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Ceux qui changent et les autres

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  • Ceux qui changent et les autres

    Par Maâmar Farah
    Dans les années 1970, beaucoup de journalistes pondaient des tartines pour glorifier Boumediène. Aujourd’hui, ils le descendent en flammes ! Silence et bouche cousue : c’est déshonorant de dire qu’on a soutenu le «dictateur» !
    Rebelote dans les années 1990. Cette fois-ci, la presse s’invente un nouveau héros : Khaled Nezzar. Mais, une fois l’homme descendu de son piédestal, voilà que les louangeurs d’hier se mettent à lui tirer dessus. Nul doute que le jour où M. Bouteflika quittera El-Mouradia, beaucoup parmi ses actuels courtisans se transformeront en redoutables ennemis qui feront le procès de son bilan avec une méchanceté qui l’étonnera lui-même ! Quant à nous, et comme pour Boumediène ou Khaled Nezzar, nous n’aurons aucune raison de changer. Critiques vis-à-vis de sa politique depuis 1999, nous avons su — et nous saurons — éviter la méchanceté gratuite qui est l’arme des faibles !
    [email protected]
    «Il a changé de clan, pour une bouchée de pain.»
    (Proverbe berbère)
    Coucher du soleil à Agadir

  • #2
    c’est déshonorant de dire qu’on a soutenu le «dictateur»
    Pathétique MF! Pour lui, il ne faut pas changer! Danseuse du ventre un jour, danseuse du ventre toujours!.. Mais bon, ce billet est surtout motivé parce qu'il a reçu comme email d'indignation suite à ceci!
    "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

    Commentaire


    • #3
      Où plutôt celà,voir mon 1er post

      Envoyé par hben
      Pathétique MF! Pour lui, il ne faut pas changer! Danseuse du ventre un jour, danseuse du ventre toujours!.. Mais bon, ce billet est surtout motivé parce qu'il a reçu comme email d'indignation suite à ceci!
      voilà l'échange de courriers que j'ai eu avec M.Farah il y a à peine deux heures, à chacun d'apprécier !

      à maamarfarah20
      Une réflexion d'un citoyen sur votre éditorial intitulé:À M. le juge helvétique…


      Voilà notre éditorialiste M. Farah rappelé à sonner le tocsin et volait au secours de un
      de ses maîtres putschistes en abois devant une juridiction que lui réfute son "droit à ne pas répondre à la justice".
      Ce qu'est malheureux est que cette coterie de pisse-copies n'ont rien perdu de leur esprit clanique et 20 ans plus tard des crimes impunis des généraux, ils usent des mêmes formules et méprisent le reste des morts en ne se rappelant en une litanie de noms,avec mes respects pour tous les morts, que les leurs et ceux qui se croient faire partie du giron de ce qu'ils ont appelés honteusement "l'Algérie utile" !

      Farah Amar [email protected]
      22:26 (Il y a 2 heures)

      à moi


      Dans la vie, il y a toujours deux choix, pas trois : si on est contre l’intervention de l’armée en 1992 c’est qu’on est forcément pour l’état fasciste vert. Le problème n’est pas d’être un supporter du général X ou Y. Vous savez, comme moi, qu’il y a des pourris dans ces lilieux-là. C’est de l’institution militaire que nous parlons, l’ANP épine dorsale de ce pays qui a sauvé la république. Il se trouve que le général Nezzar était à sa tête. Tout le reste est littérature

      Je vous réponds par le billet qui doit sortir demain

      Cordialement

      Maamar

      LE BONJOUR DU SOIR

      L’horreur à nos portes !


      En novembre 1999, nous consacrions un billet à l’exécution d’une femme – elle s’appelait Zarmeena et avait 7 enfants - au stade de Kaboul devant 30.000 spectateurs. Et nous concluions : « Kaboul n’est pas bien loin… » Oui, elle est à nos portes aujourd’hui… A Aguelhok, au Nord Mali, un couple vient d’être lapidé à mort et un homme amputé du bras ! Les nouveaux Talibans brulent les mausolées des saints locaux et imposent la terreur.

      Femmes algériennes, voilà à quoi vous avez échappé lorsque l’armée a décidé de stopper un jeu électoral suicidaire. J’en connais qui s’entrainaient déjà à manier le fouet pour vous flageller à la moindre incartade vestimentaire. Vous ne remercierez jamais assez Khaled Nezzar et les autres acteurs du redressement républicain de janvier 1992. Mais je vois que vous avez tout oublié alors que le danger est là, qui guette… Manifestez-vous en condamnant les crimes des islamistes au Mali et en apportant votre soutien aux hommes que le pouvoir abandonne aujourd’hui à une pseudo justice étrangère, raciste et revancharde !

      [email protected]
      italic
      "L'ennemi ne se changera pas en ami, ni le son en farine."
      Proverbe berbère
      Dernière modification par pioto, 12 août 2012, 01h05.

      Commentaire

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