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FFS : trois anciens Premiers secrétaires accusent le parti de compromission avec le pouvoir
Le FFS a estimé, ce vendredi 22 juin, que des mesures d’ouverture politiques « sérieuses » de la part des « décideurs » sont « nécessaires » et « urgentes ». « Aujourd’hui, l’équation politique inédite issue de ce dernier scrutin est à évaluer sérieusement. Il est illusoire de penser que le score hégémonique du FLN est suffisant pour sortir des impasses du système », a affirmé Ali Laskri, Premier secrétaire national du parti, dans son intervention à l’ouverture de la session ordinaire du Conseil national du parti qui se tient à Alger. « N’ayez pas peur du changement ! Cessez de vous laisser guider par la peur du changement », a‑t‑il ajouté à l’adresse des décideurs du pays.
Consacré à l’analyse de la situation politique et de la campagne pour les législatives ainsi qu’à la restructuration du parti et au traitement des cas disciplinaires dont celui de l’ex‑Pemier secrétaire Karim Tabbou, le Conseil national a également été une occasion pour le FFS de régler ses comptes avec la presse et certains anciens responsables du parti, dont les ex‑Premiers secrétaires Ali Kerboua, Djoudi Mammeri et Mustapha Bouhadef. Ces derniers ont rendu publique une déclaration dans laquelle ils ont appelé à un rassemblement des énergies du parti (lire).
« Après les assassinats par balles, d’aucuns tentent aujourd’hui l’assassinat par la plume ; cette presse‑là a l’audace de se prétendre nationaliste, démocrate et, tenez‑vous bien, indépendante ! » a‑t‑il notamment dit sur les journalistes. « Quant à ces "ex" en rupture avec le parti depuis près d’une décennie, je les défie de quitter leur retraite dorée et de se présenter dans leurs fédérations. Ils auront ainsi l’occasion d’affronter les militants qui les ont portés et qu’ils ont honteusement abandonnés par la suite », a‑t‑il ironisé.
Pour le Premier secrétaire du FFS, le parti est la cible d’une campagne féroce dont l’objectif est sa destruction. « Tout s’explique avec le temps et le déroulement des événements. Je vous demande de prendre la mesure et la vraie dimension de cette campagne contre le FFS. Par sa durée, son ampleur et la palette des intervenants, impliqués ou recrutés, le véritable objectif visé n’est pas une décision politique du parti (…), mais deux options apparemment contradictoires : réaliser une OPA sur le parti ou, en cas d’échec, travailler à sa destruction ». « Oui, la direction du parti est prioritairement ciblée, le président lui‑même n’est pas épargné », dit‑il.
Dans ce contexte, Ali Laskri a annoncé que le traitement – prévu aujourd’hui – des cas de « ceux et celles qui dans le parti ont participé au travail de casse » se fera « dans la sérénité, le discernement et le respect des statuts et des instances du parti ».
Je refuse de croire que ces ex-FFS ont manifesté leur patriotisme pour leur parti plusieurs années après l'avoir quitté !
mais deux options apparemment contradictoires : réaliser une OPA sur le parti ou, en cas d’échec, travailler à sa destruction »
Rien qu'à la manière ces anciens dissidents du FFS ont manifesté leur désapprobation, on voit bien qu'ils veulent ni plus ni moins, faire imploser ce vieux parti.
Exactement la même scène dissension pour le parti FNA de Moussa Touati, qui a été empêché hier par ses opposants, de tenir son congrès à la salle ATLAS hier !
Et alors, et alors ?
Il fait son congrès en se réfugiant aujourd'hui avec ces 2000 participants dans un hôtel du complexe touristique Matarès (Tipaza)
On dit que le linge sale se lave toujours en famille.Mais, ce n'est point le cas en Algérie.
Conclusion :
Qui veux que ce genre de dissension éclatent au grand jour ?
A ceux qui gèrent la transition, au pretexte du risque d'anarchie et au risque islamiste... et qui ne veulemnt probabelment pas que les partis politiques puissent être un quelconque danger...
Les associations, organisation civiles et politiques sont minées de l'intérieur, quelques uns ont appuyés sur le bouton...
Khallatha tasfa... le crédo qui dure depuis trop longtemps sous ces cieux...
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