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Nacer Boukharouba (frère de Boumedienne) s'attaqué à Rebrab

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  • #46
    Citation:qui aujourd’hui possède des monopoles nationaux très lucratifs ...
    qui aujourd’hui possède des monopoles nationaux très lucratifs ...
    Or, personne ne semble s'en émouvoir ici.
    si, mais on risque d'aller rallonger la liste des disparus ou celle des accidentés de la route, ou encore celle des victimes du terrorisme.
    Ce n’est pas parce qu’on a des idées fondées sur la religion qu’on est terroriste, et ce n’est pas parce qu’on se prétend moderniste ou démocrate qu’on ne l’est pas. Mahiou FFS assassiné le 4/11/1994

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    • #47
      qui aujourd’hui possède des monopoles nationaux très lucratifs ...
      Quels monopoles , le sucre ? l'huile ? les monopoles ne sont tolérés nulle part , dans les pays capitalistes , on fait tout pour les casser , c'est le communisme de retour
      Alors , soit l'état encourage d'autres a investir dans les mêmes créneaux , soit l'état partitionne l'entreprise en question qui veut détenir le monopole en deux entreprises ou plus pour favoriser la compétition dans le marché ...

      Si vraiment , il a le monopole , et que l'état ne fait rien , la , l'état est complice dans la magouille :22:

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      • #48
        le processus décrit par le prof Boukherouba n'est pas spécifique à l'Algérie, les USA au lendemain de la guerre de sécession à la fin du XIX° a connu un tel processus (période du capitalisme sauvage, faite de monopole (trust) Rabrab est à l'image d'un Rockfeller pendant cette période, et l'état américain grâce à ses commandes publiques pour reconstruire le pays a fait leur fortune. La Fed qui était dominé par le grands banquiers de la cote Est à l'image de Jp morgan and co, controlant ainsi l'économie par le biais du taux d’intérêt. Mais l’État américain a réagit au début du XX°, en votant des lois anti-monopole( anti trust). Mais le problême chez nous c'est que ces monopole à la difference des USA se font par l'importation massive et non par la production (Rabrab (cevital) ne produit rien, il ne fait que du packaging et de la distribution de produit importer, et participe à l'évasion massive de devises.

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        • #49
          Mise au point Quand un débat tourne au dénigrement

          Vous avez publié, dans votre édition du 26 juillet 2012, sous le titre «C’est la mode en Algérie de dénigrer la période étatique», un article signé de M. N. Boukharouba. Dans son texte, l’auteur se livre à des accusations diffamatoires à mon encontre et y puise la justification de sa position doctrinale.


          Je me demande pourquoi l’auteur de l’article se garde de me citer nommément alors qu’il a tout fait pour que le lecteur me reconnaisse. Je me pose surtout la question de la finalité de son attaque contre le secteur privé national productif et celle d’avoir voulu le faire à travers le dénigrement de ma personne, sans même faire l’effort de prendre connaissance de mon réel parcours d’entrepreneur.
          L’auteur profère en effet, de graves accusations à mon encontre et selon lesquelles l’essor de Cevital, le groupe dont je suis le fondateur, trouverait son fondement dans des «crédits de l’Etat généreusement alloués» qu’il n’aurait «jamais remboursés» et qu’il jouirait de «monopoles très lucratifs».

          Comme toute entreprise, Cevital recourt parfois, pour les besoins de son développement, au crédit bancaire. Il s’agit de crédits de banques publiques. Ainsi, Metalsider (qui a précédé Cevital) a sollicité, à la fin des années 1980, un crédit auprès de la BNA pour l’accompagner dans la réalisation du projet sidérurgique de Larbaa déjà réalisé à 75% sur fonds propres et grâce au cash-flow de l’entreprise Profilor, que j’avais créée en 1975. Après constat de visu de l’avancement du projet, la BNA a accordé à Metalsider un crédit de 50 millions de dinars pour l’acquisition d’équipements supplémentaires pour compléter les installations du complexe.
          Ce crédit a été intégralement remboursé en respectant l’échéancier établi par la BNA. De plus, et en raison de la dévaluation ultérieure du dinar algérien, nous avons remboursé plus de 450 millions de dinars pour compenser les pertes de change. Le groupe Cevital, monsieur Boukharouba, n’a aucune dette envers l’Etat ou envers une banque publique.

          Au contraire, par sa contribution fiscale, le groupe alimente régulièrement les caisses de l’Etat. Deuxième exportateur, il est aussi deuxième contribuable après Sonatrach. Outre l’emploi de dizaines de milliers de collaborateurs, les richesses créées par le groupe sont ainsi réparties : 59% en impôts et taxes, 40% en investissements et 1% en dividendes distribués aux actionnaires.
          S’agissant de monopole, rappelons à M. Boukharouba que cette situation ne peut se produire que dans le cas où la loi réserve à une entreprise l’exclusivité de fabriquer ou de commercialiser un produit sur un marché donné. Ce n’est pas le cas de Cevital qui opère dans un contexte de marché ouvert. Il faut faire la différence entre un monopole et une position de leader ! Le groupe peut, en effet, sans disposer d’un monopole, occuper une position dominante dans certains secteurs.

          Dans l’huile de table, par exemple, cette position a été acquise à la faveur d’importants investissements qui ont permis au groupe Cevital d’atteindre une taille et un niveau de productivité de standards internationaux. Cet avantage industriel lui a permis de se hisser au niveau de deuxième exportateur national, après Sonatrach, tout en assurant au marché national des produits aux meilleurs coûts avec un niveau de qualité parmi les meilleurs au monde. Cevital a ainsi pu renforcer sa position concurrentielle vis-à-vis des importateurs, des autres producteurs nationaux, de la multinationale saoudienne (Savola) installée en Algérie, tout en fournissant au consommateur algérien un choix comparable à celui des Européens des prix difficiles à battre. Grâce à cela, Cevital est aussi compétitif à l’exportation.
          C’est la philosophie qui guide les projets de développement de Cevital : faire passer l’Algérie de position d’importateur net à celle d’exportateur. Comme aujourd’hui dans le sucre, l’huile, le verre plat et demain dans l’électroménager, le groupe entend valoriser les avantages concurrentiels de l’Algérie. Il est incompréhensible que l’Algérie ne soit pas déjà exportateur dans le ciment, l’industrie pétrochimique, la sidérurgie, l’industrie pharmaceutique, etc.

          Les confrontations d’idéologies cachant souvent des confrontations d’intérêts inavoués, Cevital n’entend pas intervenir dans un débat doctrinal. Elle se contente d’assurer son utilité sociale et son efficacité économique dans le contexte national qu’elle appelle à s’améliorer. C’est à cela que son expérience et la mienne devraient être appréciées. Afin de lui permettre de se faire une idée dénuée de préjugés idéologiques ou sectaires, je me ferai un plaisir de faire parvenir à M. Boukharouba l’ouvrage de Taïeb Hafsi qui relate mon itinéraire de 40 ans d’efforts et d’embûches. Il y apprendra, par ailleurs, que «le père de sa connaissance» n’a jamais été mon employeur mais un des clients de mon cabinet d’expertise comptable.
          En matière de choix économiques, pour moi le maître-mot du débat devrait être celui de la compétitivité et non pas de camper sur des positions doctrinales qui ne feront que cliver davantage les Algériens entre eux.

          C’est en s’éloignant des controverses qui n’ont plus cours aujourd’hui que les débats pourront éclairer l’opinion sur les vrais enjeux du pays. C’est un impératif majeur, car l’Algérie a déjà perdu trop de temps et traîne en queue de peloton dans la plupart des classements internationaux. En misant sur nos atouts compétitifs, nous avons encore la possibilité de redresser la situation et de remettre l’économie algérienne sur les rails d’une croissance soutenue. Mais il faut le faire sans délai!

          J’observe, pour terminer, que, pour des gens pratiques comme moi l’expérience historique a tranché la question : si l’opérateur public reste pertinent pour certains objectifs et dans certaines circonstances, la pratique a établi le rôle incontournable de l’initiative privée et de la liberté d’entreprendre dans le développement économique et social des nations. Nous regrettons beaucoup les propos de M. Boukharouba. Heureusement, beaucoup d’universitaires algériens, loin des professionnels de l’invective, apportent aujourd’hui leurs contributions au débat sur la relance de l’économie algérienne et les moyens de donner à notre pays une vraie ambition industrielle. Un débat peut être contradictoire, mais n’a pas besoin pour cela d’utiliser l’injure et la désinformation.

          Issad Rebrab. Président du groupe Cevital
          elwatan
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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          • #50
            privé/public, les deux faces d'une même pièce

            secteur privé national productif
            ELLE est belle celle-là, quand des statistiques des plus officiels d'une enquête menée rondement revèle avec grand fracas la vacuité de l'économie algérienne et que tous le monde est dans l'import -import, secteur public compris,après chacun à son échelon: du "caba" TATI au monopole national exclusif !

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            • #51
              sommes nous si curieux ou peu instruits de notre histoire ?

              Nacer comme le fils de BOUDIAF et BOUKHAROUBA de Guelma comme un parent possible de BOUMEDIENE

              en wikipédiant j'ai relu la biographie, non offcielle de notre illustre communiste. Avec BOUTEFLIKA il partage le nom de deux frères : ABDELLAH et SAID. Point de NACER...

              se prétendre frère d'une grosse huile pour s'en prendre à notre khou de CEVITAL ce n'est que pour la friture.

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              • #52
                LES meilleurs de nos "industriels" ne font au max que dans le conditionnement voire du montage, le reste n'est que du babillage

                Commentaire


                • #53
                  Il aurait été plus honnête de poster la mis au point suivante , en quelque sorte un droit de réponse .


                  Mise au point

                  Quand un débat tourne au dénigrement


                  le 12.08.12 | 10h00

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                  Vous avez publié, dans votre édition du 26 juillet 2012, sous le titre «C’est la mode en Algérie de dénigrer la période étatique», un article signé de M. N. Boukharouba. Dans son texte, l’auteur se livre à des accusations diffamatoires à mon encontre et y puise la justification de sa position doctrinale.


                  Je me demande pourquoi l’auteur de l’article se garde de me citer nommément alors qu’il a tout fait pour que le lecteur me reconnaisse. Je me pose surtout la question de la finalité de son attaque contre le secteur privé national productif et celle d’avoir voulu le faire à travers le dénigrement de ma personne, sans même faire l’effort de prendre connaissance de mon réel parcours d’entrepreneur.
                  L’auteur profère en effet, de graves accusations à mon encontre et selon lesquelles l’essor de Cevital, le groupe dont je suis le fondateur, trouverait son fondement dans des «crédits de l’Etat généreusement alloués» qu’il n’aurait «jamais remboursés» et qu’il jouirait de «monopoles très lucratifs».
                  Comme toute entreprise, Cevital recourt parfois, pour les besoins de son développement, au crédit bancaire. Il s’agit de crédits de banques publiques. Ainsi, Metalsider (qui a précédé Cevital) a sollicité, à la fin des années 1980, un crédit auprès de la BNA pour l’accompagner dans la réalisation du projet sidérurgique de Larbaa déjà réalisé à 75% sur fonds propres et grâce au cash-flow de l’entreprise Profilor, que j’avais créée en 1975. Après constat de visu de l’avancement du projet, la BNA a accordé à Metalsider un crédit de 50 millions de dinars pour l’acquisition d’équipements supplémentaires pour compléter les installations du complexe.
                  Ce crédit a été intégralement remboursé en respectant l’échéancier établi par la BNA. De plus, et en raison de la dévaluation ultérieure du dinar algérien, nous avons remboursé plus de 450 millions de dinars pour compenser les pertes de change. Le groupe Cevital, monsieur Boukharouba, n’a aucune dette envers l’Etat ou envers une banque publique.
                  Au contraire, par sa contribution fiscale, le groupe alimente régulièrement les caisses de l’Etat. Deuxième exportateur, il est aussi deuxième contribuable après Sonatrach. Outre l’emploi de dizaines de milliers de collaborateurs, les richesses créées par le groupe sont ainsi réparties : 59% en impôts et taxes, 40% en investissements et 1% en dividendes distribués aux actionnaires.
                  S’agissant de monopole, rappelons à M. Boukharouba que cette situation ne peut se produire que dans le cas où la loi réserve à une entreprise l’exclusivité de fabriquer ou de commercialiser un produit sur un marché donné. Ce n’est pas le cas de Cevital qui opère dans un contexte de marché ouvert. Il faut faire la différence entre un monopole et une position de leader ! Le groupe peut, en effet, sans disposer d’un monopole, occuper une position dominante dans certains secteurs.
                  Dans l’huile de table, par exemple, cette position a été acquise à la faveur d’importants investissements qui ont permis au groupe Cevital d’atteindre une taille et un niveau de productivité de standards internationaux. Cet avantage industriel lui a permis de se hisser au niveau de deuxième exportateur national, après Sonatrach, tout en assurant au marché national des produits aux meilleurs coûts avec un niveau de qualité parmi les meilleurs au monde. Cevital a ainsi pu renforcer sa position concurrentielle vis-à-vis des importateurs, des autres producteurs nationaux, de la multinationale saoudienne (Savola) installée en Algérie, tout en fournissant au consommateur algérien un choix comparable à celui des Européens des prix difficiles à battre. Grâce à cela, Cevital est aussi compétitif à l’exportation.
                  C’est la philosophie qui guide les projets de développement de Cevital : faire passer l’Algérie de position d’importateur net à celle d’exportateur. Comme aujourd’hui dans le sucre, l’huile, le verre plat et demain dans l’électroménager, le groupe entend valoriser les avantages concurrentiels de l’Algérie. Il est incompréhensible que l’Algérie ne soit pas déjà exportateur dans le ciment, l’industrie pétrochimique, la sidérurgie, l’industrie pharmaceutique, etc.
                  Les confrontations d’idéologies cachant souvent des confrontations d’intérêts inavoués, Cevital n’entend pas intervenir dans un débat doctrinal. Elle se contente d’assurer son utilité sociale et son efficacité économique dans le contexte national qu’elle appelle à s’améliorer. C’est à cela que son expérience et la mienne devraient être appréciées. Afin de lui permettre de se faire une idée dénuée de préjugés idéologiques ou sectaires, je me ferai un plaisir de faire parvenir à M. Boukharouba l’ouvrage de Taïeb Hafsi qui relate mon itinéraire de 40 ans d’efforts et d’embûches. Il y apprendra, par ailleurs, que «le père de sa connaissance» n’a jamais été mon employeur mais un des clients de mon cabinet d’expertise comptable.
                  En matière de choix économiques, pour moi le maître-mot du débat devrait être celui de la compétitivité et non pas de camper sur des positions doctrinales qui ne feront que cliver davantage les Algériens entre eux.
                  C’est en s’éloignant des controverses qui n’ont plus cours aujourd’hui que les débats pourront éclairer l’opinion sur les vrais enjeux du pays. C’est un impératif majeur, car l’Algérie a déjà perdu trop de temps et traîne en queue de peloton dans la plupart des classements internationaux. En misant sur nos atouts compétitifs, nous avons encore la possibilité de redresser la situation et de remettre l’économie algérienne sur les rails d’une croissance soutenue. Mais il faut le faire sans délai!
                  J’observe, pour terminer, que, pour des gens pratiques comme moi l’expérience historique a tranché la question : si l’opérateur public reste pertinent pour certains objectifs et dans certaines circonstances, la pratique a établi le rôle incontournable de l’initiative privée et de la liberté d’entreprendre dans le développement économique et social des nations. Nous regrettons beaucoup les propos de M. Boukharouba. Heureusement, beaucoup d’universitaires algériens, loin des professionnels de l’invective, apportent aujourd’hui leurs contributions au débat sur la relance de l’économie algérienne et les moyens de donner à notre pays une vraie ambition industrielle. Un débat peut être contradictoire, mais n’a pas besoin pour cela d’utiliser l’injure et la désinformation.

                  Issad Rebrab. Président du groupe Cevital

                  " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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                  • #54
                    Foutaise

                    S’agissant de monopole, rappelons à M. Boukharouba que cette situation ne peut se produire que dans le cas où la loi réserve à une entreprise l’exclusivité de fabriquer ou de commercialiser un produit sur un marché donné. Ce n’est pas le cas de Cevital qui opère dans un contexte de marché ouvert. Il faut faire la différence entre un monopole et une position de leader ! Le groupe peut, en effet, sans disposer d’un monopole, occuper une position dominante dans certains secteurs.

                    Dans l’huile de table, par exemple, cette position a été acquise à la faveur d’importants investissements qui ont permis au groupe Cevital d’atteindre une taille et un niveau de productivité de standards internationaux.

                    Avec 70% ou 80% du marché en main d'une seule firme, c'est un monopole de fait qui est exercé et je crois savoir qu'il existe des lois qui interdisent cela, y compris dans les pays les plus capitalistes de la planète.

                    Les américains n'ont pas mis des réglementations anti-trust pour rien.



                    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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                    • #55
                      Envoyé par el-harrachi
                      Les américains n'ont pas mis des réglementations anti-trust pour rien.

                      Et de loin, là où ils se montrent le plus intransigeant, deux histoires emblématiques de démantèlement sans état d'âme de multinationales américaines bien qu' à elles seules elles dominaient le monde :
                      Démantèlement de la boite "Nylon", leader mondiale de la chimie à l'époque de son formidable envolée dans les années 50,
                      Et rebelote Avec le géant informatique IBM du temps où Microsoft, Apple... ne croquaient pas encore des milliards de $, mais de la macintosh non stop au fond de leurs garages crasseux
                      Dernière modification par pioto, 12 août 2012, 18h32.

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                      • #56
                        @Pioto

                        Exact. Mais, Mr. Rebrab lui nous prend pour des bourriques selon ce que je lis. J'aurais préféré qu'il continue à jouir de son monopole et se taise.
                        "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

                        Commentaire


                        • #57
                          Exact. Mais, Mr. Rebrab lui nous prend pour des bourriques selon ce que je lis. J'aurais préféré qu'il continue à jouir de son monopole et se taise.
                          Moi j'ai jamais cru à cette ascension vertigineuse d'un potentat pardon magnat local,toujours j'ai dit "khalifa empire" répétita
                          Donc jamais bluffé par nos torchons qui l’ensorcelaient comme du temps de Khalifa
                          Dernière modification par pioto, 12 août 2012, 17h13.

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                          • #58
                            Il faut faire la différence entre un monopole et une position de leader !
                            Et dire que cette replique sanglante de rebrab s'adresse a un "docteur" formé au USA !!! ( j'espere tout de meme que c'est pas en economie !) .

                            Cevital a ainsi pu renforcer sa position concurrentielle vis-à-vis des importateurs, des autres producteurs nationaux, de la multinationale saoudienne (Savola) installée en Algérie,
                            Un des tords de Rebrab est de bloquer les prix de tout ses produits pendant la periode du ramadan , obligeant de faite ses innombrables concurrents a ne pas les augmenter , et ca , on ne le lui pardonnera jamais !

                            PS : 1) pour ceux qui n'ont pas d'arrieres pensées ideologiques ou racistes , voici des exemples de monopoles réels en algerie :
                            - Algerie telecom , sonelgaz
                            - Rail , cnies aeriennes et maritime , toute la siderrurgie , petrochime etc

                            2) Qu'esce qui retiens une "multinationale comme SAVOLA" , qui a une usine taa zit a oran , pour ceux qui ne le savent pas , d'avoir une politique agressive des prix , pour detronner et casser le "monopole" de CEVITAL l'algerien ? precher , c'est une chose , nourrir et vetir tout un peuple , c'est autrement plus difficile , surtout depuis la revolution industrielle et la mondialisation .
                            Ne le dites surtout a personne ! En Algerie , on refait les meme infrastructures de base ( routes , trottoirs , egouts , abris-bus etc ) a longueur d'année .

                            Commentaire


                            • #59
                              Exact. Mais, Mr. Rebrab lui nous prend pour des bourriques selon ce que je lis. J'aurais préféré qu'il continue à jouir de son monopole et se taise.
                              Ouais! Le monopole devrait rester monopole des barons de l'import import!...
                              "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

                              Commentaire


                              • #60
                                Critiques, racisme et régionnalisme

                                Envoyé par fouad-dz
                                pour ceux qui n'ont pas d'arrieres pensées ideologiques ou racistes
                                J'ai jamais auparavant voulu me laisser glisser dans une polémique sur les origines ou les alliances entre Algériens, mais aujourd'hui je te réponds franchement ça suffit; qu'une critique se porte sur un responsable kabyle civil ou militaire, homme d'affaire ou autre homme public et de suite certains accusent son auteur d'un racisme anti-kabyle.C'est franchement minable.
                                Moi dans mon quartier, mes amis ma propre famille,mon frère est marié à une kabyle qui parlait le dialecte arabe avec un accent et aujourd'hui elle est très heureuse avec son mari et ses adorables enfants, moi j'ai failli me marier à une beugeote, rabi ma kathabch,...
                                A moins le fait d'être Kabyle dispense de toute critique sauf s'il répond pas à tes voeux et criteres et là tu es le premier à lui tomber dessus,de le taxer du "Kabyle de service"....Dommage
                                Dernière modification par pioto, 12 août 2012, 19h16.

                                Commentaire

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