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L'armée bombarde le site gazier

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  • @Nassim

    Les politiciens occidentaux ont beaucoup critiqué les russes sur la brutalité de la gestion l'affaire de BESLAN.

    Mais les spécialistes d'intervention dans le monde, eux, ont été beaucoup moins catégorique que les politiciens.

    En effet, ils affirment grosso modo, que lorsque tu es en face à des gens qui ont décidé de mourir (comme le cas de BESLAN, Doubrovka), il faut partir du principe que potentiellement tous les otages peuvent mourir". Les Navy steal, GIGN ou autres, n'aurait peut-être pas pu faire mieux !

    D'ailleurs, dans le cas de Doubrovka, 130 personnes ont été tué certes, mais 600 ont été libérés.

    C'est notre cas ici aussi.

    Mais, est-ce que la prise d'otage est pour autant terminé ????
    Dernière modification par absent, 17 janvier 2013, 16h59.

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    • @nourraja
      elles vont pas traînées l'armée devant les tribunaux, mais B oui devant ses responsabilités
      Éclairer les nations encore obscures.

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      • ALGERIE: Paracomandos
        Dernière modification par MEK, 17 janvier 2013, 17h21.

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        • Il n' y a rien , juste écran noir .

          Cela doit être les commandos de souk ahras .
          Trés renommés .
          " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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          • Laisser les médias braire dans les info contradictoires et débiles ...
            La vérité de ce qui se passe à In Menas , y a qui sont sur place qui la connaissent
            Penser aux otages , ce sont des êtres humains en danger , prier Dieu de les sauver de ces zombies assoifés de sang
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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            • Censuré
              Dernière modification par abdelbaki, 05 janvier 2015, 05h41.

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              • @Same22
                17 h 28 : David Cameron reproche aux Algériens d'avoir mené l'assaut sans concertation et se dit "extrêmement inquiet". Selon Reuters, le premier ministre britannique, David Cameron, s'est déclaré "extrêmement inquiet" auprès de son homologue algérien, après le début de l'opération de sauvetage, d'une situation qu'il qualifie de "très grave et dangereuse". M. Cameron a affirmé qu'il aurait souhaité être prévenu par les autorités algériennes avant l'assaut. Le gouverment algérien a répondu avoir dû agir "immédiatement", selon le bureau de M. Cameron.
                ils nous emm...dent ces anglais avec des réactions de vieilles dames autour d'un five o'clock!et leur :oh choking!!!!sauf qu'on est à gerer une situation des plus explosive ,au sens propre et figurée!

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                • Lui aussi Cameron aurait fait pareil pour son pays

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                  • @Aloha
                    Et sans doute pire!marre de ces dirigeants occidentaux qui ont des centaines de millier de mort sur la conscience et qui viennent jouer aux vierges effarouchées avec nous!

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                    • Intox !

                      L'information était de l'intox, El Watan a mis la tête en premier dans le mur !



                      ../..
                      “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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                      • Envoyé par Inata
                        Concernant, les terroristes, je ne crois pas que l'etat ait fermé les yeux
                        Biensûr que si. Sinon, comment expliques-tu par exemple que le massif de Sidi Ali Bounab près d'Alger soit resté un fief terroriste pendant plus de 15 ans? Comment expliques-tu le fait que Mokthar Belmokhtar, le chef du groupe terroriste à l'origine de l'attaque du site gazier à Ain Amenas, ait près de 20 ans d'expérience dans le terrorisme en Algérie (de 1993 à ce jour)?

                        Le pouvoir algérien n'est pas seulement incompétent dans la lutte contre le terrorisme. Il est aussi odieux envers ses propres soldats et agents des services de sécurité. Depuis qu'il est au pouvoir, Bouteflika ne s'est par exemple jamais exprimé publiquement après un massacre visant des civils ou des militaires pour présenter ses condoléances aux familles des victimes, rassurer le peuple algérien et remonter le moral de ses troupes (militaires et autres agents des forces de sécurité).

                        En plus de son titre de président, l'incompétent Bouteflika s'est accordé le poste clé de ministre de la Défense alors que ce poste aurait dû être accordé à un vrai patriote qui sait apprécier et motiver ses troupes.

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                        • posté par nassim
                          Depuis qu'il est au pouvoir, Bouteflika ne s'est par exemple jamais exprimé publiquement après un massacre visant des civils ou des militaires pour présenter ses condoléances aux familles des victimes,
                          .
                          Exacte !
                          constat , particulièrement qui avait retenu l attention tout le monde
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                          • les forces spéciales russes
                            Attendez un peu...
                            Les forces spéciales russes sont en réalités des unités de combat, leur vrai rôle n'est donc pas sauver la vie de qui conque, au contraire, c'est un boutoir, une force brute et brutale qui a pour seul but d'envoyer en enfer les individus incriminés ! Les Russes ne font pas dans la dentelle, c'est pas leur psychologie. Ces unités sont faites pour faire du rentre-dedans, éliminer tout ce qui bouge, par n'importe quel moyen, ça peut être des troupes ennemis, un commandos ennemi, un bataillon ennemi, prendre ou tenir une position indéfendable. Ils sont pas là pour de la parlote. Les Russes estiment que cette phase viens avant cela, parlote il y a, par des gens compétents, et les russes il en avaient des psychiatres, des psy en pagaille ! Mais si passé un certain délai, passé un certain point, si les preneurs d'otages restent hermétiques, c'est fini, rien n’arrêtes les Omon ! Ils viennent c'est pour faire le ménage... le ménage total !
                            Les occidentaux ont une autre approche, c'est que vous connaissez du Swat, des Navy Seals... C'est une autre culture !

                            Pour ce qui est de l'Algérie, je regrette, je pense qu'il nous faut certainement le modèle américain, mais je pense également qu'on doit faire très attention au message de guerre. L'ennemi, qui qu'il soit, doit savoir qu'attaquer notre souveraineté, nos installations énergétiques, il n'y a nulle négociation à attendre, nulle faille à cherche, nulle fuite ou replis possible... seule la mort est au bout du chemin !

                            Des centaines de salariés algériens ont été libérés et autant d'étrangers que cela était possible !

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                            • Les détails sur l'assaut sur le complexe de Tiguentourine

                              Les détails sur l'assaut sur le complexe de Tiguentourine

                              Mercredi 16 janvier, un groupe d'une trentaine de terroristes, provenant de Libye, s'attaque à un bus transportant des expatriés de divers nationalités appartenant tant aux entreprises Statoil que BP et JGC. L'attaque fait un mort parmi les forces de sécurité, deux expatriés sont mortellement blessés, mais la riposte énergique des gendarmes de l'escorte, vite rejoints par leurs collègues de la base, fait battre en retraite les terroristes.
                              Saisissant l'occasion de la sortie en catastrophe des renforts de la base ils foncent vers les portes du complexe qui comporte plusieurs bases de vie et le centre de pompage et de traitement du Gaz.
                              Arrivés au portes ils menacent le garde pour qu'il leur permette l'accès. Le jeune Amine Lahmar refuse catégoriquement et parviens même à donner l'alerte avant d'être exécuté par les terroristes d'une balle dans la tête. Porte fermés, le groupe criminel utilise un de véhicules comme voiture bélier, la barrière finit par céder, les terroristes se scindent en deux groupes, l'un se dirige vers la salle de supervision du site, l'autre vise en priorité le camps de base des japonais de JGC, ils seront les premiers à êtres sortis. S'en suivra une visite systématiques des chalets et autres cabines sahariennes se trouvant dans la zone résidentielle.

                              Prenant conscience de l'ampleur de l'attaque les opérateurs de la salle de contrôle décident de couper la pression et mettre à l'abri les installations et éviter les explosions, au moins un Américain est dans la salle, il sera tout de suite capturé par les terroristes. Ils donnent l'ordre de remettre en marche les installation, les employés Algériens font face et disent non!
                              Dehors la base est vite encerclée par les éléments de la Gendarmerie, le plan des assaillant qui voulaient pour une partie fuir avec des otages tombe à l'eau, ils se replient une seconde fois sur la zone résidentielle et se réorganisent. Commencent à trier les otages par nationalité, les nords américains, les français et les britanniques sont les plus recherchés, les philippins et les thailandais, nombreux sur le site sont enfermés dans leurs baraquements, les otages Algériens sont eux aussi enfermés. A Tiguentourine, il y a 650 travailleurs dont 132 étrangers.
                              Très tôt un état-major de crise est installé à Alger, comprenant des envoyés des différents corps de sécurité et de renseignement ils comprennent rapidement qu'il faut agir, une consigne préliminaire est donnée pour empêcher la fuite des terroristes, la destruction des installation et la récupération de tous les otages. Il est décidé d'envoyer le groupe d'assaut du GIS Alger, ils seront rejoint par le groupe d'assaut du GIS Tamanrasset. Deux Hercules c130 et deux Casa décollent vers 11h de l'aéroport militaire de Boufarik, direction In Amenas.
                              Tassili Airlines assure l'évacuation du personnel qui n'était pas sur le site ou qui a pu s'échapper, des avions sont dépêchés sur place et très vite l'Aéroport d'In Amenas est fermé pour saturation du parking. De Biskra deux Mi24 Superhind décollent pour In Amenas, des hélicoptères de transport ramènent dans leurs soutes des paras de Biskra et du matériel.
                              Arrivés sur place, les hommes du GIS sont étonnés de trouver un détachement du DSI au complet en pleine préparation. Des ordres auraient été donnés par la haute hiérarchie de la gendarmerie pour faire participer le groupe d'assaut des "verts", un groupe très bien entraîné mais à qui manquait l'épreuve du feu.
                              Les gendarmes se sentant coupables de défaillance promettent de régler l'affaire pour se rattraper.
                              Ce qui aurait pu tourner à la guerre des services a été un grand moment de solidarité inter-armes. L'idée d'un assaut combiné GIS-DSI-Paras émerge à la nuit tombée.
                              Une nuit de préparation et d'étude des cartes du site, qui est scruté et filmé depuis le ciel par des drones Algériens et des hélicoptères, n'a pas permis d'évaluer avec précision la puissance de feu des terroristes et leurs points de renfort.
                              Des éclaireurs du GIS s'infiltrent à l'intérieur du site, ils doivent se faire voir et attirer le feu de l'ennemi pour pouvoir l'évaluer. Mission accomplie sans problèmes, mieux cette action a permis de reprendre le poste de police à l'entrée du site et libérer quelques otages dont des étrangers.
                              A quelques dizaines de kilomètres des lieux, l'ANP se déploie en force, un bataillon de T90, venant probablement de Batna est déployé entre le site et la frontière libyenne, l'espace aérien est clos au dessus de la région et l'aviation est en alerte. l'on craint un coup tordu venant de Libye.
                              La nuit permet au terroristes de se préparer, une stratégie se dessine dans leurs rang, revenir au plan initial, fuir avec les otages les plus "précieux" vers la Libye en jouant à fond la carte médiatique. Des otages Européens sont sommés d'appeler leurs proches, voir des médias de leurs pays pour transmettre un message d'apaisement et insister sur la nécessité de négocier. La pression internationale comme carburant. Les terroristes quant à eux contactent des médias "amis" comme Al Jazeera ou les agences Sahara Média ou ANI qui sont devenus les portes paroles de l'AQMI et du MUJAO. La deuxième partie du plan est de poursuivre avec un second groupe d'otages l'abcès de fixation à l'intérieur du complexe gazier avec une destruction du site à la clé.
                              La nuit passe sans que les forces spéciales ne donnent l'assaut. Pas d'ordres d'en haut ou pas d'occasion franche, nul ne peux le dire pour le moment.
                              En milieu de matinée, plusieurs groupes d'otages parviennent à s'enfuir, les terroristes sont tétanisés et ne quittent pas leurs positions, face à eux des tireurs d'élite tirent sans volonté de toucher pour marquer leur présence invisible et limiter les mouvements des "tangos". Des étrangers font partie des otages évadés.
                              En milieu de journée, les terroristes préparent cinq Toyota Station, entassent des vivres et des munitions, ils placent dedans un nombre d'otages, tous portent une ceinture d'explosifs.
                              Peu après 13h les véhicules qui ont démarrés en convoi espacé foncent en trombe vers la sortie du site et se retrouvent très vite dans le no man's land séparant la zone résidentielle du complexe gazier. A plusieurs centaines de mètres d'eux, presque invisible, un Mi 24 surveille la manœuvre grâce à ses puissantes caméras, l'officier d'armement reçoit l'ordre de détruire le convois, le terrain s'y prête il n'y a aucune installation sensible à proximité ni de regroupement de civils. Le Superhind tire deux, puis trois missiles à guidage laser Ingwee sur les trois véhicules de queue qui explosent sur le champs, pris de panique, ne voyant pas la provenance des tirs, les terroristes de tête se font exploser.


                              L'ordre d'assaut est donné, pas le choix, l'hélicoptère opère un tir de saturation vers la zone résidentielle, il ne vise rien ni personne mais crée un mur de feu. Simultanément des snipers du GIS et du DSI lachent une salve de balles précisent et tuent sur le champs une partie du commando, des paras avancent en tirant eux aussi, les opérateurs du GIS profitent de cette diversion pour prendre à revers le reste du commando se trouvant dans la zone résidentielle. Les 11 terroristes présents sont abattus, le camps de base est totalement sous contrôle. 600 otages sont libérés suite à ce premier assaut, parmi lesquels une centaine d'étrangers, une trentaine d'otages sont perdus.
                              Aucune blessé n'est à déplorer du coté des forces spéciales. Le DSI s'offre son baptême du feu aux cotés de certains opérateurs du GIS qui avaient traqué dix ans auparavant les preneurs d'otages des touristes suisses et allemands aux confins du Sahara.
                              A l'heure où ces lignes sont écrites, le second groupe terroriste retranché dans les installations gazières est encerclé par les forces spéciales, qui cette fois privilégient la négociation vu la configuration du terrain. Une douzaine de terroristes menacent retiennent toujours vingtaine d'otages.
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                              artemis33

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