Où est passé Abdelkader el Mali ??
Biographie officielle :
En 1960, le Commandant Abdelaziz Bouteflika est affecté aux frontières méridionales du pays pour commander le «front du Mali » dont la création entrait dans le cadre des mesures visant à faire échec aux entreprises de division du pays de la part de la puissance coloniale; ce qui lui vaudra le nom de guerre de Si Abdelkader El Mali.
Benchicou, témoignages à l’appui, démystifie cet attribut de gloriole que Bouteflika et ses thuriféraires aiment souvent à marteler, à savoir d’avoir structuré un front de lutte au Mali. L’affectation, nous apprend Benchicou, n’est, en vérité que punition. Affecté, fin 1960, à Ghardimaou, Bouteflika s’en est allé plutôt se balader en Espagne et en Italie. Des semaines durant. Il n’officiera, non plus, pas au Mali. « Tout n’a été que sornettes dans ce fameux front du Mali : le front lui-même, les troupes fictives et, surtout, le sobriquet ‘Abdelkader El Mali’, relève le commandant Azzedine, qui suivait l’opération depuis Ghardimaou. Bouteflika n’a supporté ni l’isolement ni les difficiles conditions de vie. Quelques semaines après que Kaïd Ahmed les eut installés, Abdelaziz Bouteflika disparut du Mali. Sans laisser d’adresse. Il n’a séjourné au Mali que le temps de déposer ses bagages. » Où était-il allé ?
« Azzedine mettra quarante-deux ans pour avoir la clé de l’énigme de la bouche d’un ami intime de Bouteflika : le fugueur vivait à Tanger, où il avait une relation sentimentale. » Deux fugues de suite, donc. Ceci, pour le passé.
Abdelkader el Mali connait bien la région. Oui, c'est ça. Il n'y est resté que sept jours et est parti à Tanger faire la bringue. Boumediene l'a cherché pendant neuf mois.
Biographie officielle :
En 1960, le Commandant Abdelaziz Bouteflika est affecté aux frontières méridionales du pays pour commander le «front du Mali » dont la création entrait dans le cadre des mesures visant à faire échec aux entreprises de division du pays de la part de la puissance coloniale; ce qui lui vaudra le nom de guerre de Si Abdelkader El Mali.
Benchicou, témoignages à l’appui, démystifie cet attribut de gloriole que Bouteflika et ses thuriféraires aiment souvent à marteler, à savoir d’avoir structuré un front de lutte au Mali. L’affectation, nous apprend Benchicou, n’est, en vérité que punition. Affecté, fin 1960, à Ghardimaou, Bouteflika s’en est allé plutôt se balader en Espagne et en Italie. Des semaines durant. Il n’officiera, non plus, pas au Mali. « Tout n’a été que sornettes dans ce fameux front du Mali : le front lui-même, les troupes fictives et, surtout, le sobriquet ‘Abdelkader El Mali’, relève le commandant Azzedine, qui suivait l’opération depuis Ghardimaou. Bouteflika n’a supporté ni l’isolement ni les difficiles conditions de vie. Quelques semaines après que Kaïd Ahmed les eut installés, Abdelaziz Bouteflika disparut du Mali. Sans laisser d’adresse. Il n’a séjourné au Mali que le temps de déposer ses bagages. » Où était-il allé ?
« Azzedine mettra quarante-deux ans pour avoir la clé de l’énigme de la bouche d’un ami intime de Bouteflika : le fugueur vivait à Tanger, où il avait une relation sentimentale. » Deux fugues de suite, donc. Ceci, pour le passé.
Abdelkader el Mali connait bien la région. Oui, c'est ça. Il n'y est resté que sept jours et est parti à Tanger faire la bringue. Boumediene l'a cherché pendant neuf mois.
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