non j'ai pas dit tt la population mais je t'assure que certaine population convaincu par le fis soutenait ses groupes armés soit par peur soit par amour et dévouement renseigne toi dans les village environ de chlef boufaik jjel surnomés manatak mouharrara
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Le F.IS. est-il toujours légitime à vos yeux?
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Non la population dormait e t se cachait ; elle ne pouvait rien faire elle était parfois complice des tueries et massacres
Elles ont continué à travailler , à enseigner , alors que certains hommes se cachaient, fuyaient à l'etranger, d'autres ont retourné leur veste, certes , mais la majorité , chacun à sa maniére a resisté, aidant les services de sécurité et l'ANP , par des renseignements ; et ne serait-ce que par des encouragement et des remerciements pour leur présence sur le terrain .Dernière modification par Iska, 30 novembre 2012, 12h45." Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "
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@Sap
toi tu n'a pas vécu cette situation,je peux te citer le cas de certain village ou le s habitants héberger les terroristes et les soutenaient
toi tu vis pas en Algérie
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@Pangeen
A l'époque, l'alternative était le FFS mais le pouvoir despotique avait tout fait pour montrer le FFS comme un parti kabyle afin d'orienter le choix vers le FIS.
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Envoyé par prenpalateteUne implantation plus ancrée du F.F.S. dans le reste du territoire aurait été une alternative crédible pour tous les citoyens algeriens qui se reconnaissaient dans ses valeurs,un long travail de terrain est encore possible,mais cela demandera du temps et une politique volontariste de la part de ses militants.
Aujourd'hui que les esprits commencent à s'ouvrir et qu'une prise de conscience commence à se faire, le FFS remporte des sièges, parfois même des majorités, dans les communes dites arabophones ( Dommage que le FFS de 2012 n'est pas celui des années 90 ( depuis le congrès 2000, le FFS a été dompté et est devenu à l'image du faux fln ).
Nous pouvons toujours continuer à espérer.
P.
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Ce n'était pas faute d'implantation car dès le début, le FFS était présent dans la plupart de nos wilayas mais avec notre unique chaîne à endoctriner ( Entv ), le FFS était toujours montré comme un parti kabyle. Avec une culture nationale de la haine du kabyle, le résultat était celui que nous connaissons.
Aujourd'hui que les esprits commencent à s'ouvrir et qu'une prise de conscience commence à se faire, le FFS remporte des sièges, parfois même des majorités, dans les communes dites arabophones ( Dommage que le FFS de 2012 n'est pas celui des années 90 ( depuis le congrès 2000, le FFS a été dompté et est devenu à l'image du faux fln ).
Nous pouvons toujours continuer à espérer.
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__________________________________________Ce n’est pas parce qu’on a des idées fondées sur la religion qu’on est terroriste, et ce n’est pas parce qu’on se prétend moderniste ou démocrate qu’on ne l’est pas. Mahiou FFS assassiné le 4/11/1994
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Envoyé par prenpalateteJe ne crois pas que le F.F.S perçu comme un parti kabyle uniquement soit l'oeuvre de l'E.N.T.V.,pour qui je n'ai aucune sympathie ni respect par ailleurs, mais bel et bien d'un ancrage insuffisant sur le territoire national.Si on examine rapidement le cas d'El Khroub on voit qu'un ancien ministre (dont je ne connais pas quelle pouvait être son affiliation à un autre parti auparavant)peut rafler la mise,donc cela laisse supposer qu'un travail de terrain à l'échelle nationale dans le but de "pêcher" des personnalités ayant des capacités d'entraîner des citoyens et de les mobiliser sur des valeurs en lesquelles ils se reconnaissent et qui ont été de tout temps portées par le F.F.S. ,peut à moyen et long terme être porteur pour le F.F.S et les valeurs qu'il incarne.
Ce capital historique des années 60 a fait que, dès le début de la pseudo ouverture démocratique de 1989, le FFS a réussi son implantation à l'échelle nationale malheureusement, aux élections, les suffrages n'étaient là qu'en Kabylie actuelle.
Aux législatives avortées de 1991-1992, au premier tour, le FFS était deuxième après le FIS devant le FLN.
P.
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