Remaniement gouvernemental dès après l'aïd

[Stanislas]

Le quotidien la voix de l'Oranie annonce un probable changement de gouvernement

Extraits :

Selon nombre d'observateurs politiques, le chef de l'Etat pourrait se passer des services du secrétaire général du RND M. Ahmed Ouyahia. Sa place au Palais du gouvernement reviendrait à un technocrate, économiste de formation, d'après les mêmes sources.

cet exécutif n'aura aucune connotation politique. Autrement dit, la coalition gouvernementale actuelle, à savoir le FLN le RND et le MSP, n'aura d'existence politique qu'à l'intérieur de l'Assemblée populaire nationale (APN). C'est justement dans ce même cadre qu'il serait très probable que le chef de l'Etat se passerait des services du secrétaire général du RND M. Ahmed Ouyahia et confierait sa place au palais du gouvernement à un technocrate, économiste de formation d'après les observateurs. Trois noms circulent déjà dans le microcosme algérois. Il s'agit de M. Benachenhou (actuel ministre des Finances), le conseiller économique du président M. Hamid Temmar ainsi que l'actuel ministre de l'Environnement M. Cherif Rahmani.

Lle départ du gouvernement de M. Ouyahia interviendrait quelques jours après l'aïd el-fitr. Selon nos sources, le remaniement en question aura lieu après l'adoption de la loi de finances par le Conseil de la nation.

http://www.loranie.com/data/1099792423.html

Je ne vois de changements notables, que des anciens dinausores du cerail
qu'on recycle! ou est la place des jeunes ?

[Anonymous]

comme le chantait si bien brassens...les copains d'abord!!!!!!!!!!!

[Harrachi78]

Entre nous, quel que soit le gouvernement, son chef ou ses ministre, ils danceront tous au rythme des sauts d'humeur de Boutef ! Tant pis pour eux et apres tout c'est un job avec un bon salaire que d'etre ministre !

[Gharib38]

Boutef va prendre une cuilliere et remuer un peu dans sa marmite.
Le gout ne changera pas, sa Chorba a ete toujours assez"salée"!

[riquetoi]

alors tu crois en la politique de notre pays Stanislas!
tu sais que ma yebka fi loued ghir hjarou
tout passe et repasse sauf les decideurs assoiffes resent a leurs places.

dani

[Stanislas]

Bonsoir

le site d'informations Algérie confidentiel analyse les chances des ministres a rester dans le prochain gouvernement. J'ai bien apprécié, car il traite les cotés positifs et negatifs. Pour exemple voici celui de Zerhouni




Nouredine Yazid Zerhouni
Ministre d’état, ministre de l’intérieur et des collectivités locales

POUR
Discret et réservé, l’ancien numéro 2 de la sécurité militaire algérienne (1965-1982) a géré de manière pragmatique l’après - inondations de Bab El Oued (2001) et l’après Séisme (2003) à Boumerdes où son département a réagi efficacement dans le relogement des sinistrés. Il a également verrouillé un ministère en pleine débandade, notamment dans la gestion des wilayas et les APC/APW, où la mafia du foncier avait des ramifications jusque dans les hautes sphères de l’administration. Plus de 30 walis radiés, plus de 500 maires suspendus et traduits en justice, Zerhouni a assaini un secteur crucial pour le développement local.


CONTRE
L’image de Zerhouni est indissociable de la gestion chaotique de la crise en Kabylie. Le ministre de l’intérieur y a multiplié les bourdes et s’est aliéné de manière irréversible les délégués des Arrouchs. Conséquence : le retour d’Ouyahia l’a dessaisi de ce dossier et a marginalisé l’homme fort du gouvernement, ce qui a amené Bouteflika à suivre son premier ministre. L’affaire Sadaoui a davantage brouillée son image.


STAFF
Réputé intransigeant, le ministre gère d’une main de fer son département. Si son chef de cabinet, Mohamed Chorfa est un ancien de la boite, il ne pèse pas autant que Mohamed Moulay Gendil, le secrétaire général du MICL qui assure le lien avec les walis. Eclaboussé par une campagne de presse, le secrétaire général serait en disgrâce. D’autres conseillers tels que Abdelhak Bouattoura, chargé de la communication et de Benhadj qui demeure à son poste stratégique au département des libertés sont parmi les hommes forts du ministère


CHANCES
Maintes fois donné partant, soit pour des divergences avec Benflis, son impopularité ou pour des raisons de santé, Zerhouni est toutefois inamovible. On voit mal le président se séparer de son homme de confiance à l’approche d’échéances électorales importantes en 2004. Même si Zerhouni pourrait être appelé auprès du président, en tant que chef de cabinet, et permuterait, ainsi, avec Larbi Belkheir qui prendrait l’intérieur

Pour les autres voici le lien complet :
http://www.algerieconfidentiel.com/A...=7&Art=102

[morjane]

Azul stan,

Là je n'ai pas le temps de tout lire maintenant mais merci pour le lien. Cela intéressera ma curiosité et je verrais ainsi si je pense la même chose.
Je ne crois pas non plus que cela apportera un grand changement . boutef est au pouvoir et les autres ne sont là que pour éxécuter alors c'est bonnet blancs et blancs bonnets mais bon. Il y a tant de nouvelles réformes qui sont en court peut être cela impulsera un air nouveau... Je peux rêver!

P.S. je ne connaissais pas ce site.

[amelle]

Il y a tant de nouvelles réformes qui sont en court peut être cela impulsera un air nouveau... Je peux rêver!

Effectivement tu peux rêver

[superted]

salut stan,

où est donc la grande reforme de l'etat promis par ton idole boutef !??
il etait question de donner des prerogatives aux elus locaux par exemple ! de regionaliser !!etc....

quoi de neuf ,?

[Blackmore]

Selon nombre d'observateurs politiques, ......

......... attablés à un café maure , sirotant un Naqous ou bien affalés sur le comptoir d'un bar , éclusant un enième Whisky .

Hé Stan , ça ne sert à rien de fouiller dans ce sac à m**** qu'est le pouvoir algérien . :wink:

[nassim]

J'ai bien apprécié, car il traite les cotés positifs et negatifs

Cette pseudo analyse date de 2003. Pour qu'elle soit crédible, ils auraient au moins pu la mettre à jour et tenir compte de la nouvelle donne (réélection de Boutef).

Quant au "POUR" de l'analyse, elle est totalement subjectif dans la mesure où ils ne donnent pas de données chiffrées sur les retombées réelles des limogeages cités. Quand on connait la partialité et l'autoritarisme du minable Zerhouni, on devine facilement que ce n'était que des réglements de compte du genre : "Tu n'es pas d'accord avec moi (et Boutef), alors je te vire", loin de tout projet d'amélioration de l'image de l'administration et du service publique.