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Pour la deuxième journée de suite, les citoyens du village Izarrouken ont procédé, dans la matinée d’hier lundi, à la fermeture des sièges de l’APC et de la daïra. Ceci pour montrer aux autorités la gravité de la situation dans laquelle ils vivent, mais aussi pour exprimer leur colère, vu qu’ils n’ont pas eu de réponse claire concernant leurs revendications, après leur 1ère action menée dimanche dernier.
Les villageois réclament, principalement, la réfection de la piste principale de leur village, laquelle, selon eux, est impraticable et gravement endommagé. « Les autorités locale ont proposé juste un rafistolage de cette piste, chose que nous refusons, nous voulons sa réhabilitation complète », a précisé un des protestataires. De plus, les villageois réclament également de l’eau dans leurs foyers, absente de leurs robinets depuis un bon moment.
« Nous vivons dans la misère et le dénuement total, les routes de notre village sont impraticables. De plus, avec la canicule qui sévit, nous n’avons pas d’eau dans nos robinets depuis plus de 20 jours.
C’est une vraie souffrance », a expliqué un homme d’un âgé avancé parmi la foule de protestataires.
Les villageois s’indignent également contre l’absence de l’éclairage public dans leur village.
Du côté des autorités locales, on estime que les revendications des villageois sont légitimes, et que l’APC fait tout ce qu’elle peut, avec des moyens réduits. Néanmoins, les responsables municipaux avouent qu’ils ne peuvent pas répondre à toutes les attentes uniquement sur le budget communal. « Pour le manque d’eau potable, c’est un problème du ressort de l’ADE », dira un responsable, ajoutant que ça ne concerne pas uniquement le village Izarrouken, mais toute la commune de Makouda et même toutes celles du coté nord de la wilaya.
Le P/APC a, par ailleurs, promis de soulever toutes les revendications des villageois aux autorités wilayales et d’insister pour résoudre leur problèmes. Les villageois, très en colère, semblent prêts maintenir leur action jusqu'à l’obtention d’un engagement officiel, de la part des autorités, pour « la réfection de la piste du village Izarrouken, l’acheminement régulier de l’eau potable ainsi que la réalisation de l’éclairage public au village ».
Rachida A.
Les villageois réclament, principalement, la réfection de la piste principale de leur village, laquelle, selon eux, est impraticable et gravement endommagé. « Les autorités locale ont proposé juste un rafistolage de cette piste, chose que nous refusons, nous voulons sa réhabilitation complète », a précisé un des protestataires. De plus, les villageois réclament également de l’eau dans leurs foyers, absente de leurs robinets depuis un bon moment.
« Nous vivons dans la misère et le dénuement total, les routes de notre village sont impraticables. De plus, avec la canicule qui sévit, nous n’avons pas d’eau dans nos robinets depuis plus de 20 jours.
C’est une vraie souffrance », a expliqué un homme d’un âgé avancé parmi la foule de protestataires.
Les villageois s’indignent également contre l’absence de l’éclairage public dans leur village.
Du côté des autorités locales, on estime que les revendications des villageois sont légitimes, et que l’APC fait tout ce qu’elle peut, avec des moyens réduits. Néanmoins, les responsables municipaux avouent qu’ils ne peuvent pas répondre à toutes les attentes uniquement sur le budget communal. « Pour le manque d’eau potable, c’est un problème du ressort de l’ADE », dira un responsable, ajoutant que ça ne concerne pas uniquement le village Izarrouken, mais toute la commune de Makouda et même toutes celles du coté nord de la wilaya.
Le P/APC a, par ailleurs, promis de soulever toutes les revendications des villageois aux autorités wilayales et d’insister pour résoudre leur problèmes. Les villageois, très en colère, semblent prêts maintenir leur action jusqu'à l’obtention d’un engagement officiel, de la part des autorités, pour « la réfection de la piste du village Izarrouken, l’acheminement régulier de l’eau potable ainsi que la réalisation de l’éclairage public au village ».
Rachida A.
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