Avortement en Algérie : Crime et omerta!

[absent]

@ nassim

Sauf qu'en Algérie, l'avortement concerne surtout les femmes tombées enceintes dans des relations hors-mariage et pas de viol surtout. la vraie victime est l'enfant né hors mariage en Algérie. Il serait soit donné a l'hopital ou bien jetté comm on l'entend souvent.

[wouhou]

Les femmes des pays avancés et intelligents ont ce droit depuis des décennies. En Algérie, les politicards corrompus et ignares préfèrent ignorer la misère des femmes algériennes qui doivent risquer leur vie dans le cadre d'un avortement clandestin.

A bon ces femmes sont avancées parce qu'elles ont le droit d'avorter drôle de conception du modernisme.

Sache quand Irlande, Malte, au Venezuela, Chili etc.. les femmes n'ont non plus pas ce "droit". C'est très réducteur de penser que les politiques et les populations sont ignares parce que l'on autorise pas cela.

C'est la porte ouverte à n'importe quoi, là ou l'on pourrez l’autoriser c'est en cas de viol, d'inceste ou de risque de malformations et handicaps sévère.

C'est surtout l’éducation chez les jeunes qui faut revoir et les prévenir des conséquences et des risques.

[nassim]

là ou l'on pourrez l’autoriser c'est en cas de viol, d'inceste

Justement, je soulevais la contradiction à ce sujet dans mon message plus haut. Pourquoi autoriser l'avortement en cas de viol et d'inceste, et pas dans les autres cas? Un embryon conçu suite à un viol ou un inceste est doté lui aussi d'une vie sacrée. Ne faut-t-il pas forcer les filles/femmes victimes de viol ou d'inceste à mener leur grossesses à terme et à avoir des enfants issus de viol et d'inceste?

C'est pour dire que c'est à la femme que doit revenir la décision de poursuivre ou non une grossesse qui se déroule dans son propre utérus, et non aux politicards ou à la société. D'où la notion de droit à l'avortement.

Sauf qu'en Algérie, l'avortement concerne surtout les femmes tombées enceintes dans des relations hors-mariage et pas de viol surtout.

Je ne connais pas le pourcentage de grossesses issues de viol ou d'inceste en Algérie, mais il est évident qu'elles en existent.
En légalisant l'avortement en tant que droit fondamental de la femme algérienne, on fera par exemple en sorte que les filles/femmes victimes de viol/inceste ne soient pas forcées à subir une autre épreuve difficile en les forçant à prouver qu'elles sont été victimes de viol ou d'inceste.