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L’appel à un quatrième mandat de Bouteflika relève de l’indécence

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  • L’appel à un quatrième mandat de Bouteflika relève de l’indécence

    Après avoir été parmi les tout premiers, aux côtés de son collègue au gouvernement, Amar Ghoul, à plaider pour une quatrième mandature de suite pour le président de la République, le secrétaire général du Mouvement Populaire Algérien (MPA) se rétracte quelque peu en considérant «d’indécente» toute exhortation du président de la République à rempiler une quatrième fois.

    Le temps est au recadrage dans le discours pour Amara Benyounès qui donne tout l’air d’avoir été un peu plus vite que la «symphonie ambiante». Il l’a dit à Constantine, samedi dernier à l’occasion d’un regroupement des élus locaux du parti de l’est du pays, et il l’a ressassé hier». «Si le président Bouteflika annonce son intention de se porter candidat pour un quatrième mandat consécutif, il aura notre soutien absolu», a-t-il déclaré hier au Forum hebdomadaire du quotidien Liberté. Et d’enchaîner par affirmer que la question des mandatures est un faux débat, lui qui considère la limitation des mandats «loin d’être un critère de démocratie», prenant l’exemple de plusieurs pays où les mandats électoraux du président de la République sont limités, sans pour autant que ces Etats soient des modèles de démocratie et inversement. Le patron du MPA s’interrogera sur le fait que les partisans de la limitation des mandats électoraux le limitent au seul président de la République et ne l’élargissent pas aux mandats locaux (APC et APW) où des élus locaux collectionnent selon lui, les mandatures sans que personne trouve à redire. Et de décocher des flèches aux partisans du départ du président de la République, notamment ceux qui appellent tout simplement à sa destitution pour «incapacité physique» en les accusant de «compter sur d’autres parties» et de «ne pas connaître la société algérienne». Mais qu’ils se détrompent, poursuivra-t-il, «l’ère des coups d’Etat est révolue».

    «Nous ne sommes pas des demi-pensionnaires du soutien à Bouteflika et nous n’avons rien négocié en contrepartie de notre soutien de 2004 et de 2009», rétorquera-t-il à l’accusation selon laquelle son soutien à Bouteflika est loin d’être désintéressé. Et si jamais Bouteflika décidait à rentrer chez lui ? Dans ce cas, Benyounès soutiendra être en face de deux hypothèses que les instances du parti qui sortiront du congrès extraordinaire prévu fin juin prochain, auront à étudier. «Soit présenter le candidat du parti, à la présidentielle d’avril 2014 ou soutenir un candidat en dehors des rangs du parti mais qui serait proche de nos thèses», dira-t-il.


    «Que ceux qui sont contre la candidature de Bouteflika pour un quatrième mandat se présentent alors», poursuivra le ministre de l’Environnement pour qui «la politique n’est pas une affaire de biologie». Abordant les scandales de corruption qui éclatent en série ces jours-ci, le premier responsable du MPA invitera à laisser «la justice faire son travail», reprenant un passage du président de la République à propos, en affirmant qu’aucun Algérien n’est au-dessus de la justice». Il égratignera la presse qui éventre ces affaires en affirmant qu’elle «n’a pas le droit de juger les gens, de condamner ou de disculper quiconque» pour éviter, selon lui, «les règlements de comptes et la chasse aux sorcières». Affirmant que l’islamisme politique est finissant même s’il met l’islamisation rampante de la société sur le compte d’une simple religiosité, exprimant le souhait que cela n’aille pas au-delà, Benyounès estime que la politisation de la religion est rejetée par les populations». Ce qui constitue, à ses yeux, une autre «exception algérienne», se se privant pas, cependant, à plaider pour le maintien du Sénat et son fameux tiers présidentiel contre, dira-t-il, toute velléité de remise en cause du caractère démocratique et républicain de l’Etat, pierre angulaire et élément non négociable, selon lui, qui doit figurer en bonne place dans la première loi du pays.


    Mohamed Kebci - Alger (Le Soir)

  • #2
    wallahi, moi, qui a été anti FIS à l'extrême, je commence à regretter qu'il n'ait pas explosé tous ces pourris !
    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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    • #3
      On est à esperer une mort par vieillesse bienfaitrice pour l'Algérie, et que que ceux qui s'accrochent à ce radeau pourri s'y noient.
      وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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      • #4
        Que c'est mimi de voir une danseuse du ventre verser dans "L'opposition"
        "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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        • #5
          «la politique n’est pas une affaire de biologie»
          l'environnment si c'est une affaire de biologie et non une affaire de mécanique et réaction en chaine theorique...faire exploser une bombe atomique sur le papier et ensuite calculer ss effets..

          soyant serieux

          un homme politique doit être un ex patron qui a au moins dans son actif 5 ouvriers a diriger..au cours de son parcours de 10 ans d'activité il connait tous les rouages de la production de l'import de l'export de la fiscalité de la comptabilité du terrorisme aussi de la sécurité ...un homme politique ex salarial un fonctionnaire qui fait la navette durant 40 ans entre sa maison et son bureau en attendant le comptable lui faire le virement de son salaire, comment hamaldikoum pourra t'il comprendre les rouage de la politique et faire un programme politique pour
          30 millions d'habitants?? c'est une lourde responsabilité..tout un ratage qui conduira a une récession grave de l'économie va conduire les uns au suicide et pousser lEs autres au crimes..un homme politique ignorant peut générer contre lui des criminels..qui sera le responsable le criminel qui va dire on m'a pousser ou l'homme politique qui va dire je ne le savais pas ce n'était pas mon domaine???
          Dernière modification par tina6, 09 avril 2013, 18h18.

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          • #6
            c est mathematiquement .medicalement. scientifiquement .divinement impossible

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            • #7
              c est mathematiquement .medicalement. scientifiquement .divinement impossible
              C'est vrai pour notre president mais comme meme l'ancienne generaton a été maté par le droitures..ce n'etait pas facile de concurencer les colons avec le soutients asiatique et americains...l'ancienne generation merite le respect dans tous les sens..concernant la présidence vue la situation actuelle je ne vois pas l'utilité d'un quatriemme mandat.. il va perdre l'estime de l'histoire vaux mieux se retier comme le feu Chadli et laisser son passif propre..
              mais rien ne les empeche lui et ces compagnons d'investire le senat et se constituer un écu de protection pour les enfants algeriens....
              car l'islame est en recule et l'individu commence a oser dépasser les bornes rien ne va le retenir..avant c'etait la peur de Dieu et le rects des grands maintenant le nombre d'agression sur ascendant est entrain de monter en fléche...si l'algerie rate cette sortie ou entrée elle va basculer et avec les cellules dormante ça va s'mpirer..un odrmant c'est quelqu'un qui va perdre espoire et se reveiller car le temps est contre lui

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              • #8
                il partira quoi qu il en soit par la grande porte !il beneficie d un capital sympatie indiscutable!

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                • #9
                  NOnnnnnnnnnnn y en marreeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

                  mais ils n'ont vraiment pas peur que le pays explose mais dans ce cas la
                  on va le partager c'est mieux que chacun prenne son morceau et
                  qu'ils aillent au diable
                  Dernière modification par ramane, 09 avril 2013, 20h35.

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