Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le fils d'Amirouche accuse Boussouf d'avoir assassiné son père

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • #46
    De plus étant donnée que Amirouche était en conflit avec le MALG
    Ah bon ?

    Je crois que certains n'ont pas compris qu'à l'époque tout était en crise. Le FLN, le GPRA, le CNRA. On a assisté à une lutte pour le pouvoir. L'affaire Amira montre bien que même pour désigner le président du GPRA c'était la merde.
    Et pour info, le MALG fait parti du GPRA car comme son nom l'indique c'est un ministère du GPRA.

    Commentaire


    • #47
      @eliamine

      SIi Amar Sakhri , ajouta Si Rachid Adjaoud ,pourra nous fournir de précieuses informations à ce sujet.

      Les Services D Ecoute Aux Destinees Desquels Presidait
      safer Khaled Et Ali Lalmani
      Firent Savoir A Leurs Superieurs Que L Ennemi Avait Dechiffre Les Messages Adresses Au Colonel Amirouche,qu Il Avait Repere La Position ,qu Il Avait Ordonne De Prendre Ce Dernier Vivant.
      Rien Ne Fut Fait Pour Avertir Amirouche.
      Plus Encore.
      Pour Avoir Voulu Denoncer Cette Trahison
      Ali Lalmani Purgea Un An De Prison.
      Quand On Saura Que Les Services De Transmission De 60 Codes Non Encore Utilises On Ne Peut S Empecher De Crier Au Risque De Passer Un An De Prison Comme Ali Lalmani
      "vous Avez Tue Le Colonel Amirouche Comme Vous Avez Assassine Abbane Ramdane"
      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

      Commentaire


      • #48
        Le FLN lui-même est un coup de force contre les Messalistes. On va demander alors combien de messalistes dans les maquis le FLN et en particulier Amirouche ont tués ?

        Commentaire


        • #49
          Le FLN lui-même est un coup de force contre les Messalistes. On va demander alors combien de messalistes dans les maquis le FLN et en particulier Amirouche ont tués ?
          c'est quoi ça ? une tentative pour justifier l'assassinat de Amirouche ? ou de détourner le sujet ?
          شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

          Commentaire


          • #50
            c'est quoi ça ? une tentative pour justifier l'assassinat de Amirouche ? ou de détourner le sujet ?
            Mais non. C'est juste qu'on dirait que vous n'avez rien compris à la guerre d'Algérie.

            Vous vous croyez chez les beni oui oui. Le FLN, déjà, à la base c'était un coup de force. Le FLN a voulu être le seul et unique interlocuteur. Il a éliminé ses ennemis. La suite c'est la même chose. Certains veulent être les seuls interlocuteurs et éliminent leurs ennemis même si rien n'est prouvé pour le cas d'Amirouche.

            Voilà.

            Commentaire


            • #51
              Vous vous croyez chez les beni oui oui. Le FLN, déjà, à la base c'était un coup de force. Le FLN a voulu être le seul et unique interlocuteur. Il a éliminé ses ennemis. La suite c'est la même chose. Certains veulent être les seuls interlocuteurs et éliminent leurs ennemis même si rien n'est prouvé pour le cas d'Amirouche.
              Que Amirouche paye de sa vie une lutte des clans est tout a fait normal dans une guerre , lui même ne cachait pas le but de son déplacement à Tunis , décapiter l'EMG, mais qu'on séquestre son corps ... là ça dépasse une lutte de clans.
              شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

              Commentaire


              • #52
                Que Amirouche paye de sa vie une lutte des clans est tout a fait normal dans une guerre , lui même ne cachait pas le but de son déplacement à Tunis , décapiter l'EMG, mais qu'on séquestre son corps ... là ça dépasse une lutte de clans.
                Quel était le but de son déplacement ?

                Commentaire


                • #53
                  Quel était le but de son déplacement ?
                  décapiter l'EMG , faire rentrer l'armée des frontières
                  شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

                  Commentaire


                  • #54
                    J'ai besoin de preuves car s'ils en voulaient qu'à Amirouche ils n'auraient pas tué El Haoues et encore moins cacher le corps de ce dernier. Sinon, les caches des dépouilles c'est quand même bien après leurs morts et en 1965 ! Donc, je ne comprendrais jamais pourquoi leurs dépouilles ont été déterrés puisque le pouvoir été déjà donné.
                    Dernière modification par Louny, 17 juillet 2012, 17h54.

                    Commentaire


                    • #55
                      Histo:
                      décapiter l'EMG , faire rentrer l'armée des frontières
                      l'EMG ne sera crée qu'en janvier 1960, alors que Amirouche est tombé au champ d'honneur en Mars 1959, donc comment pouvait il décapiter une chose qui n'existe pas encore à la date de sa mort

                      Commentaire


                      • #56
                        Une information diffamatoire sans fondements

                        Cette information diffamatoire n’a, pourtant, reçu aucune confirmation, après tant d’années qui séparent les évènements en cause de ce jour, de la part des ennemis de l’indépendance de l’Algérie, qui ont pris part à l’action militaire en cause.

                        S’il y avait un brin de vérité dans cette diffamation, tous les généraux de France et Navarre, tous les historiens militaires qui ont gardé la nostalgie de la colonisation et n’ont, jusqu’à présent, pas digéré leur défaite politique, n’auraient pas hésité non seulement à raconter les circonstances les plus secrètes de cette «histoire à dormir debout», mais également à donner le nom réel, ou, s’ils l’ignoraient, le nom de code de l’opérateur radio algérien qui aurait passé l’information, et le nom de l’opérateur ennemi qui l’aurait reçu, avec, évidemment, mention de son grade, de même que la longueur d’onde et la fréquence utilisées pour la communication !

                        Les écrits sur l’opération d’intoxication et de noyautage par le capitaine Léger ne manquent pas. Cet acte de barbarie et de fourberie est considéré comme l’un des grands faits de guerre de l’armée ennemie. Et il est certain que les écoles militaires tant de l’ancienne colonie que d’autres pays étudient avec intérêt cette action de déstabilisation «réussie ».

                        Mais, jusqu’à présent, ce que répètent les historiens qui font état de cette version de la mort de Amirouche et de Haoues, c’est seulement ce que certains Algériens continuent à ressasser, alors que cette version n’a rien, même pas le moindre indice, le moindre brin de preuve, si microscopique soit-elle, pour la soutenir !

                        Quelques détails sur la bataille de Djebel Thameur fournis par l’ennemi et confirmés par les témoins algériens

                        «La rencontre des escortes des deux colonels avec les forces coloniales était fortuite», comme le signale Farouk Zahi, dans un article rédigé à l’occasion du 50e anniversaire de la bataille du Djebel Thameur.

                        (http://www.**********.com/arti cles-15892-28-15380). En luimême, le combat qui a abouti à la mort de Amirouche et de Haoues n’a rien d’extraordinaire, en temps de guerre, dans son démarrage comme dans son déroulement et son issue. Un accrochage entre trois moudjahidine en arrière-garde, repérés par un avion d’observation ennemi, et une section ennemie les pourchassant, fait découvrir par l’ennemi la présence d’une importante unité de l’ALN. D’ailleurs, un petit commando isolé de l’ALN, en provenance de la Wilaya III et en mission en Wilaya VI, mieux camouflé, et dirigé par Omar Ramdane, l’ancien responsable du Forum des chefs d’entreprises, était dans les parages et avait échappé à la vigilance de l’ennemi.

                        Laissons des acteurs, ennemis, de cette tragédie, donner la suite des évènements. Voici ce qu’écrit sur un aspect de la bataille un officier ennemi du 6e Régiment de Parachutistes d’infanterie marine, commandé par le colonel Ducasse, et dont l’unité a participé au combat en même temps que 3 escadrons blindés, le 584e Régiment du commandant Waisse et le 126e Régiment d’infanterie composé de tirailleurs sénégalais, au total, environ 2 500 hommes du côté ennemi contre un maximum de 121 hommes du côté de l’ALN :

                        «Le 28 mars, une nouvelle fait rapidement le tour du régiment : Amirouche serait dans la région ! Les paras l'ont manqué de peu le 22 mars, mais ils ont capturé son secrétaire. Grâce aux renseignements obtenus auprès de la population, le colonel Ducasse a monté une opération malgré les réticences des autorités de secteur.

                        Dans l'aube naissante, les unités se mettent en place discrètement. Les paras sont à pied d'œuvre sur les pentes du Djebel Thameur. En silence, les paras gravissent les flancs de la montagne. Chaque compagnie s'infiltre dans le djebel et le fouille méticuleusement. À midi, l'ennemi, fixé, ne peut plus s'échapper. Le 6e RPIMa entre alors en action. Trois compagnies sont déployées : la 4e Cie à l'ouest, la "1" au centre et la "2" à l'est. En réserve, la "3". Les fells ajustent leurs coups comme à l'exercice. On grimpe en rampant, des hommes tombent...

                        Le combat est très dur. Il faut réduire séparément chaque nid de résistance. Une multitude de duels se livre de trou à trou. Les grenades détonent sèchement, les rafales crépitent... Les fells tentent un ultime baroud : 7 HLL sont tués et 3 prisonniers. L'un d'eux, terrorisé, déclare : «Je suis l'agent de liaison d'Amirouche». L'information circule : «Attention ! Amirouche porte une tenue camouflée et une casquette de parachutiste. Rien qui lui ressemble dans les morts et les prisonniers. Une compagnie reçoit la mission de fouiller la zone. Un rebelle est repéré dans un éboulis, au bord d'une falaise. Quatre paras l'ajustent et le criblent de balles. Le rebelle est habillé de la fameuse tenue camouflée, mais il n'a pas de casquette. Les paras sont pratiquement sûrs d'avoir tué Amirouche. Les traits ne sont pas altérés et le visage correspond bien aux photos de presse publiées à l'occasion des sinistres exploits du tueur. Plusieurs musettes contenant l'organigramme et des documents de la Willaya III semblent l'attester. Le colonel Ducasse en est persuadé quand des prisonniers confirment l'identité du mort.

                        Dès lors, c'est le défilé des autorités et des généraux (seul le général Massu passera un long moment avec les 7 blessés du régiment). Plus tard, 16 Kabyles identifieront formellement le corps.» Il s’agit là d’un récit sec, mais avec suffisamment de détails pour ne laisser aucun doute sur les circonstances de la mort, héroïque, faut-il le souligner ? du colonel Amirouche ! Dans un combat, ô combien inégal ? où à chaque moudjahid étaient opposés 20 soldats ennemis appuyés par un armement divers, puissant et sophistiqué, les djounoud et officiers algériens ont fait montre d’un courage sans borne. De quel courage doit faire preuve un adversaire appuyé par l’artillerie, les blindés, les hélicoptères lourds Sikorski, et une logistique abondante ? Dans cette bataille inégale, ce sont les moujahidine qui ont eu le dernier mot, même s’ils ont été décimés pratiquement jusqu’au dernier ! Cette bataille est un exemple de la disproportion des forces en présence pendant toute la guerre de Libération nationale et une réponse à tous les dénigreurs professionnels qui continuent à clamer haut et fort que l’Indépendance a été donnée aux Algériens !

                        extrait de la repons de Mourad Benachenou (ex MALG)





                        Le pauvre Noureddine se fait tjr mener par le bout du nez, si ce n'est pas Said Sadi, c'est Le journal ennahar et sa chaine TV qui roulent pour qui on le sait, qui tente d'exhumer la polémique qui a suivi la parution du livre roman de Said Sadi, dans le but de remettre en selle les politiciens du RCD qui se sont ffait devancer par leurs concurents.
                        Ce n’est pas parce qu’on a des idées fondées sur la religion qu’on est terroriste, et ce n’est pas parce qu’on se prétend moderniste ou démocrate qu’on ne l’est pas. Mahiou FFS assassiné le 4/11/1994

                        Commentaire


                        • #57
                          des questions se posent, premièrement quel est le nom de l'opérateur radio de Amirouche, deuxièmement pour quel raison l'opérateur radio de Amirouche entre en contacte avec le centre de transmission de l'Ouest alors que Amirouche se dirigeait en Tunisie. De plus étant donnée que Amirouche était en conflit avec le MALG, il aurait du s'abstenir de rentrer en contacte avec la MALG, c'était un homme intelligent, c'est pas un novice il est dans la clandestinité depuis trop longtemps pour tomber si facilement dans un tel piège.

                          Commentaire

                          Chargement...
                          X