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Rien ne va changer en Algérie. Peu importe les résultats des élections législatives car tout indique que le gouvernement actuel sera reconduit et la même équipe dirigeante, décriée par l'opinion publique pour son incompétence, continuera à gérer les affaires stratégiques de l'Algérie.
Le statut quo perdure en Algérie. Et cette fois-ci, l'ombre du changement ne plane même pas sur sièges des divers ministères. En effet, selon plusieurs sources concordantes, Abdelaziz Bouteflika va s'appuyer sur une alliance présidentielle "bipartite" composée par le FLN et le RND. Et dans ce sens, Ahmed Ouyahia conservera toujours son poste de Premier Ministre.
Selon le Soir d'Algérie qui cite une source bien informée, Bouteflika va et tenir compte "des grands équilibres tant institutionnels que régionaux" et "devrait donc permettre au RND de maintenir le poste du Premier ministère dont le titulaire a, par ailleurs, l’avantage d’être issu du centre du pays mais, surtout, de la Kabylie", indique-t-on.
"Ce genre d’équilibres est névralgique pour gouvs un pays comme l’Algérie", explique cette source anonyme dans les colonnes du Soir d'Algérie. Ceci au plan politique.
De son côté, le FLN va prendre le contrôle de l'APN dont la présidence reviendra, selon plusieurs sources bien renseignées, à Rachid Harrouabia qui quittera le ministère de l'Enseignement Supérieur.
Ainsi, "mis à part le ministère de la Justice qui est vacant et certainement celui de l’Enseignement supérieur, l’actuel gouvernement ne devrait pas connaître de grands changements à l’arrivée", explique un proche du sérail.
Le statut quo perdure en Algérie. Et cette fois-ci, l'ombre du changement ne plane même pas sur sièges des divers ministères. En effet, selon plusieurs sources concordantes, Abdelaziz Bouteflika va s'appuyer sur une alliance présidentielle "bipartite" composée par le FLN et le RND. Et dans ce sens, Ahmed Ouyahia conservera toujours son poste de Premier Ministre.
Selon le Soir d'Algérie qui cite une source bien informée, Bouteflika va et tenir compte "des grands équilibres tant institutionnels que régionaux" et "devrait donc permettre au RND de maintenir le poste du Premier ministère dont le titulaire a, par ailleurs, l’avantage d’être issu du centre du pays mais, surtout, de la Kabylie", indique-t-on.
"Ce genre d’équilibres est névralgique pour gouvs un pays comme l’Algérie", explique cette source anonyme dans les colonnes du Soir d'Algérie. Ceci au plan politique.
De son côté, le FLN va prendre le contrôle de l'APN dont la présidence reviendra, selon plusieurs sources bien renseignées, à Rachid Harrouabia qui quittera le ministère de l'Enseignement Supérieur.
Ainsi, "mis à part le ministère de la Justice qui est vacant et certainement celui de l’Enseignement supérieur, l’actuel gouvernement ne devrait pas connaître de grands changements à l’arrivée", explique un proche du sérail.
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