est normal que la nouvelle génération s'implique pour son avenir.

                    Ma génération qui est une génération intermédiaire, celle qui aurait pu mettre le pays sur la voie de la prospérité et de la réelle démocratie, a été tout simplement écartée et poussée à l'exil par les tenants de l’obscurantisme arabo-bâathiste qui se pavanent au sein du pouvoir, pour le motif de lèse-majesté d'avoir été formé en langue française.

                    Contrairement à ce que tu penses, ma génération n'est pour rien dans ce despotisme qui a hypothéqué notre avenir, celui de la génération actuelle et probablement celui des générations futures si rien ne se fait.

                    P.
                    La politique de l'exclusion a largement été opéré par les pouvoirs successifs en Algérie, ça a commencé par les adeptes du GPRA, les kabyles, les francophones, les islamistes, les communistes, puis les anciens Boumedienistes, les dits hizb frança... même le FLN a subit cette politique de l'exclusion. Il représente la segmentation faite à un moment donnée par les tenants du pouvoir, pour asseoir leurs pouvoir sur les régions, clans, corporations et catégories qu'il aura choisi de prévilégier, et a générés divers formes d'exclusion. Le clientélisme est une constance en politique, qui est largement usité même dans les plus "modernes" des démocraties.

                    En réaction s'est organisé d'autres formes de segmentations qui sont parfois detestables.

                    Il est temps de s'abstraire des segmentations générs par les pouvoirs successifs, et inventer un avenir partagé par une majorité d'Algérien. Il ne peut se faire que sur le terrein politique, du militantisme et de la mobilisation de la société. Et je salue encore une fois la démarche du FFS.

                    Les tenant de la stratégie du chaos, de la stratégie du boycotte, pour certains sont aveuglés, et pour d'autres obéissent à des desseins innavouables, dont les inspirateurs sont d'autant plus innavouables...
                    Dernière modification par ott, 15 mai 2012, 15h37.
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #40
                      D'autre part, je ne crois pas qu'une multitude de petit partis, constituées autours d'ambitions personnelles, soient un système à rechercher. Il est une étape, quand le jeu politique s'ouvre (exemple Espagen , Tunisie...) mais ne constitue pas un modèle d'organisation de la vie politique. La segmentation est néfaste pour la démocratie.
                      C'est exactement ce que j'écrivais dans un autre topic. ce seuil est un excellent filtre: la multiplicité de petits partis c'est stérilisant pour une assemblée.
                      ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

                      Commentaire


                      • #41
                        Le FFS l'a compris après l'échec des rassemblements su printemps 2011, et le retrait de Chaouchi de cette initiative en est la traduction,


                        Bouchachi Mostafa.
                        There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

                        Commentaire


                        • #42
                          le "bug" entre la verssion arabe et francaise de la loi electrole (paragraphe 87 je pense) concerne une autre chose, les liste ayant réaliser plus de 5% et moins du quotient electoral.

                          Par contre les voix des listes de moins de 5% , elles ne sont pas compatbilisées dans le calcul du QE et ne sont affectées à aucun parti.
                          Je n'en suis pas convaincu. Si le QE est supérieur à 5% le problème ne se pose pas du tout, car les partis ayant obtenu moins que le QE ne peuvent de toute manière obtenir de siège. Le problème se pose que si le QE est inférieur à 5%, et là il y a bien ambiguité.

                          Pour rappel, et sauf erreur de ma part, le QE = Nombre de votants / Nombre de siége. Exemple, si pour une circonscription de 450 000 habitant, et 200 000 votans, il y a 8 sièges à se disputer, 200 000 / 8 = 25 000 > 200 000 * 0.05 = 10 000, les votes au dessous du QE ne peuvent de toute façon pas prétendre à une siège. Par contre si une autre circonscription de 1 000 000 électeurs et de 300 000 votants possède 30 sièges, 300 000/ 30 = 10 000 < 300 000 * 0.05 = 15 000, la des sièges seront pris par d'autres.
                          Othmane BENZAGHOU

                          Commentaire


                          • #43
                            Petit rectificatif : QE = Nombre de bulletins valables / Nombre de sièges.

                            Il s'avère que la seule circonscription où le problème des 5% s'est posé, est Alger avec un QE à 12 500, soit 2,7% des bulletins.
                            Dernière modification par ott, 15 mai 2012, 21h10.
                            Othmane BENZAGHOU

                            Commentaire


                            • #44
                              Bonjour:

                              Ott
                              Petit rectificatif : QE = Nombre de bulletins valables / Nombre de sièges.


                              si tu le permets , il ya encore un p'tit rectificatif :

                              le QE = (Nombre de bulletins valables - nombre de bulletins des listes de moins de 5%) / Nombre de sièges.

                              Cdt
                              .


                              Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                              • #45
                                si tu le permets , il ya encore un p'tit rectificatif :

                                le QE = (Nombre de bulletins valables - nombre de bulletins des listes de moins de 5%) / Nombre de sièges.
                                Il me semble que c'est le cas que quand justement 5% peuvent permettre d'avoir un siège, c-a-d des circonscription de plus de 20 sièges... autrement, c'est une interprétation particulière de la règle des 5%...
                                Othmane BENZAGHOU

                                Commentaire

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