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Il revient sur l’affaire des faux moudjahidine Mellouk interpelle les historiques

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  • Il revient sur l’affaire des faux moudjahidine Mellouk interpelle les historiques

    À un mois de l’anniversaire du cinquantenaire de l’Indépendance politique de l’Algérie, Benyoucef Mellouk interpelle les “historiques” et les “moudjahidine authentiques”. “Je suis venu ici pour interpeller les historiques et les moudjahidine authentiques, pour qu’ils disent la vérité sur le dossier des magistrats faussaires — faux moudjahidine — ; c’est leur devoir”, a déclaré, hier, au siège du journal, l’ancien fonctionnaire au ministère de la Justice, qui affronte depuis 20 ans les magistrats faussaires et ceux qui les soutiennent de l'intérieur de l'appareil de l'État.

    Pour M. Mellouk, “nous devons rester fidèles envers le serment donné aux martyrs et envers le peuple algérien”. Aussi, insistera-t-il sur l’implication des véritables combattants de la Révolution algérienne, citant, entre autres, des noms de moudjahidine rencontrés mercredi dernier à l’hôtel Safir (Alger), lors du Forum de la mémoire nationale, organisé par l'association Machaâl Echahid : Omar Boudaoud, Réda Malek, Ali Haroun, Lakhdar Bouragaâ, respectivement président de la Fédération de France du FLN, négociateur des accords d'Évian et ancien Premier ministre, membre de la Fédération de France
    et ex-ministre, et ancien responsable de la Wilaya VI.
    En 1992, l’ancien chef de service du contentieux au ministère de la Justice, pour rappel, a indiqué qu’il détenait des preuves de l’existence de magistrats faussaires : 132 dossiers de magistrats faussaires, ainsi que 328 noms de personnes dont les dossiers avaient disparu. À l’époque, Benyoucef Mellouk ne se doutait pas que de telles révélations allaient leur coûter cher, à lui et sa famille. Il avait été licencié, puis emprisonné, et continuait à subir intimidations et menaces.
    Aujourd’hui encore, il subit des menaces de la part “de certains hauts cadres politiques et de magistrats, concernés directement ou indirectement par l’affaire”. “Les historiques de la Révolution et les moudjahidine authentiques connaissent le dossier. Il faut qu’ils se prononcent tant qu’ils sont vivants”, a souligné, hier, M. Mellouk. Non sans rappeler qu’à l’issue de l’hommage rendu, le 30 mai dernier, à l’hôtel Safir, à Omar Boudaoud, il a interpellé certaines figures emblématiques de la Révolution, en particulier celles qui l’avaient soutenu dans un passé récent, en leur demandant de briser le silence, surtout d’“assainir les rangs des moudjahidine”. “Je leur ai dit aussi que j’étais victime du régime de la hogra, de l’injustice de la mafia politico-financière”, a-t-il poursuivi.
    D’après notre interlocuteur, des copies du dossier relatif aux magistrats faussaires ont été transmises à tous ceux censés pouvoir influer sur le cours de l’affaire, c’est-à-dire non seulement la présidence de la République, les Premiers ministres du temps de Belaïd Abdeslam, le ministère des Moudjahidine et l’Organisation nationale des moudjahidine, mais aussi les acteurs de la guerre de Libération nationale, à l’exemple des colonels Khatib, Bencherif et Laâbid.
    À la veille de la commémoration du 50e anniversaire de l’Indépendance politique de l’Algérie, Benyoucef Mellouk est toujours déterminé à faire la lumière sur un dossier commandé par sa hiérarchie. Une affaire encore pendante devant la Cour suprême.
    Par : Hafida Ameyar
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    J'espère qu'ils ont épuisé toutes les formes de hogra et de repression contre vous et votre famille MONSIEUR Mellouk. Je tremble pour vous car je crains qu' un chauffard bien bourré , commette contre vous un accident de la route, ou que vous ne soyez la prochaine "victime du terrorisme". Rabi maâke !
    Ce n’est pas parce qu’on a des idées fondées sur la religion qu’on est terroriste, et ce n’est pas parce qu’on se prétend moderniste ou démocrate qu’on ne l’est pas. Mahiou FFS assassiné le 4/11/1994

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    • #3
      Supprimez les rentes et avantages liées aux titres moudjahid , fils de chahid , fils de moudjahid , membre de la famille revolutionnaire etc , et comme par magie , les faussaires de tout bord n’auront aucune , mais absolument aucune envie a se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas , sinon ca continuera indefiniment … jusqu'à la prochaine colonisation !
      Ne le dites surtout a personne ! En Algerie , on refait les meme infrastructures de base ( routes , trottoirs , egouts , abris-bus etc ) a longueur d'année .

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      • #4
        La liste de Monsieur Mellouk doit être publiée et largement diffusée. Les noms de ces usurpateurs doivent être connu de tous les algériens. Ils doivent se taper la honte quand ils sortent dans la rue. C'est l'arme absolue pour ces gens li maye hachemouche.

        La honte pour le chef d'état et ses ministres de la justice et des moudjahidine qui se disent Moudjahed mais n’interviennent pas pour mettre en mouvement les actions nécessaires afin que ces usurpateurs et faussaires puissent assumer leur responsabilité devant les tribunaux comme tout accusé.

        P.

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        • #5
          Il revient sur l’affaire des faux moudjahidine Mellouk interpelle les historiques

          après les faux moudjahidines, les faux révolutionnaires, les faux fils de chahid, les fausses veuves de chahid, les faux historiens, les faux universitaires (de vrais cancres), les fausse victimes du terrorisme etc.. la vraie question est: que reste-t-il de vrai dans ce bled?
          le DRS contrôle toute la Galaxie

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