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L’état de santé du président Abdelaziz Bouteflika nécessitera une période de convalescence après sa sortie de l’hôpital du Val-de-Grâce d’au moins 15 jours, a appris TSA de sources proches de l’entourage du chef de l’Etat. Une période qu’il pourrait passer en Suisse, en compagnie de sa famille.
Selon nos sources, le staff médical du président Bouteflika lui a conseillé de se rendre dans l’hôpital militaire français non seulement pour y subir des examens supplémentaires, mais surtout pour être maintenu sous observation médicale pour voir l’évolution de son état de santé après l’accident ischémique transitoire (AIT) dont il a été victime samedi à la mi-journée.
Avant son accident, le chef de l’Etat était très en colère après la publication d’informations mettant en cause son frère Saïd dans des affaires de corruption, puis son limogeage de son poste de conseiller à la présidence de la République. « Il a été très affecté par ces rumeurs. Il est entré dans une colère noire. Il a même demandé d’où pouvaient venir ces informations qui ciblent directement un membre de sa famille de manière violente », expliquent nos sources, qui ne veulent pas toutefois lier cette colère à l’AIT subi par le Président. L’anxiété et l’angoisse peuvent en effet être des facteurs déclencheurs d’un tel accident.
Selon nos sources, la présidence de la République a pris la décision de communiquer officiellement sur l’état de santé du chef de l’Etat pour deux raisons. « D’abord, montrer que le problème n’est pas grave. Ensuite, parce que l’entourage du Président était convaincu que l’information allait fuiter dans les médias français. Ils ont donc décidé de prendre les devants », expliquent-elles. Les mêmes sources minimisent l’impact de cet incident de santé sur les projets politiques du président Bouteflika.
Ce dimanche, le professeur Rachid Bougherbal a affirmé que l’état de santé du président Abdelaziz Bouteflika « évolue bien » et n’a subi « aucune lésion irréversible ». Le président de la République « n’a pas subi de séquelles irréversibles », a précisé à APS le professeur Bougherbal, expliquant qu’« aucune fonction motrice ou sensorielle n’a été altérée ».
t,S,a
Samir Allam
dimanche, 28 avril 2013 14:56
Selon nos sources, le staff médical du président Bouteflika lui a conseillé de se rendre dans l’hôpital militaire français non seulement pour y subir des examens supplémentaires, mais surtout pour être maintenu sous observation médicale pour voir l’évolution de son état de santé après l’accident ischémique transitoire (AIT) dont il a été victime samedi à la mi-journée.
Avant son accident, le chef de l’Etat était très en colère après la publication d’informations mettant en cause son frère Saïd dans des affaires de corruption, puis son limogeage de son poste de conseiller à la présidence de la République. « Il a été très affecté par ces rumeurs. Il est entré dans une colère noire. Il a même demandé d’où pouvaient venir ces informations qui ciblent directement un membre de sa famille de manière violente », expliquent nos sources, qui ne veulent pas toutefois lier cette colère à l’AIT subi par le Président. L’anxiété et l’angoisse peuvent en effet être des facteurs déclencheurs d’un tel accident.
Selon nos sources, la présidence de la République a pris la décision de communiquer officiellement sur l’état de santé du chef de l’Etat pour deux raisons. « D’abord, montrer que le problème n’est pas grave. Ensuite, parce que l’entourage du Président était convaincu que l’information allait fuiter dans les médias français. Ils ont donc décidé de prendre les devants », expliquent-elles. Les mêmes sources minimisent l’impact de cet incident de santé sur les projets politiques du président Bouteflika.
Ce dimanche, le professeur Rachid Bougherbal a affirmé que l’état de santé du président Abdelaziz Bouteflika « évolue bien » et n’a subi « aucune lésion irréversible ». Le président de la République « n’a pas subi de séquelles irréversibles », a précisé à APS le professeur Bougherbal, expliquant qu’« aucune fonction motrice ou sensorielle n’a été altérée ».
t,S,a
Samir Allam
dimanche, 28 avril 2013 14:56
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